" Le printemps des larmes": Poème LXXXXII Il ne tenait pas à la - TopicsExpress



          

" Le printemps des larmes": Poème LXXXXII Il ne tenait pas à la résignation se rappeler des instants de cette agressivité, elle fut particulière, elle était d’intensité, et l’observateur ne criait pas à l’indignation, lui, la victime, ne tenait pas à la résignation. Très tôt, il avait pu distinguer son agresseur, pour bien facile qu’il ne fut pas un offenseur, cela devint excessif, et ne put point l’étonner, Il fut d’une volonté qui savait tout donner. L’abime ne fut du lieu où on dut le pousser, de sa conviction, tout effort qu’il sut hausser, confident, l’obscurantisme ne put l’attirer, d’où, une cause, qu’autre raison de les irriter. De ces exagérations, il les vit dans leur rage, à la fois, les ignorait dans leur vilain chantage, car il dut partir sans exprimer une colère, et tel choix était d’un combat contre la misère. Le maitre chanteur tient l’arme de démesure, que misérable est pire que porter une flétrissure, ainsi pour tel fait d’avoir exposé son doute, la misère répond à celui qu’on voue à la déroute. faire sa route, pour le savoir qui fut une sincérité, il s’en était attaché, d’assurance en sa combativité, pour autre exigence d’en faire une imprégnation, car la chose sue lui restait de bonne consignation. Se dévouer au savoir se découvre d’un oppresseur, pour telle circonstance où on se rend professeur, pas pour tel confesseur, qu’on réussit à raisonner, mais d’une sapience qu’on n’arrête pas d’auditionner. Courage, en ces chemins qu’on ne peut rebrousser, l’incorrection, cette activité qu’on sache repousser, qu’aussi elle est d’un concours d’où on dut se retirer, puisqu’une telle récompense n’est pas celle à admirer. Par l’exploit, l’obscur n’est pas tel qu’on partage, qu’otage, bientôt, on en est libre dans cette cage, tel lieu où l’ignorance tenait toute idée de frontière, D’où le bonheur venait à contenter pour une tanière. On fut humain pour porter telle ignoble imposture, et il n’est point de tort à découvrir sa vraie nature, qu’ainsi on se débarrasse de l’abjecte qu’on redoute, pour enfin tenir une prouesse qu’une existence coûte.
Posted on: Fri, 27 Sep 2013 17:08:42 +0000

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