"Le printemps des larmes: Introduction Les humains n’ont cessé - TopicsExpress



          

"Le printemps des larmes: Introduction Les humains n’ont cessé de dire leurs profondes faiblesses pour des intérêts conçus sur des arbitraires qui soient à toute licence, par l’erroné que représente l’intouchable venant du fait abusif, essentiellement tyrannique, que fondamentalement barbare en l’idolâtrie. D’idolâtrer, il n’en est d’invention que de volonté humaine. Il n’en est de réalisation que œuvre de grand calcul, la malice altérée en une passion. L’idolâtrie forcement renvoie à l’idole. Pour tel de le comprendre, inévitablement, il faut du temps. En tel de le matérialiser, le tendre vers un sens assez temporel, obligatoirement, il faudrait s’appliquer à l’art. En si semblable condition, il importe de conjuguer avec l’opportunité. Elle exigerait l’appel à la représentation. Ce fut toujours le travail d’un artiste, un artisan assez souvent. Cependant, comment lui viendrait-il de dire une idée, une forme, pour laquelle, il serait explication, qu’à la fois sur la propriété, que sur les traits? Que de belle méthode, la peinture, pour tel autre art de tout procédé de grande expression, de distinction, a longtemps servi en telle mission. Elle fut toujours effective par le fait de la couleur, de la brillance. Justement, l’art de l’un devient l’objet de l’humiliation de l’autre Une si simple peinture, qu’autre récit, en un temps, pour des époques, et par des prétentions de peuples distinguables par telle race dite « blanche », ont retenu l’humanité des hommes de Nigritie, des hommes dits « noirs », des humains de race appelée « noire », dans la soumission la plus dégradante que n’ait jamais connu autre distincte humanité. En cela, fondamentalement, réside l’explication de l’esclavage perpétuel, sous lequel, on a retenu l’enfant de Nigritie. Une dépendance qu’on saurait entendre au nom d’une relation. Etre gardé sous la contrainte à partager la médiocrité, que par l’invitation à honorer la toute puissance d’une narration qu’on tient à toute explication, d’exclusif, par l’idée autour de ce qu’on présente de sacré. Et tout jour qui passe, consacre la réalité sur l’inacceptable venant de la grave oppression construite sur une narration qui soit incontestablement obscure que peu identitaire. Moi qui soit auteur en cet ouvrage, je m’affirme de grande détermination, et de toute motivation, en la conséquence des exigences vers lesquelles, me pousse le fait de la connaissance, du savoir dont je suis, qu’en juste conscience, possesseur. Cette connaissance, ce savoir sont bien simples, lorsque je ne manquerai de les résumer, en si moindre qui consiste à dire combien, la différence que dégage l’humanité qui m’est purement intime, intègre, exclusive, m’oblige surement à m’interroger sur l’autre, qu’ensuite, me questionner, qu’alors me pousser à réaliser combien je suis tout autre que l’être de Jésus-Christ, l’être de Mahomet. Cette différence m’instruit à ne reculer devant aucune frustration, aucune peur, pendant que je saurai faire entendre telle connaissance mienne, tel savoir mien, propres, pour lesquels je ne pourrai jamais voir en Jésus-Christ, en Mahomet, des hommes de la même race que celle que je partage. Cette connaissance, qu’au delà de la persuasion qu’elle offre, si grande certitude, une véritable évidence, et de bonne réalité qu’un savoir indiscutable, inébranlable, et pour tel, il n’est rien qui vienne me faire reculer, renoncer, face à si grande vérité pour laquelle, aucun argument, aucune démonstration scientifique, idéologique, dogmatique ne parviendrait à anéantir telle chose connue et sue. Ce savoir, cette connaissance sont à toute raison de ce que je subis comme faits de brutalité. L’acteur en la sauvagerie entretenue pour si longtemps déjà contre l’humain de Nigritie, reste aussi ferme sur son acquis en l’assujettissement qu’il m’a imposé, qu’autant à tout homme dit « noir », dont je suis représentation par la