"Une princesse dans les bras de son fils": Chapitres: - TopicsExpress



          

"Une princesse dans les bras de son fils": Chapitres: 7-8 Chapitre: 7 Ils avaient à peine dormi quelques heures. Dans la nuit, que soudain un coup de fil vint les réveiller. Michel prit le combiné, et se rendit vite compte qu’il s’agissait d’un coup de fil venant de Nigritie. Il était difficile que quelqu’un appelle d’Allemagne à deux heurs du matin. Pour une heure si avancée, les hommes étaient sensés dormir. Lorsque cela survenait, il n’en était de toute chose possible que sous des conditions qui indiquent un cas de grande urgence. Michel secoua tout d’un coup Chou Muna. - c’est un appel pour toi, lui dit-il. Ça doit être très urgent. Chou Muna prit à son tour le combiné. À l’autre bout du fil, il entendit retentir une voix pleine de tristesse, qu’il reconnut aussitôt. C’était celle de son grand frère Vié. - Allô, oui, j’écoute, dit encore Chou Muna d’une voix retenue dans le sommeil. - papa vient à peine de décéder, lui fit savoir son frère. Ce fut encore qu’un mutisme entre les deux frères. Puis, quelques secondes après que son frère lui ait annoncé le décès de leur père, il lui fit savoir que la famille l’avait prié de ne pas songer à revenir. Il devait accepter les événements pour tels qu’ils se présentaient. A ce même moment pendant lequel Chou Muna apprit le décès de son père, il n’avait que quatre jours chez Michel, et trois mois en Allemagne. Ce fut triste, ce fut pénible. Ce fut surtout une toute autre expérience, celle d’apprendre ce que c’est que la mort, et de réaliser véritablement qu’elle frappe aussi un géniteur. Il se rendit compte qu’il ne verra plus jamais cet homme, cet humain qu’il n’avait appris à connaître qu’en découvrant ce que c’est que l’existence. Michel avait rapidement compris de quoi il était question. Il avait déjà cette expérience. Très tôt, il s’était retrouvé orphelin de père et de mère. Il avait entendu Chou Muna poser cette question : - papa est-il véritablement mort ? Il eut juste quelques mots de condoléances. Chou Muna sortit de la chambre. Il se réfugia dans la cuisine. A travers la fenêtre de la cuisine, on pouvait admirer le jardin, le potager, et même le dispositif de récolte de miel de Pfarrer Schneider. Il fit échapper tranquillement des larmes. Elles devaient encore mouiller ce morceau de bois sur lequel il posait ses mains. Il ne laissait pas échapper des sanglots. Il comprenait que rien ne serait plus comme avant. Il devait désormais admettre qu’il devenait, de plus en plus, un être sans protection. Imaginer qu’on avait plus un père, et cela malgré tant de différends qui peuvent exister entre l’être qui partait, et tel autre qui reste, pour le dernier, il n’en était que d’occasion permettant de découvrir qu’on était désormais vulnérable. Il devait se conformer au fait réel, suivant lequel, il était dorénavant tel acteur, que seul, capable de donner un sens à sa vie. Elle était pour si simple que celle qui se résumait à une existence qu’il devait conduire, avec nécessité de la bâtir, de lui trouver un sens, pour toute survie qu’il pouvait s’accorder, puisqu’il ne devait plus espérer en rien d’autre que toute chose qu’il sache se donner, s’offrir à lui-même, et de bonne conscience que par le mérite qui vienne de son effort. Il avait essayé de se convaincre qu’il pouvait penser ainsi, et surtout le réaliser. Il avait encore ces images de ce dernier entretien qu’il eut avec son père, lorsqu’il fut contraint par sa mère, pour telle demande d’aller lui dire au revoir, et l’informer de son départ pour le monde occidental. Il avait bien voulu résister, espérant qu’il ferait mieux qu’il apprenne simplement qu’il était parti, qu’il avait su voler de ses propres ailes. Sa mère s’y était opposée, lui intimant d’aller le voir et lui dire au revoir. De cet entretien, Chou Muna retint simplement la joie d’un père. Il regarda avec émotion cet homme rongé par la maladie. Son père lui avoua cependant : - oh Chou Muna, je suis déjà entrain de perdre la vue. Fais attention à toi, car il en est d’une maladie bien grave qui ronge les membres de la famille. Rappelle-toi que ma mère, c’est à dire ta grande mère avait aussi perdu la vue bien avant sa mort, ajouta-t-il encore. Sur ce bout de bois de cette fenêtre, Chou Muna était déchiré par la douleur. Il savait désormais que son père avait quitté ce monde, et pour si moindre que ne rien lui avoir laissé. Il revoyait ce père qui lui avait acheté des livres d’école, ce père qui l’avait parfois grondé, ce père qui ne lui avait pas seulement témoigné de l’amour, que quelquefois de la négligence. Il revoyait le visage de cet homme avec lequel il fut en désaccord, qu’alors, il fut ce même humain qui le rencontra une fois en pleine rue, et lui rappela en des mots bien durs : - c’est moi ton père. Je suis ton père, il ne faut jamais l’oublier. Il avait surtout le souvenir de cet homme qui ne s’était pas