12ème Congrès du PDCI-RDA/KKB : « Pourquoi je veux conquérir - TopicsExpress



          

12ème Congrès du PDCI-RDA/KKB : « Pourquoi je veux conquérir la Présidence du parti » Monsieur le Président d’organisation du XIIe congrès Respectés membres congressistes en vos rangs grades et qualités Honorables invités Chers amis de la presse Permettez-moi de témoigner ma profonde gratitude pour le privilège de pouvoir m’exprimer à ce XIIe congrès si capital. Il s’agit aujourd’hui d’un très grand honneur pour moi, parce que, soyons honnête, ma présence sur cette tribune est assez incroyable. Je suis venu vous parler du PDCI-RDA, et donc de la Côte d’Ivoire. Je suis venu vous parler du PDCI-RDA qui pleure, mais aussi du PDCI-RDA qui espère. Je suis venu vous parler du PDCI-RDA d’aujourd’hui – une page est en train de s’effacer – et du PDCI-RDA de demain – nous sommes en train de l’écrire. Je suis venu vous parler du PDCI-RDA que nous allons construire. Je le fais ici à Treichville, un des berceaux de notre parti, qui a tant donné à la Côte d’Ivoire. Nous sommes ici, chers congressistes, pour changer le destin de notre parti. Je suis prêt à assumer cette responsabilité et donc à vous dire quelle est ma conception de la présidence du PDCI-RDA, et ce qui justifie que je me présente aujourd’hui à la Présidence de ce parti. Quelle est la plus noble mission que de présider à l’héritage politique de Félix Houphouët Boigny ? Présider le PDCI-RDA, c’est faire respecter les statuts et règlements pour tous dans la mesure qu’ils demeurent notre boussole, notre talisman. Présider le PDCI-RDA, c’est rassembler, c’est réconcilier, c’est unir, sans jamais rien perdre de la direction à suivre. C’est écarter la délation, la division, la suspicion, les oppositions entre militants, ceux qui seraient là depuis toujours, ceux qui seraient là depuis moins longtemps. Présider le PDCI-RDA, c’est refuser que tout procède d’un seul homme, d’un seul raisonnement qui risque d’ailleurs d’affaiblir notre parti. Présider le PDCI-RDA, c’est défendre la dignité des Ivoiriens. C’est faire participer nos Secrétaires de section aux grands débats qui les concernent, et le premier sera le chemin vers la stratégie de la reconquête du pouvoir d’Etat sil les congressistes m’en donnent mandat. Présider le PDCI-RDA, c’est se dévouer à l’intérêt général de nos militants, dont toute décision doit procéder. C’est éprouver le PDCI-RDA par sa raison et dans son cœur. C’est prolonger l’histoire de notre pays, qui vient de loin, et qui a éclairé la sous-région naguère. C’est se situer à cette hauteur. C’est s’en montrer digne, partout, en tout lieu et dans tous les actes qu’exige cette fonction en mettant de côté les peurs, les frilosités, les petits privilèges temporels et les conservatismes. Présider le PDCI-RDA, c’est porter les valeurs du PDCI-RDA dans le cœur de chaque Ivoirien. C’est se préoccuper du sort de nos concitoyens pour qu’ils nous estiment en retour. C’est ne jamais transiger avec les fondements de notre idéologie, qui sont l’esprit de paix, de justice, de tolérance, de pardon, l’attachement au dialogue et à la prospérité. Mais Présider le PDCI-RDA, c’est savoir aussi prendre des décisions courageuses pas simplement à la suite d’un échec. Je pense à la marginalisation de nos militants, auxquels je veux rendre hommage ici, avec émotion, avec dignité, avec respect, comme aux sympathisants qui souffrent dans leur chair. Je pense aux Ivoiriens dans leur peine quotidienne. Je les ai écoutés. Je pense à ceux qui s’interrogent à un lendemain meilleur. Mais il faut aussi avoir la lucidité d’affirmer, au-delà des faux semblants des hommes, que notre alliance RHDP a pris du plomb dans l’aile. Elle a été porté sous les fonts baptismaux il y a de cela 8 ans dans un but précis, qui était de répondre à la violence d’Etat du défunt régime de Laurent Gbagbo. Je l’avais pleinement approuvée en pesant de tout mon poids à la création