race. Le temps et l’absurdité en une si infâme idéologie longtemps pratiquée sur l’être de l’homme de Nigritie réconfortent tel acteur, en si bien que me destiner vers les champs de la captivité que son œuvre m’a réservés. À ses fins, comme pour des siècles déjà, qu’à l’endroit de celui qui me reste semblable par le fait de la race, de l’origine, la Nigritie, tel bourreau me soumet à la violence que sait dire tout opprobre. Dire et parler de cette unique vérité sur mon identité, qui n’est pas d’Arabie, qu’encore moins d’autre place où on situerait l’origine du Christianisme, devient la cause en telle si énorme douleur que je traine désormais. En cela, cette unique et simple vérité fait vivre l’épreuve, expérimenter l’outrage, endurer toute peine indescriptible. Il n’est pas un jour au cours duquel, on ne découvre pas, ce que cela représente comme servitude. Le supplice est permanent. La flétrissure devient toute chose de bonne compagnie. En tout lieu, on devient tel humain exposé au tourment. Un seul but est cependant recherché, celui de me garder dans une ignoble servitude, qu’à l’endroit d’un personnage d’une race à laquelle je n’appartiens pas. Que de ce savoir, qui n’y verrait pas une affliction, toute condition me retenant à ne tenir de sens de mon humanité que par l’acceptation de la résignation vers laquelle, l’abjection qui m’est imposée, m’écrase de grand poids, et d’aussi semblable que le demeure et reste bien souvent l’injustice que porte toute avanie. Pour tel savoir, je ne tiens de réponse que l’affront vers lequel tout complot me pousse. L’injure encore est de la manœuvre à oser me faire admettre l’idiotie qui soit une torture, l’avilissement qu’on y tient, et d’autre que face à la réalité qu’on ne saurait nier. Il faudrait être un homme dit « noir » et, aller à l’acceptation de l’insulte, par une ignominie qu’on entend éloigner, cependant, que contraint à la subordination, l’incohérence en l’explication d’une sacralité est une horreur qui soit d’aussi comparable qu’une étrange monstruosité qui s’avoue encore plus difficile qu’une innocente existence retenue dans une prison. Ce savoir, obtenu que par l’effort, celui permettant de distinguer l’autre, et de le designer pour si juste qu’on le perçoive, qu’en effet, telle image qu’on qualifie, devient source de l’indignité dont on se refuse à assumer. L’ignominie, en telle circonstance, est d’une figure qu’on porte désormais, qu’injustement, car le savoir, aucunement, ne devait conduire vers cette souillure, qui soit de la lourde charge qui distingue le clairvoyant dans sa désolation. Pour tel savoir, j’ai porté le malheur, qu’aussi été réduit à tant d’offenses. Simplement, ni telle terreur, si variées formes de tortures ne peuvent parvenir à me faire admettre autre qui soit hors de toute exactitude. Tel savoir, cette connaissance, ne me nourrissent pas de graves amertumes, qu’au contraire, ils furent de toute aide à me débarrasser de l’indigeste absurdité qui me retenait victime en toute atrocité, que pour si véritable raison, celle de me prononcer sur ce qui reste aussi certain que fait de mon jugement, toute ma qualité à l’appréciation. En cela, j’ai essuyé tant de calomnies, et que peines perdues. Forcement, je suis distinct pour avoir rejeté la compromission. En cela, je dirais que l’instant de mon chagrin ne me caricature pas en un tel qui soit porteur de déshonneur. Que nombre de fois, j’ai du résister face aux persécutions. Je les imagine me suivant pour le restant de mes jours, cependant, tel auquel je pense encore, est certainement cette liberté à dire de mon savoir, pour si simple qu’il soit ce discours de quelques mots, pour lesquels, je distingue des hommes d’une race en laquelle, je ne serai jamais compté pour membre, qu’en critères, qu’alors, pour tant de représailles que me valent ces pénitences et répressions, il n’en reste de langage que la juste reconnaissance de mon fait fondé, l’affirmation de mon savoir. Tel si moindre savoir