lassé de venir chaque fois le récupérer dans un commissariat de police, toutes les fois qu’il fut interpellé pour des problèmes liés autour de la question du chanvre indien. Il avait toujours su le tirer des difficultés. En cet instant précis, il lui revenait le timbre de cette voix qui l’appelait à travers le judas de ces grandes portes en fer, des cellules, pendant qu’il était totalement mouillé de sueur et presque étouffé par l’air nauséabond régnant en tel endroit où l’on asphyxiait sous une chaleur débordante, et sur quel sol plein de crasse il devait se coucher sans vêtement. En ces moments de grand calvaire, ce père s’était toujours bien montré digne. Chou Muna avait comme impression qu’il entendait encore cette voix l’appeler. En cette terrible nuit, que présent en terre occidentale, à travers cette fenêtre, un peu désemparé, avec un visage recouvert de larmes, il avait essayé d’admirer le ciel, exigeant une réponse. Il n’en reçut aucune. Il contempla ce sol recouvert d’une si belle herbe verte. Lui non plus ne lui apporta la moindre réponse. Il s’interrogea personnellement, et il n’eut de réponse que celle qui l’invita à ne désormais savoir qu’il n’avait de toute moindre échappatoire que celle qui conduisait à se montrer serein dans la poursuite de ses études. Ses études étaient dorénavant la seule issue qu’il devait emprunter afin de partager toute expectative le garantissant de veiller encore prétendre atteindre des lendemains meilleurs. Il avait essayé d’avoir un regard lointain, qu’à partir de cette distance, sur la Nigritie. Il pouvait revoir sa pauvre mère, ses frères, ses sœurs. Il devait se représenter des scènes. Il ne voulait pas imaginer sa famille en proie à ce chagrin qui pouvait la conduire vers d’autres souffrances. Leur père, cet homme qui leur avait tous fait porter son nom, tel qui leur avait accordé un certain orgueil, beaucoup qu’une fierté de soi, n’était plus là. Cela représentait une situation nouvelle. Il fut pourtant un homme assez aimé de toute sa famille. Tous ses enfants l’adoraient, le vénéraient, quand bien même il ne leur servit pas tous, de juste traitement que de correcte impartialité. Chou Muna devait encore longtemps cogiter, qu’ayant le visage rabattu sur la fenêtre de cette cuisine. Il fut accablé par le malheur. Il ne vit pas le temps passé. Lorsque le réveil sonna, et que Michel se mit debout, il le trouva encore accroché à cette fenêtre. Ils durent tous se débarbouiller à la hâte, et quittèrent l’appartement. Germain ne fut, à son tour, informé que dans la soirée. Chou Muna essuya ses larmes, ne put pas totalement les sécher. Il fut, aussi généreusement, presqu’encouragé par Michel. Il prendra le bus, le métro, fera des correspondances et empruntera enfin le train. Il arrivera au lieu de rencontre, comme cela fut convenu. Il ne sera pas le dernier. Il retrouvera ensuite ses compagnons chercheurs d’emploi. Ils effectueront ensemble le parcours. Ils seront neuf personnes. Huit seront retenues. Seul Chou Muna ne trouvera pas grâce aux yeux de cet employeur. Il restera là quelques instants, un peu médusé, essayant de méditer qu’à la fois sur ce qu’il venait de vivre, qu’autant, pour telle peine qui l’accablait déjà depuis la nuit dernière avec l’annonce du décès de son père. Il parviendra à se ressaisir. Un de ses compagnons viendra lui faire entendre quelques mots de réconfort. Il était justement celui dont il avait informé du décès de son père pendant le parcours conduisant vers cette exploitation agricole. Il ne voulait pas informer les autres. Cela aurait certainement pu créer une ambiance pas bonne dans la compagnie. Les uns, pour tel caractère particulier à l’homme de Nigritie, l’émotion qui sait toujours le gagner, traversés de sens de compassion, qu’éventuellement, devraient immanquablement lui demander de renoncer à cette aventure, qu’à la fois seraient un peu perturbés, et même effrayés, car la distance, tel éloignement de la Nigritie savait encore susciter bien de peurs. Toutes les fois qu’un malheur survenait, pour l’un qui le subissait, il voyait ses semblables souffrir, pris d’énormes chagrins, d’aussi pareil comme s’il s’agissait d’un fait de contagion. Chou Muna avait pu souhaiter bonne chance aux autres compagnons retenus pour la cueillette des fruits. Il s’était ensuite engagé à reprendre le chemin qui devait le reconduire à Stammheim, ce lieu où Michel lui avait offert un abri. Deux jours plus tard, l’information arriva jusqu’aux oreilles de Pfarrer Schneider. D’autre nature que d’une prudence, Chou Muna eut comme impression qu’il la prit pour une astuce, une petite bonne méthode consistant à lui soustraire de l’argent. Il en serait de si semblable qu’à l’endroit Pfarrer Vorländer, qu’il ne venait que de connaître pour tel premier dimanche. Au second dimanche lorsqu’il le rencontre, devant la grande porte, pour tel instant d’au revoir après le culte, celui-ci lui posa toute simple question : - comment te portes-tu ? Chou Muna l’informa qu’en lui répondant : - j’ai perdu mon père en Nigritie. La réaction sera encore presque pareille. Ce fut cette attitude de grande politesse qui marque à la fois la surprise et la prudence. Il y avait juste sept jours qu’ils se connaissaient, et Chou Muna lui annonçait un deuil. Pour tel instant déjà, Chou Muna ne leur demandait déjà rien. Il était venu de Nigritie avec de l’argent. Pour ces premiers temps, il pouvait encore survenir à ses besoins les plus élémentaires. Les jours qui venaient certainement l’obligeraient que très probablement sous d’autres conditions. À ces réactions, il y avait bien naturellement une explication. On avait déjà vu tant d’hommes de Nigritie annoncer plus d’une fois les décès de leurs parents. Il n’en était que cas pour se faire un peu d’argent. On assimilait désormais tout le monde à ce petit jeu. La suite put d’ailleurs le confirmer. Chapitre: 8 Comment traduire une humanité, fut encore de toute chose qui semblait d’encore difficile à Chou Muna, et de toute amertume qu’en si moindre qu’il vivait désormais, et de grave tristesse qu’avec la mort de son géniteur. Chou Muna avait bien souvent si grave handicap à traduire de si nombreux faits. Toutes les réflexions du monde sont unanimes sur le fait suivant lequel une traduction ne vaut jamais toute qualité qui ferait une sincère fidélité. Par ailleurs, il y a tel inconvénient que procure un langage, cette difficulté qui le retient à une impossibilité qui qualifie une chose, d’un sens qu’on ne sache jamais d’aussi entièrement que parfaitement traduire. Il faudrait s’exécuter, et les incorrections prendront telle place qu’on souligne par le complémentaire de ce qui ferait une tolérance. Tel qu’on aurait transmis, que difficilement se montre invariable. Toute personne est susceptible de laisser entendre son éclat subjectif. Il n’en est que de la moindre marge qu’on retrouve dans toute expression qui s’analyse en une interprétation. On ne sait pas expliquer aux hommes combien une langue certaine ne précisa l’idée que parfois pour toute forme improbable, imprécise, que d’autre précise. Les uns emprunteraient certainement une tournure qui se montrerait porteuse de peu de conviction, peu de signifiance, cependant, tel qui soit encore d’une nature formulaire renvoie absolument à un besoin de formule, pour si entendant qu’on le présenterait, pas d’uniquement que d’une tournure. Simplement, il faudrait le signifier, et d’objectivité que lui trouver tel sens qui satisfasse en partie toute curiosité qu’on viendrait exprimer par la qualité à la vue, et pour si moindre que par tel exemple en ce sens. On ne pourrait arrêter toute motivation qui irait se dévoiler par chaque qualité lui permettant de laisser entendre cette assurance qu’elle professe, pendant qu’elle trouverait des propriétés, pour lesquelles elle arriverait à des qualificatifs, qu’alors, elle les dessinerait sous des signes qui feraient des figures. L’idée pour tel acquis ne peut ne pas échapper au processus qui favorise le fait de la formation. Pour tout quelconque contour qu’on viendrait évoquer, pour si moindre aspect auquel on pourrait faire allusion, pour tant de nuances, qu’alors, que manifestement, on n’avancerait que petit à petit vers tel champ qui fasse une configuration. Cela renverrait absolument à des ensembles, à des commutativités, à des imprécisions, et de toute approche qu’à des incorrections et improbabilités. L’humanité, pour toute chose en laquelle elle participe cependant, ne peut pas uniquement se résoudre à ce qui ne serait point fondamental, lorsqu’on la réclamerait par toute intention qui ne fasse l’objet d’une approbation que par telle peur d’une sanction qu’on aurait prévue. Toute intention marque le parcours que prendrait une aventure, pas celui en vers et contre tous, par l’instrument des représailles. Elle est cependant aussi belle lorsqu’elle peut être accompagnée d’une heureuse fortune. La mésaventure néanmoins n’est pas de ce qui fait la préoccupation de l’humain. Pour toute lecture, elle entre encore en compte par telle appréciation qui se matérialise par le fait d’un exploit qui le distingue dans l’accomplissement à rendre effectif le triomphe que comporterait l’expectative de ce qu’un protagoniste tiendrait pour l’essentiel que représente sa manœuvre. Assez souvent, il n’en est de moindre offensant que ce qu’on en retient comme cause. Le propos, qu’à cet effet, est ce fait naturel qui s’expose qu’immanquablement en une estimation, par l’intérêt qu’il suscite en l’un qui soit en position de dire sa force, et de si pareil, qu’à l’inverse, il serait telle source de désaccord à partir de laquelle on souffrirait d’un jugement contraire, tel qui fasse l’objet d’une répugnance, d’une condamnation. Seulement, par tel si simple fait d’être un humain, et pour telle impossibilité d’être défini, pour si concret qu’il en serait d’un juste sens, et que pour