de la jeunesse houphouétiste (RJDP), précurseur du RHDP. Et bien aujourd’hui, cette mission est terminée. Il est donc temps que chaque allié travaille dans l’intérêt de sa formation politique. Le temps est venu que le PDCI-RDA s’occupe de lui-même. Après tout, un RHDP fort suppose un PDCI-RDA puissant et non rabougri. J’en assumerai donc, si les congressistes m’en donnent le pouvoir, toute la responsabilité de notre parti. Présider le PDCI-RDA enfin, c’est donner le meilleur de soi-même, sans jamais attendre en retour récompense ni même reconnaissance. C’est être ambitieux pour la Côte d’Ivoire et humble pour soi-même. C’est se donner pleinement, entièrement à la cause que l’on a choisie, la seule cause qui vaille : servir le PDCI-RDA. Présider le PDCI-RDA, c’est se mettre au service de nos militants, de nos secrétaires de section. C’est donner l’exemple, y compris dans son comportement et pour être présent sur le terrain. Et je sillonnerai les villes, les hameaux aux contacts de nos vaillants militants. Nous sommes un parti de militants et les militants sont notre force. Mais nous devons aussi donner les moyens aux sympathisants de prendre la parole au sein de notre parti. Nous devons nous transformer en parti de masse. Je propose que des rencontres régulières soient organisées avec tous ceux qui sont intéressés par nos idées sans être prêts encore à prendre leur carte de militant. Je propose que le forum des sympathisants soit créé. Je propose que les différents cercles de réflexion soient associés à ce travail. Présider le PDCI-RDA, c’est à cette fonction que je me suis préparé. J’en sais la dureté, la grandeur. Je veux le faire en étant digne de votre confiance et en restant fidèle à moi-même. Tout dans ma vie m’a préparé à cette échéance : mes engagements, mes responsabilités, mes réussites, mes épreuves. J’ai toujours suivi la ligne que je m’étais fixée. Je suis militant du PDCI-RDA. Je ne n’ai rien reçu en héritage. Même si héritage, il y avait je l’aurai assumé et le faire fructifier. Il m’a fallu décider lucidement d’aller vers le PDCI-RDA. J’ai grandi à San-Pédro dans une famille née PDCI. Mais cette famille m’a donné la liberté de me battre, par son éducation. Je remercie mes parents. Mon père, parce qu’il avait des idées qui force à l’audace et qu’il m’a aidé à affirmer mes convictions. Ma mère, parce qu’elle avait l’âme généreuse et qu’elle m’a transmis ce qu’il est de plus beau : l’ambition d’être au service des autres. Oui, le PDCI-RDA, je l’ai choisi, je l’ai aimé, je l’ai rêvé. Le PDCI-RDA, je le sers comme élu de la République, comme député. Le PDCI-RDA, je l’ai dirigé à travers sa jeunesse pendant ces 10 dernières années et j’en revendique les avancées. Au niveau des candidats, je peux dire que de par mon âge, c’est moi qui représente cette jeunesse et qui vais dans son combat. C’est donc moi qui porte son espoir. Chers congressistes, si j’en suis là, c’est le fruit d’une obstination. Le hasard n’y est pour rien. C’est un aboutissement. Vous me connaissez, certains, depuis longtemps, treize ans, je reste moi-même, c’est ma force. Ce que vous voyez ici, c’est ce que je suis. Je veux conquérir le PDCI, mais je ne suis pas un vorace, je veux simplement le mettre au service des Ivoiriens comme l’a fait le Président Félix Houphouët Boigny. J’ai donné, j’ai reçu des coups, mais j’ai une cohérence, je m’y tiens, je suis constant dans mes choix, celui de ne jamais laisser affaiblir le PDCI-RDA. Je n’ai pas besoin de changer au gré des circonstances pour être moi-même. J’ai conscience que le parti, pour être efficace, appelle une direction sûre à sa tête, mais qu’il n’y a pas de réussite possible si celui qui est à la tête du parti, précisément, n’associe pas les autres, ne mobilise pas les intelligences, ne gagne pas le meilleur de ce qu’il y a dans chacun d’entre nous, ne fait pas entendre la voix du rassemblement, de la réconciliation et de l’apaisement. Je