"Une princesse dans les bras de son fils": Deuxième partie - TopicsExpress



          

"Une princesse dans les bras de son fils": Deuxième partie Préface Il semblerait que Einstein, Karl Marx, et Darwin se soient rétractés dans leurs pensées, au moment de l’approche de l’instant de leurs morts, et de tel que d’autres stupéfiés, qu’en admettant l’existence de dieu. Ce ne fut encore que ce qu’on enseigne qu’après leurs morts. Témoignages et verdicts posthumes. Moi personnellement, je prends la peine de le souligner de mon vivant, et de bonne indication que dans mon livre. Jamais, et même à l’instant de ma mort, je ne changerai ma position sur la non existence de dieu. Fondamentalement, dieu n’a jamais existé, et n’existera jamais. Qu’il en soit ainsi, même après ma mort. Qu’il en soit de ce qu’on enseignera, qu’au compte de mon existence. Je ne changerai jamais d’avis. Cela, je l’ai soutenu en Occident, devant occidentaux et orientaux, je l’ai soutenu en Nigritie, je l’ai soutenu jusqu’à mon dernier jour. Une fois surtout, là dessus, encore, que l’humain se taise. Qu’il soit surtout rassuré. Il ne sait pas de quoi il parle. Cependant, libre à lui de bâtir son entreprise, son empire, et construire son imaginaire. Jacques Chirac considère que l’Europe est une terre de judéo-christianisme. Jamais, moi homme de Nigritie, je n’irai point lui prendre cette pensée sienne. Encore, un sondage dans un journal, en l’occurrence, « Le Monde », indique que, 40% des français et allemands considèrent que l’Islam est une menace pour l’Occident. En cette considération, le passé a pu longuement qu’apporter ce verdict sur telle approche. Il n’en est rien de nouveau, sinon que principe. Cela, Aussi, le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, ne l’ignore plus. Il a du longuement perdre des heures de sommeil pour le découvrir. Il en est de tout ce qui construisit sa personne, tout ce qui fit son école, et dont il ne laisserait personne s’arroger la moindre injustice quant à devoir l’éteindre. Simplement, qu’on ne lui demande pas de ne pas raisonner sur ce que la Nigritie porte comme passé. En effet, il s’étonne de constater que, l’Occident qui a commis tant de crimes en Nigritie, est devenu tel qui organise désormais des procès des hommes de Nigritie. L’homme d’Occident n’a pas besoin de refaçonner l’humanité de l’être de Nigritie. Jamais, il ne saurait le faire. C’est en cela que le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, soutient que, juifs et arabes ont échoué en Nigritie. Ce fut cela ce projet. Il sera toujours contesté, quelles que soient les représailles. le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, a accepté se retrouver dans la rue, dans laquelle il est d’existence que manger dans la poubelle, et de fait que défendre honnêtement la dignité de l’homme de Nigritie contre des intérêts de grande horreur, de monstruosité inimaginable, d’atrocité de toute cruauté, d’effroyable tyrannie que représentent le Christianisme des juifs et l’Islam des arabes, des valeurs de culture face auxquelles tout ne s’accompagne qu’en l’anéantissement de l’humanité de toute originalité de l’homme de Nigritie qu’il reste. En cette souffrance, il put encore que dire : « pas de compromis sur cette humanité qui vaut toutes les autres ». Il est difficile d’admettre que le restant des hommes a été confondu dans les méandres organisant des peurs et soupçons, pour ne pas se montrer capable de percevoir tel que je reçoive, et pour lequel l’humain subirait un procès, pour si moindre que réclamer justice face à l’histoire. Il est bien ridicule aux uns et autres de faire bonne aisance des avantages venant des privilèges que leur accordent des logiques de pouvoir dont ils en font bel partage, cependant, interpellés sur les