me vaut un si monstrueux malaise qu’on construit autour de ma personne. Demain n’est pas tel qui dirait la fin de mon calvaire. Mon génie qu’en si peu pourrait faire face à cette vindicte qui soit de la teneur de leurs talents. Ils m’ont promis le châtiment, qu’encore, il en est d’aussi énorme que par tel ostracisme vers lequel on me noie. En cela, je ne porte pas d’amertume, car tel savoir mien ne sait pas me distraire. Ce qui passerait comme moyen de correction, est plutôt l’indignité que je dénonce, qu’en mieux, face aux sévices vers lesquels, on m’oblige d’endurance, pour si moindre tort que celui de traduire de la stupidité qui me voue à un ostracisme œuvrant à piétiner mon intelligence. Le savoir, devrais-je aussi l’admettre, m’a conduit à bénéficier des maux de l’index. Il a heurté des sensibilités qui ont laissé éclaté leur colère, qu’en obéissant à leur logique de rétorsion, qu’en bien, par tant de représailles qu’ils m’infligèrent, et qu’encore, ils me promettent meilleur que l’insupportable en une fustigation. Ce savoir mien embrasse pourtant tout autre discours, lorsqu’il est justement tel qui voudrait inviter les Occident et Orient esclavagistes, l’Occident colonialiste, l’Occident génocidaire, à admettre que le temps est venu pour qu’ils libèrent les enfants de la Nigritie, et pour si moindre que leur ficher la paix, qu’en toute occasion au cours de laquelle ils devraient vendre leurs pensées. Il y a assez de place pour qu’on puisse aussi écouter les enfants de Nigritie, les hommes de cette race, différente de celle de Jésus-Christ et Mahomet. Comment ne pas véritablement le penser et surtout le défendre, pendant qu’en tel jour, en la nuit du 03 novembre 2011, date de la rédaction de cette introduction, moi, l’auteur, je peux aussi dignement admirer le vieil reste d’un squelette, le crane d’un humain dont on ne remonte pas les origines en Arabie, encore moins en Judée, cependant, qu’en Nigritie, au Tchad, pour justement le designer d’homme tchadique dont l’existence est située à 7 millions d’années. En tel fait d’anthropologie, que m’enseignent exactement Mahomet et Jésus-Christ? En tel jour du 03 Novembre 2011, je pense sur les raisons de la construction, en un pays d’Occident, d’un musée qu’on nomma « musée des arts premiers », pour justement ne pas y voir tel art qui soit aussi fondamentalement que référentiel au Christianisme, et, qu’en moindre, à l’Islam. Que d’y penser encore, mon savoir me détache des brutalités qu’une cruelle mafia me réserve. Si je pensais à la pierre de Rosette gardée dans un musée en une royauté en Occident, qu’encore pour toute interrogation en une quelconque reliabilité avec les Christianisme et Islam, il n’est point de justesse qui vienne me combler dans mon doute, dans ma qualité sceptique. En tel jour du 03 Novembre 2011, j’ai en mémoire les pancartes que brandissent les altermondialistes qui manifestent contre le sommet de G20 à Cannes, qu’en effet, je suis tristement interpellé par une des pancartes sur laquelle on peut voir une peinture représentant un adolescent de Nigritie, tel qui porte la peau de l’homme dit « noir », qu’en effet, en telle peinture, on le fait crier en des mots qui sont d’une phrase assez déchirante: « j’ai faim ». Le voilà ce symbole, la désignation d’une race par tel slogan, celui de la faim, qui soit caractériel, identitaire à l’enfant de Nigritie, comme si la faim ne savait designer qu’une seule humanité, qu’en une unique race. La faim encore, faudrait-il donc l’entendre, n’est-elle uniquement possible de réalité qu’à l’endroit de l’homme de Nigritie, l’existence de l’être dit « noir »? Cet enfant pourtant, en telle peinture, retenu pour symbole de la faim, qu’à la fois, en tel art que par cette couleur, qu’en définitive, que partage–t-il donc, et que porte-t-il, en race, de commun et de comparable avec les peintures de Mahomet et Jésus-Christ? Seul l’humain de Nigritie est aussi indignement blessé qu’au vu et su de tous, lorsqu’il n’est