n’aime pas les honneurs, les courtisaneries, les flagorneries. Je revendique une simplicité qui n’est pas une retenue, mais la marque de l’authentique autorité. Je vais vous faire une confidence, cette confidence que j’ai gardée depuis longtemps mais que vous avez sans doute découvert : j’aime les gens qui se battent pour la justice, quand d’autres sont fascinés par la gloire. Je prends chaque regard comme une attente, chaque visage comme une curiosité, chaque poignée de main comme une rencontre, chaque sourire comme une chance. Certains me reprochent de n’avoir jamais occupé de poste de responsabilité au niveau de l’Etat. Quand je vois ceux qui le sont aujourd’hui, cela me rassure ! Mais je n’attendrai pas jusque-là, je vous en fais la promesse ! Je sais aussi que rien n’est jamais acquis sur cette terre des hommes, que tout ce que l’on croit irréversible, inaltérable, inattaquable peut être à tout moment atteint en son cœur. Les inégalités, les injustices, la pauvreté, sans oublier l’insécurité : nous ne sommes jamais en paix. La Côte d’Ivoire n’est pas un fleuve tranquille. Il connaît d’inexplicables sursauts. L’homme politique, que je suis, doit se préparer à tout, c’est-à-dire au pire, et toujours rester vigilant, poursuivre inlassablement le combat qui est le sien pour la promotion de ses idées, pour la dignité humaine, pour la prospérité de ces concitoyens, pour la démocratie, ne pas se laisser détourner pas les mouvements d’humeur, par les petites vanités, tenir son cap. Je suis un optimiste de la volonté. Je crois que le meilleur est possible, que les militants du PDCI-RDA réunis autour d’un projet commun construisent leur propre histoire. Je suis plus que convaincu qu’ils attendent aujourd’hui une direction forte, un rassemblement sur l’essentiel, et surtout de la part de celui qui doit les conduire, une considération, un apaisement, un respect, une confiance. La confiance est un mot qui ne figure pas dans nos statuts ou dans notre règlement intérieur, qui ne coûte rien mais qui peut rapporter gros. Elle ne résout rien par elle-même, mais elle autorise tout si on sait la saisir. Et c’est pourquoi je veux redonner confiance aux militants du PDCI. Deux grandes dates ont marqué ma vie politique, l’une violente, le 24 décembre 1999, une blessure que le parti porte encore, une journée terrible ou des soldats de rangs, faute de vigilance et de lucidité face à la menace, face à la dispersion, met le parti au second rang et permet à nos adversaires de s’installer depuis plus de dix ans. J’en ai tiré toutes les leçons. L’autre date qui reste gravée dans ma mémoire est celle de la défaite du PDCI-RDA au premier tour de la présidentielle de 2010, une première dans l’histoire de ce parti, depuis sa création en 1946. S’ensuivront d’autres échecs comme les législatives de décembre 2011 et les élections locales du 21 avril 2013. Pourquoi tant d’échecs ? N’est-il pas temps d’en tirer toutes les conséquences politiques d’une telle bérézina ? Le moment n’est-il pas venu de changer notre manière d’agir pour que les choses changent agréablement au PDCI-RDA ? Ce 12è congrès est placé sous le triptyque « Rajeunissement-Renaissance-Renouveau », c’est dire que la jeunesse doit être placée au centre des actions du parti dans la mesure qu’elle représente 70 % de la population. Je connais bien notre pays, je l’ai parcouru, sillonné tant de fois, sans jamais me lasser de le découvrir. Je connais ses villes méconnaissables, ses campagnes engluées dans la pauvreté et l’indifférence alors que nos braves paysans continuent de travailler pour garder leur dignité. Mais avant d’évoquer mon projet, je vais vous confier une chose. Dans cette bataille qui s’engage, je vais vous dire qui est mon adversaire, mon véritable adversaire. Il n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, il ne sera donc pas élu, et pourtant il agit. Cet adversaire, c’est l’échec. Sous nos yeux, en vingt ans, l’échec