mêmes longueurs et circonstances, en ces discours qui annoncent le rôle positif d’une barbarie, d’une entreprise de grande horreur, qu’en effet, ils deviennent encore ces mêmes acteurs qui se rétractent. Nul ne saurait détacher l’Islam et le Christianisme de toute nature essentielle que coloniale ? Qu’est-ce qui légitimerait donc chez l’un, homme de Nigritie, telle position le réclamant chrétien ou musulman, pendant qu’il reste encore ce même qui rejette le positivisme colonial ? Le mot Nigritie n’est-il pas autre que celui qui soit à justifier une place au Panthéon ? Qui ne se plaindrait pas, pour toute réclamation qui laisserait entendre que les pensées de Montesquieu, Voltaire, Rousseau portent atteinte à des dignités précises. On n’est pas obligé de dénoncer un persécuteur, cependant, il faudrait aussi songer à tout sens de justice, pour si moindre que par des faits. Qui avait intérêt à faire passer pour musulman le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire? Qui avait refuge en une commodité à mentir sur sa personne, et d’autre tristesse que le faire passer pour tel qui ne milite que pour la cause palestinienne ? En telle souffrance endossée, il avoue le pouvoir de la calomnie. Elle est si destructrice, dévastatrice. En sa posture d’enfant de Nigritie, le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, ne sait que revendiquer ce dont il est persuadé être de sa juste propriété, l’être de son ego, un homme dit « noir ». Il n’est pas le fils de tout autre penseur. Il s’est fait par son propre effort. Il s’est fait de bonne éducation, et de meilleure satisfaction que repousser l’idéologie. Sa bouche ne porte qu’une langue meurtrie au fait éducatif, pas celui de la calomnie. Il ne laissera personne détruire son école, que manifestement, à l’un, en ce proposé, il lui reviendrait aussi de le détruire. N’est-ce pas justement ce qui se réalisa pendant que le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire fut en Occident ? Que ses bourreaux soient pleinement rassurés, il ne tend pas la main pour y retourner. Si jamais, la violence venait à offrir toute possibilité que cette liberté derrière laquelle, le fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, court, qu’encore que de toute certitude, ce livre, de préférence, cette œuvre sera comprise. Elle au moins n’est pas toute chose usurpée. Qu’est-ce qu’on n’aurait pas gagné, pour tel effort que par écrit. Il faudrait simplement admettre le fait suivant lequel, chaque homme puissant, ayant aussi lu que clandestinement mes écrits, qu’autant écouté d’aussi imparfaitement mes déclarations, pour lesquels il se serait laissé aller à toute réflexion et méprisable agissement, qu’en effet, pour telle démarche, il commet un acte de possession illicite de ma production intellectuelle, qu’alors, pourquoi devrais-je mériter tel sort de pauvre et misérable ? Le misérable, en réalité, est l’autre qui m’épie, m’écoute, me soumet à sa violence. Il se dénonce, puisqu’il ne propose que de l’irréel, l’irrationnel. Forcement, qu’en telle mesure, l’irrationalité ne peut fondamentalement aboutir à toute chose posée que par celle qui oblige à prétendre dire une raison par la sauvagerie. Il n’est pas de crime aussi énorme qu’une nation, ou un Etat puisse commettre à l’endroit d’un citoyen d’une toute autre humanité, que sacrifier la vulnérabilité de cet innocent de citoyen auprès d’une autre nation prédatrice, et pour si simple raison que l’obliger à ne pas aller vers le savoir. Il n’y a pas plus énorme crime que celui qui consiste chez un idéologue de noyer le cerveau d’un humain dans un dogme qui le grandit dans l’irrationalité. Absolument, les loi et morale ne sont pas là pour tous. Le crime contre un homme, en un parcours, ne peut servir qu’à l’élever, et d’aussi