si peu, il n’en demeure déjà que surement de ce qui fait un problème. Il faudrait pourtant trouver des solutions. Aux uns cette absolue faculté d’aller vers toute moindre inspiration en laquelle ils ne manquent d’accorder une conclusion. Une hypothèse cependant, n’est pas tel agrégat de suppositions qui concentrerait une vérité. L’acquis venant d’une brutalité ne peut point le certifier. On parviendrait certainement à affirmer combien on œuvra à accomplir l’objet d’un dessein, cependant, nombreuse est encore telle pensée qu’on ne put point altérer. Elle serait alors restée sans perspective, car brimée et retranchée dans les moindres coins où elle ne peut qu’en rien s’exprimer, se montrer, s’étendre. Néanmoins, elle reste affirmée sur toute matière qui demeure de l’inacceptable qu’elle devait avoir mentionné pendant qu’elle fut celle dont on ne s’abstint d’étouffer. Toute explication accompagnée du fait de la violence qu’immanquablement prend du terrain. Il en est encore d’un important point qu’elle marque, lequel elle rend obligatoire par toute mesure du temps. L’incertain pourtant demeure. Il est le même qui interroge. S’il fallait défendre l’objet de ce questionnement, sujet à une discorde, on dirait simplement que l’ambition à exiger une réussite en telle entreprise serait justifiée par la nécessité qui laisserait entendre le fait suivant lequel la violence est capable de faire adapter sa raison en tout lieu où elle entend encore s’imposer. Lorsqu’elle s’exprime sous des angles qui ne manquent pas des motifs, l’humanité est celle qui n’a parfois pas besoin de franchise pour si moindre que dire un triomphe qui vienne par toute facilité que propose un prétexte. Certainement, les uns parleraient de la matière, et d’autre forte voix que généraliser ce qui ne vaudrait d’aucun crédit qu’on ne sache accorder à la substance, néanmoins, par tel désir de faire le son qui annonce l’irrationalité que porte leur prétention, ils estimeront qu’on ne serait humain que pour être emporté par tout moindre changement qui soit à toute conséquence d’un refus que pour tel qui rendrait une existence humaine que fait d’un objet d’un péril. Mais, il n’est de véritable primauté en l’humain, que par toute priorité d’exister et d’entièrement que par soi-même. Voilà justement ce but vers lequel on sait outrageusement l’en éloigner. Heureusement, encore, qu’on soit là, à le justifier par cette espèce de terreur qu’on a établie sur le fait peu hypothétique qui soit de l’instant tragique qui reste du dit de sa fin. La fin cependant rentre à la fois du principiel, qu’autant du circonstancié en l’humain. L’humanité, pour aussi débile qu’elle se montre parfois, porte toujours les germes de son propre échec. Il en est de si semblable pour des graines qu’elle sème. Elle ne manque pas cependant de faire sa bonne récolte. Pour tel rendement, tout est bien naturel qui interroge : L’humain n’est-il pas celui qui décida de la considération qui ferait un anathème ? L’humain encore est tel si semblant de génie qui ne manque de prendre une décision, d’aide à tant de mesures et dispositions qu’il traduirait pour une malédiction. Il est le même qui estime qu’il peut dire en bien qu’en mal, et de meilleur choix que le réaliser. Il a encore cet œil qui se prononce sur ce qu’il juge de bonne chance comme de malchance. Son sens lui permet de matérialiser le fait d’une condamnation. Un vent qui souffle ne sait jamais traduire par de bien exacts mots ce qui s’entendrait en une imprécation. Des rayons de soleil qui brillent et illuminent tout univers quelconque ne parviennent point à traduire ce qui constituerait une sentence. Une pluie qui tombe ne sait pas interpeller l’humanité par un précis discours à partir duquel elle annonce un jugement. L’impression exagérée, par toute incorrection qu’on aurait des cycles d’évolution de la lune, pour si moindre apparence, qu’en rien ne veut dire tel qui soit autre signification dont les humains ne cessent de se montrer maîtres dans une si énorme vulgarité qui consiste à professer que d’encore si variables formules. Chaque langue, pourtant, dit son originalité en une transcription de conforme appréhension de phénoménalité, par tant de règles qu’elle en établit, pour si simple que bâtir un langage qui ne lui servirait qu’à la fois de repère que de juste protection par l’argument qui ferait une valeur identitaire, et de moindre que prétendre tenir une légitimité qui rendrait son concept presque inattaquable, si ce n’est sacré. D’aussi simple, on laisserait entendre ce qu’un langage tiendrait pour si profond sens. Une fois encore, il ne s’agirait que d’une subjectivité en traduction de l’interrogation qu’on se ferait sur l’entendement en un phénomène. Tout par ailleurs ne s’explique pas uniquement en une nécessité, et d’occasion pour contribuer à la mise en place de bien de spéculations à partir desquelles les uns attachés au fait de la violence viendraient dire leur