" Le printemps des larmes" Poème XXXXVII L’idéal à faire - TopicsExpress



          

" Le printemps des larmes" Poème XXXXVII L’idéal à faire fortune Le savoir étant de cet idéal à faire fortune, on l’obtint pour toute réalité qui importune, tel persuadé excellent pour ces catégories, desquelles il plie l’humain à ses théories. Il désole l’un qui se put se faire une pensée, l’ignorance, la sapience, la chose compensée, et il n’est plus d’une vision par la malveillance, il l’identifie de toute aide par sa connaissance. De l’irréalité, il dut en faire une exception, telle de s’en débarrasser, vivre la déception, et de choix qu’oublier la maladive candeur, qui oblige à la résignation face à une ardeur. Certes, on ose être réel, et c’est un impératif, pas qu’un concept, le besoin en un fait cognitif, tel droit de se comprendre par sa subjectivité, une qui s’affirme, qu’exister par une réalité. On cesse d’être invention par une histoire, tel temps effroyable où la nuit fut bien noire, n’écoutant les atrocités d’une étrange lumière, Car l’éblouissement altère en personne étrangère. A toute illusion, l’irréalité trouvée en chacune, l’invention, l’exactitude défaite en toute tribune, qu’aussi, savoir faire de l’apparence une allégorie, la vérité pourtant prévient contre l’étourderie. On aurait été dupe pour cette illusion condensée, en une forme d’imagination restée bien insensée, en qui se réclame désormais de toute vigilance, de laquelle, on est d’humain pour telle attirance. De sa réalité, il sut se défaire d’une conscription, qu’au meilleur, se montrer digne en une option, qui dit sa résistance face à l’ignoble ignorance, qu’on nie d’attirance, qu’obligé à la souffrance. Ne pas succomber à l’incertain, on est préventif, qu’aussi, on porte tel tort d’avoir été attentif, lorsqu’on tint l’analyse en moyen à la sincérité, Duquel on garde toute chose à sa juste qualité. L’humain naît libre, que s’avilir par l’illusoire, il est à cette liberté que ne rectifie l’incantation, et, peine perdue que le soumettre à la misère, ce théâtre dont l’humanité seule est héritière.
Posted on: Wed, 25 Sep 2013 22:29:30 +0000

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