bien qu’en tel qu’on découvre ayant grandi. Le temps se venge toujours de celui qui ne s’en souvient plus. La dernière traite négrière, la plus sale, la plus ignoble et indigne est celle qui n’est plus basée sur les violences que prendrait un corps, sur le physique, la race, la force de l’individu, mais celle pour laquelle, l’homme, l’enfant de Nigritie est dérouté par telle énorme attaque sur son mental, son intelligence, et de belle façon que par cette horrible et invincible mine d’un dispositif exceptionnel en son parcours d’éducation, pour si moindre ordre que celui le retenant au fait de l’adoration. Ma limite veut bien que je ne sache que comprendre l’homme, et rien de mieux. A l’autre, à vous, qu’à ce triste espion qui me tendit sa carte de visite, vous avez insisté, qu’en effet, je vous renvoie justement votre humanité. C’est encore un honneur que je vous accorde. Pendant le séjour en Occident du fils de cette femme qui ne savait ni lire, ni écrire, il put aussi exactement que surtout comprendre les rôles d’une femme. Ce sont ceux de cet être qui porte et donne la vie, par conséquent tel être capable d’apprécier l’injustice. En ma qualité d’auteur, je ne suis pas tel qui proclama l’esclavage des hommes de Nigritie pour si moindre qu’un « crime contre l’humanité ». Ce ne fut encore qu’une humanité d’hommes de Nigritie qui fut désignée. A vous, sieur Jean d’Ormesson, ne me tenez pas à la condamnation, pour si grave faute que celle d’avoir indignement œuvré à salir votre auguste nom dans un livre qui soit passible de bien de flammes, d’accusations et sentences. Je n’aurai fait qu’admirer un homme qui ne fut pas à l’école. Je ne dus que faire écouter un homme qui eut aussi une mère, pour tel bonheur qu’elle lui apporta. Je n’aurai pas diffamer le nom du père d’une fille. Sieur Jean d’Ormesson, mon livre parle de la souffrance d’un homme, un être de Nigritie, pour si moindre que par des malheurs qui ne lui viennent que pour deux choses qu’une majestueuse cognition retiendrait comme étant celles sur l’entendement des écoles à tout crédit que sur les faits juifs et arabes. D’aussi semblable que je pus vous découvrir, il en est aussi que pareil pour votre collègue à l’académie Française, la très respectée Dame Simone Veil. Je sais de quelques lignes de son parcours. J’ai lu sur ses souffrances. Elle est aussi une femme, très probablement une mère. Sieur Jean d’Ormesson, je vous supplierai de lui parler de ce livre. Pour tant de violences que porte ce livre, et d’aussi justement qu’elles soient relatées, qui d’autre que cette victime ne penserait pas un seul instant à la réalité du complot des juifs et des arabes contre le pauvre homme de Nigritie, auquel ils estiment, qu’encore que si peu, que prétendre lui apporter du pain. Les figures de gros tyrans, en ce contexte, que sont celles que juifs et arabes imposent de toute ordure à l’homme de Nigritie, qu’en tel contexte, ne trahissent-elles pas ce complot ? L’homme de Nigritie a besoin de survivre. Lorsqu’il le comprendra d’aussi profondément que sincèrement, il sera bien obligé de rejeter ces tyrannies, sous lesquelles le retiennent l’absurdité des idéologies des juifs et arabes. Cela est inévitable. Cela se produira. Jamais cela ne se négociera. Les juifs le savent, les arabes ne l’ignorent pas. Ils y pensent réellement et ne se demandent plus que, d’attente, quand cela se concrétisera. Cet homme qui subit pourtant, que tant de violences, tant de coups, partit et ignora cette guerre qu’on lui mena injustement. Ignorer, l’irrationnel, l’irréel, fut encore son école. Subir la violence de l’inconnu fut aussi son faible, sa vulnérabilité. Vergogne à vous les juifs, vergogne à vous les arabes. Nous hommes de Nigritie ne portons aucun tort pour si moindre que ne pas