qualité à fonder des faits qui soient entendus pour d’intouchables sources de droits. En tel besoin de réflexion, on prendrait des dispositions à toute nature de déclarer toute volonté de contradiction pour unique voie que celle qui conduit vers le fait de l’incapacité. On usera des moyens. Assez souvent ils sont encore que si indignes. Ils sont malheureusement peu accordés à respecter une intégrité, celle qui soit le fondement de la compréhension qui tournerait en tel sujet qui évoquerait l’impératif autour duquel les humains devraient penser, qu’être récompensés, pour tel de se montrer peu indécis à pouvoir laisser entendre l’essentiel que porte l’immanquable qu’on observe en la nécessité venant du fait d’un étant, de l’humain, par cette incontournable fonction sienne, qui soit à la prise en considération de son existence, laquelle ne renvoie indéfiniment qu’à l’acquis que concède la valeur d’une dignité. Comment pourrait-on le réussir si on ne retient pas l’humain pour autre qu’un être qu’on devrait soumettre à une inaptitude. Ceux qui seront actionnaires en telle entreprise auront certainement plus qu’une dignité à défendre. Elle s’entendrait d’absolument que par tel dont cet acquis mentionne par le fait d’un prestige. L’humain n’est parfois rendu incapable que pour toute solution qui le détermine à s’accommoder au fait d’un renom dont il n’observerait le fondement qu’avec consigne de vénération proclamée. Aussi, il ne serait question d’une notoriété à défendre, que pour une action en quelle réussite peu importera qu’on rende autre humain, que moindre victime d’objet d’une impuissance. La renommée en tel contexte représente ce qu’on témoignerait en toute qualité d’une force, et tel qui se conduirait de si juste que respecter ces dispositions prendrait absolument cette place qu’on réserve à ceux qui sont déclarés appartenir au camp de la faiblesse, celui des perdants et perdus. L’un qui tiendrait une quelconque résistance serait celui qui aurait dit un affront, et par conséquent ne sait échapper à la sanction qui soit aussi essentielle que celle qui s’impose en un brutal ostracisme. La tradition sera respectée, pour si moindre qu’elle se fasse en bien que conforme avec une sentence. Mais une fois encore, on ne verra que des hommes en jugement, pour si simple qu’en lecture des règles qu’ils auraient aussi manifestement érigées. Ils ont, qu’autant sont encore à si juste que, ces droits qu’on accorde à des auteurs et inventeurs d’œuvres. Il n’en est généralement de dessein que défendre de toute motivation une certaine cause qui consacre le fait d’une célébrité. La raison sociétale de l’humain trouve en tel mécanisme l’un de ses arrangements fondamentaux pour toute structure qui fasse sa satisfaction en termes de qualité venant de son ingéniosité en toute construction de société humaine. Pousser cependant vers l’insuffisance participe aussi des engagements dont ceux qui entendent se mettre en valeur sont à toute bonne contribution pour faire du besoin en mérite une construction qui soit telle insistance qui reste cause de bien de discordes et rivalités, en bref, d’inhumanités. On solutionnera bien naturellement pour le bannissement. Il représente assez souvent un acte de grand reflexe que l’humain développe dans son quotidien, et lequel l’accompagne pendant toute son existence, par cette qualité à refuser ce qui ne lui plait pas, et qui semble ne pas être conforme à une expectative, ce qu’on juge de mauvais, pas convenable, ce qu’on refuse, ce qu’on repousse, ce qu’on renvoie, ce qu’on déteste, ce qu’on n’apprécie pas. Il en est assez souvent que cas de grande déception pour toute tentative ayant échoué et dont l’objectif ne fut que d’une manœuvre à transformer ce qu’on ne peut pas accepter, l’échec en tel dont il ne parvint pas à modifier, tel qui ne s’assume pas dans l’incorrection qu’on lui tient pour une norme qui devait lui servir de point référentiel pour tout sujet qui fasse objet d’exercice qui interpelle le juste prononcé en une réflexion, en une pensée, en une admiration. Telle posture qui annonce de la résistance est justement celle dont on s’efforcera de conduire vers ces sentiers qui confèrent le fait de la carence, de la médiocrité. Il n’en serait que d’acte pitoyable, et d’aussi bas par tel que certains considéreraient pour une guerre noble, cependant la destruction des volontés ne peut point être vue pour si graves atteintes qu’on ne manque de témoigner à la qualité de l’humain, lequel n’est que manifestement doté de cette capacité à trouver toute moindre réponse à chaque questionnement qui l’interpelle et l’embarrasse. Il faudrait peut-être écouter ceux qui disent et narrent leurs misères, qu’à la fois témoignent sur leurs expériences, celles à partir desquelles ils font observer combien, les uns en face ne furent de métier que les pousser vers des vies retenues à l’impossible. Rendre une vie impossible est-il si porteur de différence