"Les Européens peuple sauvage civilise" "La première civilisation d’après le déluge" La guématria est une façon de décoder le « Tanakh », l’ « Absorah » et les « Igerot » donc la Bible en langue hébraïque entière. C’est à partir de cette méthode qu’on a pu déchiffrer l’histoire d’Israël et du monde entier et de différencier du vrai du faux, c’est la guématria usuelle. « Israël Mamash » (Israël et rien d’autre) a été identifié grâce à cette méthode (Genèse 1 :31- Genèse 2 :1). Il est à noter que ce n’est pas le « septuagint » qu’on utilise pour ce genre de décodage, pour expliquer ce que YHWH veut communiquer à son peuple. Le « septuagint » est la version grecque de la Bible hébraïque, où le Bereshit est substitué par le mot grec Genèse, le Eleh Shemot par Exode, le Veikra par Lévitique, le Bemidvar par Nombres et le cinquième livre de Moïse Hadvarim par Deutéronome. Le Davri Hayamim est substitué par Chroniques qui vient du dieu grec Chronos, malgré l’interdiction de YHWH de ne pas prononcer les noms des dieux étrangers. «Vous observerez tout ce que je vous ai dit, et vous ne prononcerez point le nom d’autres dieux ; qu’on ne l’entende point sortir de votre bouche » : ( Exode 23 :13). Etant donné que la traduction en grecque était beaucoup plus longue qu’en hébreu, les Hellénistes ont partagé ce chapitre unique en deux : I Chroniques et II Chroniques (Tantara voalohany – Tantara faharoa). Ils ont fait de même pour Amelakhim : I Rois et II Rois (Mpanjaka voalohany – Mpanjaka faharoa). Il est vrai que l’Apôtre Paul a écrit en KOINE (dialecte grec) mais cela ne veut pas dire que YHWH a remplacé Israël par les Grecs. C’est pour cela que le nouveau décodage, un décodage secret jusqu’ici non identifié, se fait en hébreu et en malgache ( le malgache est une nouvelle langue parlée actuellement par le reste des Enfants d’Israël : les Hébreux-Malgaches). Par exemple, la première phrase de la Bible hébraïque nous dit : « Bereshit bara Elohim et hashamaim ve et haerets » nous dévoile par ce décodage ultrasecret comment YHWH a créé l’Univers que les scientifiques appellent « Big Bang ». Ce même mot Bereshit nous relate que YHWH a créé l’homme à son image. L’évolution, aujourd’hui réfutée par plusieurs savants parmi eux Professeur dr dr dr Wilder Smith, nous enseigne que le premier homme était un primate (singe) dont nous sommes les descendants, quel blasphème ! D’après le premier livre de Moïse, le premier roi de la planète était Nimrod, un cuschite un descendant de Cham, un Ethiopien. C’était donc un Africain et loin d’être un sauvage. « Cush engendra aussi Nimrod ; c’est lui qui commença à être puissant sur la terre. Il fut un vaillant chasseur devant YHWH ; c’est pourquoi l’on dit : Comme Nimrod, vaillant chasseur devant YHWH. Il régna d’abord sur Babel, Erec, Accad et Calné, au pays de Schinear. De ce pays-là sortit Assur ; il bâtit Ninive, Rehohbot-Hir, Calach et Résen entre Ninive et Calach ; c’est une grande ville » : (Genèse 8-11). Son frère Mitsraïm (Egypte en grec, mot dérivé de Ptah un dieu du Panthéon égyptien), était aussi un Africain, il détenait le « Know how » (savoir-faire) de la science que nous pratiquons aujourd’hui. Les Anciens Egyptiens ont construit Annu, « On » en hébreu et Héliopolis en grec. C’était une ville mystique et à la fois scientifique ; elle est la source de la science actuelle, de la philosophie, des mathématiques, de la géométrie de l’arithmétique de la médicine de la géologie de la météorologie de la chimie qui porte le nom de Khmet, Khemii : science égyptienne. Il serait ridicule de penser que tous ces disciplines ainsi que le chapiteau à gaulicoles ou le chapiteau de cratériforme ou les chapiteaux dactyliformes ou les ornements des plafonds : guillochis et méandres ou les ornements des plafonds de bucrânes fussent les œuvres des Africains sauvages. Que dire du temple de Dyer El-Medineh, des piliers isiaques, des piliers-caryatides du temple de Ramses III ? Il est à noter qu’en 1225 av.J.C, Héliopolis avaient plusieurs bibliothèques scientifiques et 13.000 savants. Les Anciens Egyptiens (des Africains) détenaient les plans de construction des Pyramides, des Sphynx et des lieux secrets. Le savant grec Eratosthenes a étudié en Egypte. Pythagore avait vécu 22ans à Héliopolis. Les Européens savaient très bien que le théorème qui porte le nom de Pythagore n’était pas de Pythagore. Malheureusement, en 332 av.J.C, Alexandre dit « Tou Mégalou », fils de Philipe II a brûlé Annu par méchanceté et l’a réduit en cendre. Il a anéanti ainsi le souvenir de l’ancienne civilisation d’avant le déluge et sa technologie. Ce que Alexandre ne savait pas, c’est que le « Tanakh » a conservé ce qu’Alexandre a dévasté. L’Empereur romain Théodosius a rasé l’Egypte en 389 de l’ère chrétienne et le reste par les Chrétiens fanatiques, voilà comment l’Egypte a été totalement anéantie. Par ailleurs, Nimrod a mobilisé le peuple de Babylone à construire une ville, voici ce qui a été écrit en hébreu « Havah nivne lanu ir umigdol ». « Allons ! bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet touche au ciel » : (Genèse 11 :4). Après un décodage et des calculs très compliqués, cette phrase en hébreu nous dévoile comment Nimrod avait partiellement utilisé la technologie d’avant le déluge. Selon ce décodage, les constructions des bâtiments étaient tellement avancées qu’ils n’utilisaient plus que du granite, le seul matériau de construction stable et qui peut durer éternellement. Et les positions asymétriques de ces blocs de granites assuraient les édifices contre les tremblements de terre. C’était la même technologie des habitants du pays, aujourd’hui devenu le désert de Sahara. La civilisation quelques années après le déluge était une civilisation nègre. Voici ce que Champollion le jeune a écrit à son frère à propos de ce thème : « la dernière race n°6 de la planche (Biban el Molouk) a la teinte de peau que nous nommons couleur de chair, ou peau blanche de la nuance la plus délicate, le nez droit ou légèrement voussé, les yeux bleus, barbe blonde ou rousse, taille haute et très élancée, vêtu de peau de bœuf conservant encore son poil, véritable sauvage tatoué sur diverses parties du corps ; on les nomme Tamhou et j’ai honte de le dire, puisque notre race est la dernière et la plus sauvage de la série. Les Européens qui, à ces époques reculées, il faut être juste, ne faisaient pas une trop belle figure dans ce monde ». Cette même phrase « Havah nivne lanu ir umigdol » nous prophétise comment serait le nouveau Babylon dans 4.000 ans, c’est la ziggourat spirituelle de nos jours constatée par chaque Malgache. Par le Professeur Rabi
Posted on: Fri, 23 Aug 2013 12:09:45 +0000