a pris le contrôle de notre parti et même de nos actions. Cher congressistes, si l’échec est l’adversaire, alors il faut l’affronter avec nos moyens, sans faiblesse mais sans irréalisme, en pensant que ce sera un long combat, une dure épreuve mais que nous devrons montrer nos armes. Dompter l’échec, commencera ici par l’affirmation de nos convictions sans nous renier nous-mêmes. C’est pourquoi, la formation de nos militants doit être une priorité. Chers congressistes, je veux citer Pierre Mendès France, qui nous disait que « la vérité doit forcément guider nos pas ». Je vous dois donc la vérité. Je connais les contraintes de l’échec en politique, l’ampleur de nos défis à relever, la gravité des blessures de nos militants, la faiblesse au niveau de formation idéologique, la lourdeur de notre appareil. Je ne promettrai donc que ce que je suis capable de tenir. Je dois maîtriser sans rien renoncer les choses et d’abord le temps. Mais je ne perdrai pas un seul instant, pas un seul instant, du mandat qui me sera confié. Sur le plan international, renouer les contacts avec les partis frères africains qui partagent la même idéologie que le RDA comme au temps du père fondateur. Sur le plan européen, outre le socle du gaullisme français, des contacts seront pris avec des parti comme la CDU de la chancelière Angela Merkel et le parti conservateur de David Cameron. Car le PDCI-RDA ne peut pas se complaire dans un isolément au plan international devant une mondialisation de plus en plus prégnante. Ici dans le parti, sans même attendre notre convention pour choisir notre futur candidat à la présidentielle d’octobre 2015, j’engagerai, avec les instances du parti, les premières mesures en faveur des militants qui ont déserté nos murs. Pas un instant, nous ne resterons inactifs. Le mandat ne sera pas une volte-face mais un apaisement des cœurs. D’ores et déjà, nous savons où nous voulons aller. Nous connaissons les temps et les rythmes. Nous avons fixé aux militants l’objectif du rassemblement, mais également les moyens. Nous savons que nous avons des moyens limités, mais que nous avons la volonté ! C’est cette démarche qui convaincra. Les militants veulent être davantage écoutés et pris en considération : ils ne veulent plus être simplement des boîtes aux lettres qui prennent les ordres de la maison du parti à Cocody et les exécutent, ils veulent participer à la décision. Ils veulent que leur évaluation des situations politiques locales, des rapports de force, de la capacité de tel ou tel candidat à porter un projet soit entendue. Ils veulent pouvoir disposer de moyens financiers autonomes, et que leurs dépenses de campagne soient remboursées peu ou prou en fonction de leur fonction sociale. Ils veulent pouvoir progresser dans la hiérarchie de leur parti et occuper des postes de responsabilités pour devenir un jour élus. En bref, ils veulent participer pleinement à la vie politique de notre mouvement et ils ont raison. Que serions-nous sans eux ? Qui collerait les affiches ? Qui soulèverait les chaises et les bâches ? Qui se ferait le relais sur le terrain de nos décisions ou de nos propositions ? Les électeurs aussi ont des attentes plus précises. Ils ne prennent plus les slogans pour argent comptant, ils veulent des projets clairs, des engagements sans faille, une vision de l’avenir de la Côte d’Ivoire. Ils sont intéressés tout autant par les questions locales, les problèmes quotidiens, que par les grands débats de société ou les choix internationaux. Ils ont une conscience politique aiguë. Ils sont autonomes, ils ont leur propre jugement. Les électeurs veulent des élus exemplaires, qui rendent des comptes sur leur action et qui sont soumis à des contrôles sur leurs dépenses. Nous devons tenir compte de cette exigence nouvelle des électeurs. Nous devons ouvrir des espaces de discussion sur internet dans les grandes villes et organiser des rencontres politiques plus fréquentes