qui ne s’entendrait pas de bien semblable qu’en ôter une ? Il n’est pas d’humain qui sache tenir une certaine fierté pendant qu’il se découvre n’être que porteur d’une existence soumise, et pour si simple explication que celle qui mentionne sa qualité d’humanité retenue à la réalité d’une incompétence. La vie en soi n’est pas déjà une compétition, qu’alors à quoi servirait donc une qu’on déclarerait incompétente, et pas d’autre contraire que laisser entendre qu’on pourrait aussi naturellement ne pouvoir se montrer compétent que lorsqu’on serait porteur d’une assez belle figure, emblématique du fait de la médiocrité. Voilà telle considération qui sépare les hommes, les divise, et les éloigne les uns des autres pour si considérables qu’incomparables préjugés dont elle n’est enfin de compte que bonne source. Si elle devait les considérer, ce serait très probablement en ces avantages qui font des hommes de toute amitié que pour des positions qu’on reconnaîtrait à ceux qui n’entendent plus désormais leur humanité que sous des obligations qu’on réserve à ceux qui sont à toute nature que de capitulée, et de devoirs qu’à l’endroit des uns, les victorieux. Pour toute distinction, celle qui fasse une envie qu’on retiendrait pour tel moyen participant à nourrir un complexe, une position de faveur, de privilège, de désavantagé, il faudrait absolument qu’il y ait autre revers, celui de la conjecture. L’un qui s’y oppose n’est plus en mérite d’être vu pour si semblable avec lequel on partagerait tel qui soit commun, qu’en conséquence de quoi il faudrait l’exclure, pour en faire un ex. On le prendrait désormais qu’à l’utilité qui fasse un tout quelconque banal mensonge, d’aussi, par chaque moindre aide qui soit à toute qualité qui fasse un pseudo. Lorsqu’on n’est plus membre de ce commun qui fut affirmé, résolument on devient tel qui est renvoyé, presqu’envoyé vers l’abime, vers le fait qui consacre le besoin d’une adversité. On est pourchassé, chassé. Aux uns, tels sélectionnés dans l’accomplissement de cette besogne, on donne de francs moyens qui ne sont de minable expression qu’une concrète manifestation en toute atteinte qui les distinguerait d’hommes attachés aux mérites qui sont à tout exemple de l’indigne que porte l’absurdité d’une cruelle bestialité, la violence qui excède le concours qui soit de la qualité à l’animalité, bref l’effacement de la raison. Ils le réussissent pourtant. Le chasseur, tel véritable cependant, est celui qui ne peut s’assurer de sa froide décision que d’ultime fait pour lequel il viendrait se comparer, pendant qu’il n’est pas d’endroit où sa parole, son discours soit à toute qualité de ne pas subir la moindre contradiction, la moindre objection, qu’alors, pour ce qui donnerait autre signe de contestation, il reste maître à administrer le traitement qui soit aussi efficace que celui qui censure une voix libre, celle qui soit d’un langage qui dit l’indispensable que serait une réplique qui annonce la réfutation. La liberté, sous ces particulières conditions, ne serait qu’aux uns qui traduisent la grandeur de leur humanité, selon qu’ils feraient des griots qui chanteraient et célébreront leur rayonnement, qu’alors ils diront leur fierté en telle occasion qui soit unique, qu’en celle qui consacre le fait de leur honneur. Rien d’extraordinaire en cette démarche, puisqu’on pourrait encore comprendre qu’il n’en est que de manœuvre à toute initiative venant d’une personne, la personne, celle physique encore, celle qui défendrait une morale, celle qui la défendrait qu’assez souvent pour lever aussi haut l’excellence qu’elle entend faire porter à une personnalité morale qui ne soit que cas de sa réelle invention et d’unique que lui trouver tant de pouvoirs qui ne soient qu’à telle mesure d’aliéner celui qui irait à toute logique que s’interroger sur la liaison effective qu’elle pourrait découvrir en tel exploit. S’il ne sait pas témoigner de sa superbe en telle circonstance, d’absolument, qu’alors, il est gardé sous des lieux qui ne restent d’usage que par toute nécessité à l’instruire sur le sombre que porte l’humain. Il se serait certainement interrogé que se demander pourquoi l’humain pourrait être porteur de lumière, et d’étonnement pour si bref qu’il soit en son parcours ? Il faudrait encore être un génie d’une certaine époque, que dessiner un être lumineux, un humain porteur de lumière, pendant qu’on ne s’aviserait plus pour si simple qu’une époque, qu’un temps seul aurait encore du prétendre apporter, outre que la porter, qu’autant contribuer au fait d’une brillance. Ceux qui y tiennent bonne conviction, certainement le font avec panache. Ils ont certes des moyens, lesquels expliquent tels désirs qui feraient des apparats. Le parcours de l’humain, on ne le dira pas assez, est tel récit qui le tient pour si énorme acteur en quête d’un éclat. Il en est de si semblable pour tel qu’on déclare misérable, et qui estime qu’il n’est de soumission