#PolMtl La crise éthique des partisans de #Ferrandez face à - TopicsExpress



          

#PolMtl La crise éthique des partisans de #Ferrandez face à l’anonymat de certains contributeurs de cette page est aussi risible qu’inappropriée. Quelques exemples d’anonymat dans les médias : la tradition anglophone de l’éditorial non signé, la source que protège le journaliste, les milliers de forums et blogues du web où l’anonymat des commentaires est toléré --le webmestre du site assumant la responsabilité de ce qui y est publié. Par contre, la dénonciation exacerbée du faux problème de l’anonymat est un aveu involontaire de la mauvaise foi de ceux ne peuvent ignorer les centaines de gestes d’intimidation et de vandalisme économique auxquels ils ont participé, campagnes visant à saboter des entreprises, des emplois, des carrières. J’ai été intimidé à maintes reprises. Des amis l’ont été. Une bonne partie des contributeurs de ce site également. Et l’anonymat que ces vierges offensées vilipendent n’est qu’un des effets de la sale complaisance de Luc Ferrandez envers les actes de sa meute contre la liberté d’opinion et d’expression. La véritable puanteur politique, c’est le fanatisme. L’administration Ferrandez n’a cessé d’entretenir les querelles et les antagonismes entre les citoyens et ses partisans. Et les camps se sont radicalisés. La seule dissimulation de données « clés » sur les conséquences de leurs politiques est une odieuses tromperie qui égare tant les citoyens que les partisans du régime. Et ce n’est sans conséquence. La niaiserie fanatique des propos de cet administrateur de Desjardins (rappelons qu’une des missions fondatrices de Desjardins est le développement de l’économie locale) son évidente perte de repères rationnels pour un gestionnaire sont plus qu’une erreur de jugement, mais bien un symptôme de rupture avec le réel. Symptôme d’un discours politique et économique aberrant et déconnecté, à l’image de la propagande et du mépris affichés par Ferrandez et son administration pour le savoir entrepreneurial ou la volonté populaire. Nous invitons cet administrateur de choc à lire en fin de billet un extrait de notre article «Le commerce pour les nuls » publié anonymement sur cette page le 19 janvier 2013. S’il a quelques compétences en économie et un réel intérêt pour la vitalité commerciale du quartier, il y trouvera quelques clés pour mieux saisir l’importance de la mixité commerciale, ce nécessaire équilibre entre les commerces de destination et de proximité. Vivement le 3 novembre, où nous aurons enfin la possibilité de faire entendre notre ras-le-bol de ce bolchévisme idéologique ruineux et de virer la bande de doctrinaires du quartier d’une voix forte et claire ! Un citoyen et commerçant du quartier. Août 2013 Extrait : « La réussite d’une zone commerciale s’appuie sur la cohabitation harmonieuse de différents types de commerces et de services aptes à satisfaire l’ensemble des besoins des gens, selon les différentes heures de la journée, les jours et les saisons. Le terme reconnu de cette combinaison est mixité. Une solide mixité commerciale se compose de commerces de proximité (alimentation, restauration, services de base) et de commerce de destination (mode, culture, cadeau, etc.). Les commerces de proximité roulent principalement sur l’achalandage local tout en profitant de la présence de visiteurs d’ailleurs, les commerces de destination s’appuient sur la variété et la profondeur de l’offre générale et son attrait pour les clientèles locales autant que celles en provenance de la périphérie. Variété et profondeur sont les clés d’une offre performante et dans cette optique les commerces concurrents ou très différents s’épaulent les uns les autres en dynamisant l’achalandage global. Parmi les secteurs les plus sensibles à la dynamique « variété et profondeur », il y a celui de la mode. Car faire du shopping implique la visite d’un certain nombre de boutiques en un laps de temps restreint à la recherche d’articles aux paramètres multiples (taille, couleur, style, prix, etc.) Ainsi, la fin des affaires de Moov Design, pur commerce de destination, est une perte certaine pour la diversité de l’offre de la rue Mont-Royal. Car la probabilité que cette offre quasi unique et son attrait pour une clientèle « créneau » se reproduise dans le contexte actuel est très faible […] La disparition des commerces de destination est une mise à mort économique. Car plus que les vitrines placardées et le faible attrait des commerces qui les remplacent, les commerces de proximité « survivants » souffrent évidemment de la baisse de l’achalandage extérieur mais plus encore du déplacement des clientèles locales vers des commerces de destination hors-quartier, et conséquemment d’une partie de leur consommation de biens et de services courants. »
Posted on: Tue, 13 Aug 2013 23:39:35 +0000

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