sur le terrain pour répondre à ces attentes. C’est pour les jeunes mais aussi les aînés que j’encourage la chaîne de génération, pour permettre de créer la symbiose au niveau des militants. En fait, la réconciliation des âges, la solidarité entre les générations ! Les ainés accompagneront les jeunes, en leur enseignant leur savoir-faire, leur expérience, leur compétence. Et les jeunes qui entrent en politique auront un acquis qui pourra booster leur marche. Et je me permettrai de citer Shakespeare, qui rappelait cette loi pourtant universelle : « ils ont échoué parce qu’ils n’ont pas commencé par le rêve ». C’est pourquoi nous pensons que le véritable rêve, la véritable richesse est de faire triompher les idées et non le pouvoir de l’argent ou l’amour de l’argent, qui est l’un des féaux de ce siècle. L’argent n’est qu’un moyen pour accomplir le rêve. Eh bien nous réussirons collectivement parce que nous commencerons par évoquer le rêve ! Le rêve du PDCI-RDA, c’est l’effort dans le rassemblement, le rassemblement qui sera plus fort que nos divisions, plus fort que l’argent, plus fort que les titres et les honneurs ! Le rêve du PDCI-RDA, c’est l’achèvement de la promesse républicaine autour de la méritocratie, de la laïcité, la géopolitique, de la dignité humaine, de l’intérêt général, la prospérité des masses laborieuses. Je veux, je veux que nous allions ensemble vers la Côte d’Ivoire de demain avec le PDCI-RDA ! Un PDCI-RDA du travail, de la compétence, de l’effort, de l’initiative, où le droit de chacun s’appuiera sur l’égalité de tous. Un PDCI de la justice, où l’argent sera remis à sa place, qui est celle d’un serviteur et non d’un maître. Un PDCI de la solidarité, où aucun des militants ne doit être laissé de côté. Un PDCI du civisme, où chacun demandera non pas ce que le parti peut faire pour lui, mais ce que lui, peut faire pour le parti ! Un PDCI de la diversité où chacun apportera sa différence, mais dans l’unité du parti, fiers d’entre militants, militants, parce que c’est le plus beau nom qu’on puisse donner à un individu qui a une conviction politique. C’est pourquoi, il faut bannir de nos structures les associations rattachées à des personnes et non à des idées. La pratique nous montre que ces responsables d’associations que nous avons connus au PDCI-RDA sont souvent des mercenaires politiques aux services de causes corrompues. Cela ne grandit ni la politique encore moins leurs mandants et leurs auteurs. Le temps est venu de rendre les structures du parti (Présidence, Secrétariat Général, JPDCI-RDA, UFPDCI-RDA), plus fortes et soudées. Abat les associations fictives qui fleurissent à des jours pairs et disparaissent à des jours impairs. Le PDCI-RDA, le PDCI-RDA n’est pas un problème. Le PDCI-RDA est la solution ! Voilà le choix, chers congressistes, voilà le choix qui vous attend. Toujours le même, toujours celui, depuis que la démocratie existe, entre la peur et l’espoir, entre la résignation et le sursaut, entre l’agitation et le renouveau. Eh bien approprions-nous le renouveau, le rajeunissement et la renaissance et le renouveau comme l’indique le thème de notre XIIe congrès. Le renouveau, c’est aujourd’hui, le rajeunissement, c’est aujourd’hui ! La renaissance, c’est aujourd’hui ! audace, c’est aujourd’hui ! Le rassemblement, c’est aujourd’hui ! La victoire, c’est aujourd’hui ! Le PDCI, c’est aujourd’hui ! Chers sœurs, chers frères, militants et sympathisants du PDCI-RDA Mobilisons-nous, rassemblons-nous et dans 24 mois, dans 740 jours, nous ferons gagner le PDCI-RDA, pour faire avancer la Côte d’Ivoire et nous réussirons le défi ! Le défi, j’y suis prêt ! Vive le PDCI-RDA pour une Côte d’Ivoire prospère et réconciliée ! Que vous bénisse et bénisse la Côte d’Ivoire ! KOUADIO KONAN BERTIN, candidat à la Présidence du PDCI-RDA Fait à Abidjan, le 05 octobre 2013
Posted on: Sun, 06 Oct 2013 08:35:12 +0000

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