être de la même race que vous. Regardez vos tyrans, curieusement tous les deux ne sont que de la même race. Où se trouve donc la part de l’injurieux ? Où est la part de l’inconfortable ? Rendez-vous encore que compte, combien vous ne nous imposez que des tyrannies étoffées par des discours du fait racial. Nous ne voulons plus prendre vos couleurs. Nous ne pouvons jamais prendre vos couleurs. Arrêtez de nous obliger à des tyrannies. A vous, le sieur Jean d’Ormesson, vous, que par telle qualité d’académicien, accepteriez-vous, combien, je ne partage pas la même race que vous ? Si oui, respectueusement, je vous dirais encore que je ne vous prends pas votre nature, même pas celle d’un académicien, que culture. Mais de déférence, n’acceptez pas de prendre celle d’un écrivailleur. Il est bien temps déjà, qu’en compensation, qu’on me rende la mienne, toute chacune. En grec surtout, que d’autre effort, le fils de cette femme de Nigritie qui ne sait ni lire, ni écrire, put encore découvrir l’essentiel que porte le titre de l’œuvre d’Aristote: « L’éthique à Nicomaque ». Le bonheur revient encore au combattant victorieux. Pouvoir l’imaginer en grec, n’oblige pas forcement à être, meilleur, noble, excellent. Simplement, qui devrait encore admettre le fait suivant lequel, l’éthique ne serait que toute duperie sous laquelle, on oblige ceux qui ne savent pas se défendre, et de toute aide qu’en évoquant le précis d’une certaine chronologie? L’un qui eut l’occasion de découvrir Homère, le père de l’écrit grec, pour si moindre compréhension, ne peut manquer d’admettre le vrai pour lequel, l’écriture homérique, fondamentalement, n’enseigne qu’une immense gloire venant de l’éthique en toute violence que celle par la voie de la guerre. Etre homme de Nigritie, et ne pas dire, qu’aussi raisonnablement une approbation sur l’obscur indigeste venant de l’idéologie que répand les récits arabe et juif, ne peut mériter qu’une mise à mort. Il faudrait bien mourir, qu’être tué, pour avoir porté une raison. Jamais, la manière ne saurait designer le véritable, tueur, tel angélique meurtrier. Il faudrait affamer, torturer, diffamer, bref aller vers toute invention aboutissant à l’anéantissement du penseur portant toute l’originalité procédant de la voix expliquant du fondamental de la Nigritie, qu’encore défendant la différence que porte l’homme dit « noir », qu’au meilleur, soutenant le fait de la reconnaissance de son humanité, laquelle ne peut être écrasée, apprivoisée, mise en ruine, en faillite, détruite, rendue inexistante, phagocytée et dévorée par les humanités des juifs et des arabes, que bien d’autres. Le savoir que porterait l’homme de Nigritie est une énorme terreur pour la prétention de l’homme juif, de l’homme arabe. Qu’ainsi, que dire? Qu’au mieux, l’appréhender d’aussi simple et avouer, qu’en questionnant: « Oh toi, quelle justice saurais-tu être? » Aux hommes de Nigritie, que condamnés à lire le livre des juifs, à lire le livre des arabes, qu’encore que jamais celui de leur semblable, homme de Nigritie. Lire, et lire, que rendre hommage à ces deux grandes figures d’ « Apartheid ». Ici, on n’aurait certainement pas si bien écrit pour si moindre que respecter toutes les règles affectées au fait du raisonnement, cependant on aurait encore eu le courage de consigner des réflexions, aussi discutables qu’elles soient. La règle du vainqueur, qu’Occident, qu’Orient, qu’au bien, qu’au vaincu, la Nigritie devrait subir le mal. Si dieu, que manifestement, et d’infortune, avait existé, indiscutablement, pour tel auquel il ne devait pas échapper, de conforme qu’à l’image de ces absurdités de graves tyrannies, il ne serait honteusement qu’un raciste.
Posted on: Mon, 16 Sep 2013 18:38:12 +0000

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