à tout devoir qu’être admis à telle condition qui lui donnerait l’impression de changer la qualité de son état, pendant qu’il serait en grande lutte pour toute satisfaction qui lui donnerait le sentiment de valoir tel qui lui accorderait une cote auprès de son maître, l’honorable. Ne lui a-t-on pas inculqué tel fait de toute assistance à partir de laquelle il ne pourrait faire entendre sa raison que par la grâce de tel objet ,qui lui soit toute référence, qui fasse l’illusion qui vienne d’une babiole de nature d’une pompe ? Il est celui qu’on aurait éloigné des bonheurs qui consistent à savoir créer une beauté. La lumière, il ne sait pas la produire, et d’unique cause que pour telle nécessité l’instruisant sur la splendeur, ce qui constituerait un danger à toute nature de rompre l’équilibre qu’on aurait conçu, qu’alors, il dit son culte pour tel qu’on lui a présenté de toute valeur souveraine que celle qui soit une figure, et de dramatique que pour une qui ne soit pas de sa construction. La magnificence n’est pas d’un mérite qui ferait l’objet d’interprétation de sa nature. Il est fait et retenu pour admirer et témoigner une exaltation qu’autre enthousiasme pour tout autre objet d’un rayonnement orchestré à toute mesure de lui interdire de développer le moindre reflexe qui sache l‘interpeller à faire entendre la voix de sa raison. Ceux qui sont désormais triomphants, surent surtout dire leur invention par telle si splendide œuvre d’un phare qui put encore illuminer bien d’espaces, et de moindre certitude qu’au delà de la limite que l’humain pouvait se faire. La souveraineté de l’un est tel enjeu qui soit cas de l’intérêt qu’on accorde à une personnalité. Le vocabulaire serait bien instructif. Il faudrait soigner des mots, et leur donner ce semblant de caractère qui fasse valeur de loi, qu’alors les humains pourraient véritablement se rendre compte de la grandeur dont il est question. Un éloge ferait autre discours en une circonstance précise, et d’effet que designer le fait d’une notabilité, un grand homme peut-être. Face à celui-ci, pour autre signe que d’un portrait, éventuellement une historicité, il faudrait être celui qui tient une humanité le conduisant à renoncer à laisser entendre le fait de son discernement. Il serait donc tel personnage qu’on ne désigne que par l’ombre qui le qualifie, pendant qu’il aurait abdiqué sur cet essentiel qui le caractérise encore d’humain. Et de si peu qu’affirmer sa liberté laisse entendre le son de son désaccord sur le sens d’une imposture qui lui semble aussi évidente qu’autre moyen de domptage. Tout est bien fait pour qu’on l’oublie, et de fondamental que par tel impératif obligeant à éteindre l’originalité qu’il porte, qu’en effet elle est celle à partir de laquelle on lui impose toute attitude dont il devrait se montrer d’une fidélité par tel sens le conduisant à l’abandonner. Il s’arrange désormais à s’accommoder en telle silhouette qui le pare de bien de ridicules. Ils sont ceux au nom desquels il ne peut s’abstenir de se résigner, face au moindre challenge qui l’expose à admettre sa perdition. Il est désormais évident qu’il défendrait telle réalité qui lui soit totalement étrangère pendant qu’il n’est pas de cas sérieux devant lequel il ne manque de céder. On le tient à l’imaginaire. L’image justement est toujours cette chose qui traverse le temps, pour l’impression qu’on aurait, et face à laquelle on devrait éviter la mésaventure, pendant qu’on se montrerait docile à tenir le jour par toute soumission qui obligerait qu’on soit tel qui dut faire montre de grand devoir que s’incliner. Pour tel rite justement, on devrait avoir l’apparence de celui qui s’est admis à l’exigence qu’accorde cette situation et d’aussi comparable que celle de celui qui est appelé à se rendre, qu’en effet, il n’est pas d’autre condition que celle d’un captif. La bénédiction est proclamée par toute attitude propre à celui qu’on a désigné pour si noble exemple qu’en un contexte qui contraint à se soumettre. Une bonne raison, celle qui obligerait pourtant l’humain, même un soumis, il faudrait encore entendre la mettre de coté. Cette même réalité cependant, lorsqu’elle s’exprime, il n’en est de fin que celle à partir de laquelle on ne résiste pas de constater qu’on est à toute vie que par le poids certain d’un obscurcissement qu’on traine. La raison pourtant interroge, qu’encore elle revient et pousse l’humain à l’angoisse, puisque le besoin matériel ne peut empêcher qu’on s’interroge, qu’alors, tel qui soit raisonnable n’est pas d’une chose dont on puisse s’en passer. On essaierait probablement de s’en démettre, cependant atteindrait-on véritablement tel but ? Il faudrait encore renier ce qu’on porte d’essentiel, qu’en effet, on n’efface pas une pénombre, qu’autant on ne se détache pas de ce nombre qui soit personnel, qu’on pourrait ignorer, cependant demeure telle chose de bonne différence en comparaison à la raison qu’on veillerait