pas tel qu’on doive défendre, et cela malgré l’effectivité de son savoir, pendant qu’on ne manquerait de lui trouver des origines insultantes, des liaisons blessantes, des alliances offensantes de son humanité, qu’en réalité, pour la circonstance, celle de la réunion de G20, il faudrait encore se demander si la Chine, apportant des capitaux à des nations occidentales et autres, ne le ferait-elle que pour bénéficier de cette identité établie sur les valeurs du Christianisme et Islam? En tel jour du 03 novembre 2011, à Cannes, les grecs, sont-ils encore inventeurs de la démocratie? Hum, c’est ça l’existence. L’auteur que je suis ici, qu’en tel jour du 03 Novembre 2011, je tiens encore une réflexion sur ce journal traitant de satire, publiant dans un pays d’Occident et portant tel nom de « Charlie hebdo », qu’en effet, pour sa récente parution, j’observe que sa première page porte justement une peinture, le dessin d’un homme qu’on désigne pour Mahomet, cependant, d’aussi simple, je réalise véritablement qu’il n’est pas un personnage à la représentation de la race que je porte, si ce n’est la même qui leur soit juste, qu’en commun, eux et Jésus-Christ. Aussi, j’ai le souvenir de cet homme, autre espion qu’on missionna me nuire, lequel me parlait de « Hamlet », qu’en réalité, il ne manqua de me rendre la mémoire fraîche, pendant qu’il me situa sur les caricatures de Mahomet parues au Danemark, qu’en exigence, je découvre encore, que du simple fait de la race, ces caricatures ne désignent surtout pas un homme qui soit porteur de ma race, si ce n’est la même que celle de Jésus-Christ. Simplement, aux hommes politiques de Nigritie, pour tel sur lequel les enfants de Nigritie cogitent, eu égard à vos bilans, ils se demandent, combien avez-vous œuvré à participer aussi activement à l’éclosion des hommes de plumes en Nigritie, des hommes de pensées, des homes d’arts, qu’en réalité, ils ne découvrent que si peu, presque rien. Pour ma part, pour tel si moindre à l’endroit de mes persécuteurs, je leur dirai simplement, qu’un homme qui a aussi dignement renié le Christianisme, jamais ne peut faire l’objet de toute attention sur l’Islam, et cela, quel que soit la manœuvre, et, même à l’endroit de l’inculte, car, il se fait qu’un autre si moindre savoir voudrait que, toute mythologie confondue, on admette que Jésus-Christ est aussi personnage de l’islam, et par conséquent, on ne peut pas le nier à droite pour l’accepter à gauche, d’où votre indigne déraison. Aussi, je répondrai à tel qui soit maître en l’art du rêve, pour bien lui rappeler combien, je suis d’étonnement, que lui demander, si le rêve de Martin Luther King avait probablement changé la couleur de sa peau, si ce n’est son brusque et brutal sommeil qui dut modifier la nature de sa race? Mon savoir est d’aussi simple que dire, et surtout soutenir, que Jésus-Christ et Mahomet ne sont pas des hommes appartenant à la race qui me désigne. Cela n’est que vérité, savoir, connaissance. Rien de plus. Pas une provocation, pas un blasphème, qu’encore que tel savoir mien ne sait pas discerner une sacralité. Qu’au fait du nègre, comme Aimé Césaire disait déjà, « alors je suis nègre, et le nègre vous emmerde », qu’en réalité, j’ajouterai simplement, qu’à l’endroit de tout israélite, se réclamant héritier en l’invention du Christianisme, qu’autant autre individu se distinguant en cette identité, qu’encore à l’attention de l’arabe, ne se définissant qu’en l’Islam, pour objet de propriété, qu’en effet, pour toute attitude à soumettre ma dignité à ces faits de cultures qui proclament ma servilité, je vous dis mil fois, « allez vous faire foutre ». Si dieu avait du exister, vivement, il aurait été amour dans le respect de la dignité de chaque race, dont il ne pourrait pas avoir été l’artisan.
Posted on: Fri, 20 Sep 2013 18:31:08 +0000

Trending Topics



xhilarating weekend I recently
4:30 am wake up... Not an easy task!! Its done though!! With the

Recently Viewed Topics




© 2015