véhiculer par toute inadaptation que provoque la pensée malveillante, laquelle est porteuse d’un sombre qu’on symbolise en un « nombre-ténèbres », un chiffre certainement, et de bien nuisible pendant qu’on s’évertue encore à le faire porter à celui qui ne serait pas prêt à s’aligner sur l’incorrection vers laquelle une bien orchestrée violence entend le diriger. Le temps peut-être, dans sa circonstance, dans une bien précise occurrence l’aurait sacrifié. Il le délaisse pour tel de le confronter à tout excès, et d’encore pour si indigent, pendant qu’il devait subir tant de simulacres. Il n’est que peu d’occasion le conduisant vers une hypothèse qui puisse l’aguerrir à telle qualité le retenant en une fermeté qui lui soit d’aide à prétendre se libérer. Par telle condition, il est devenu celui qu’une certaine précaution a condamné à cette atroce fin qui sache d’aussi dramatiquement que d’inhumainement le négliger. Une bonne oreille aussi serait détournée de sa plainte. Il n’est pas de juste chemin où on ne manque de l’en écarter, qu’à la limite, l’y écraser. Il ne peut se défaire de ce poids qui l’accable, et le réduit à plus insignifiant que pour tel qui soit anéanti par le mal venant de la folie. S’il n’a pu apprécier une image, on fait de la sienne justement, pour tout inconvénient, que la peur que nourrit le fait d’un fantôme. Que davantage, on le pousse vers telle obscurité qui ne sert de lieu que pour tel où il affrontera le bourreau. Il ne sait plus que dire en une opacité, ce qui n’est point d’une valeur en une transparence. Sa raison l’aurait certainement informé sur la réalité essentielle qui soit sienne, cependant par telle expectative à prétendre qu’il puisse la retrouver, l’imprécation est plutôt telle chose qui lui serve de toute oppression que d’un revenant. L’imprécation est certes, cette répression qui ne manque de revenir. On la conjugue sous toutes les formes. Qu’est-ce qu’on pourrait supposer en un secret, lorsqu’on n’admettrait pas qu’il est d’une construction qui ne fasse que le fait de la ruse de l’humain ? L’inquiétude qu’on porterait, qu’on semblerait encore mentionner pour celle qu’on traine, n’a de lien qu’une certaine déchéance dont on est victime, et pour si justifiée qu’elle soit encore qu’œuvre des hommes. C’est l’homme qui donne, c’est lui qui prend, le reste ne s’entend que par le langage de la nature, pour lequel, l’humain, pour si moindre effort en décryptage, ne sait point s’affirmer pour excellent dominateur. Jamais, il n’a pu vaincre les airs, en rien il ne peut combattre les eaux, qu’en si peu encore il ne parvient à apprivoiser ce souffle qui l’engage en bien de prétentions. Il sait dire son temps par ce peu de spectacle qu’il produit, et très tôt encore la nature le ramène à de plus nobles sentiments, d’effet que par ceux qui l’instruisent aussi fondamentalement de sa vulnérabilité. Un titre ferait un doute. Il est aussi soumis au fait de la violence. Ne le renverse-t-on pas assez souvent ? Toute déclaration n’échappe pas au fait d’un soupçon. Ne s’arrange-t-on parfois pas à la dénoncer, et à la limite que démontrer, démonter, l’absurdité qu’elle porte. Il faudrait bien admettre qu’on n’est parfois exigent en une relation que par tel avantage que procure l’essentiel que produit une réalité qui se construit autour de l’essentiel que contient une vérité, celle encore indispensable, selon qu’elle instruit d’une relativité. Voilà justement ce qu’il en est de si parfait que de réel. La contradiction que ce fait tangible, matériel, porterait, prouve surtout de la limite qu’on sache donner à toute question qui ne demeure qu’objet de préoccupation, qu’en tel domaine qui fasse un relationnel. Lorsque tout se comprend, il en est de ce qu’on ne peut pas abandonner. Un tel abandon est inacceptable, inadmissible, inconcevable. Il faudrait donc oublier, qu’on est, qu’on existe, ce à quoi on est fait, et pour tel que de le devenir. Cependant, en l’autre, que de le penser, il ne sera que cas d’offense, d’affront qu’on ne laisserait pas impuni. Les ténèbres ne sont d’expérience que pour ceux qui furent condamnés pour si moins bonne existence. Ils devraient trouver une raison en cet hermétisme. Il n’en serait que d’un bel avantage les obligeant à tenir une évolution qui soit encore si fortement encadrée de confusion. Tout est à confondre, mystère comme misère. Ce qui n’est pas mystérieux chez l’un est misérable chez l’autre, et il importe encore que de jouer sur ces sonorités, sur ces ambigüités, sur ces non-sens, en l’improbable vers lequel peut immanquablement conduire une hypothèse. Il faudrait vivre pour ne pas savoir décortiquer l’incertain que couvrirait une équivoque. On ne peut pas être humain, qu’à la fois être exclu de la qualité à manifester le doute. Le doute ne révèle pas du fait surhumain, il n’est pas la priorité du surhomme.
Posted on: Mon, 16 Sep 2013 20:46:05 +0000

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