1995, Johnny est en Lorada Sur la pochette du CD, Johnny tout de cuir noir vêtu, santiags noires, assis sur des marches, bras sur les cuisses, blouson et visage fermé, regard de face, une guitare posée sur une marche contre un mur. L’album, sorti le 19 juin 1995, est enregistré au studio Guillaume Tell et chez Johnny à La Lorada ; de nouveau son titre est celui du studio, comme avec l’album Gang. L’album est réalisé par Éric Benzi, ancien membre du groupe Canada, et la production artistique est de Jean-Jacques Goldman qui signe son retour avec Johnny, neuf années après l’album Gang. L’album contient treize titres : Lorada, Est-ce que tu me veux encore, Rester libre, Le regard des autres, Lady Lucille, Un rêve à faire, J’la croise tous les matins, Chercher les anges, Tout feu, tout femme, Quand le masque tombe, Ami, Aime-moi, Ne m’oublie pas. Particularités de l’album : Jean- Jacques Goldman signe J’la croise tous les matins, chanson reprise en duo par lui et Johnny au Stade de France en 1998, qui sera le titre du jour ; mais aussi Le regard des autres et il participe à la chanson Lorada. L’album porte la griffe des anciens membres du groupe Canada : Éric Benzi réalise l’album, signe trois titres : Quand le masque tombe, Ami et Aime-moi, et il écrit les paroles de Rester libre ; Gildas Arzel signe Lady Lucille et Un rêve à faire ; Jacques Veneruzo signe Chercher les anges et Tout feu tout femme. Les quatre hommes sont réunis pour le titre éponyme Lorada puisqu’il reprend dans le désordre les titres de l’album en ajoutant que quelques mots parfois entre les titres : Un rêve à faire, Ami, Rester libre, J’la croise tous les matins, Le regard des autres, Lady Lucille, Tout feu, toute femme, Est-ce que tu me veux encore, Ami, Ne m’oublie pas, Aime-moi, Chercher les anges, Lorada. Ne m’oublie pas, est une très belle chanson, reprise par Johnny en final de Bercy 95, avant qu’il ne chante L’hymne à l’amour. Elle fera l’objet d’un prochain Coup de cœur Lady Lucille est une chanson dédiée à une femme pour qui Johnny a joué de la guitare, dans le film à sketches Les Parisiennes de 1962... Amour de jeunesse pour la belle Catherine , du même âge que lui et conservé au-delà du temps et surtout des femmes de Johnny… surtout présente pendant plus de trente ans à chaque problème de cœur de Johnny... Hey Jo(e)hnny, ton ex-producteur préféré, Jean-Claude Camus, parlant de tes femmes dans l’émission télé Vie privée et vie publique du vendredi 4 février 2011 a dit : « Il y en a eu... ». Ôte-moi d’un doute, Monsieur Jean-Claude ne tenait pas la chandelle mon Jojo… L’album donne lieu à quatre clips : J’la croise tous les matins, de Jean-Paul Saulieu (1995), Ne m’oublie pas, de Jean-Paul Saulieu (1995), Quand le masque tombe, de Jérôme Cornuau (1995) et Rester libre, de Jérôme Cornuau (1996). L’album se vent à plus de 700 000 exemplaires. Hey Jo(e)hnny, en janvier de cette année-là tu t’es fait épingler, mais c’est tout bon car c’était par le ministre de la Culture Jack, pas Lang, mais Toubon… te voilà chevalier, non de la table ronde, mais des Arts et des Lettres… lettres et pas le néant pour Toi mon Jojo… Et aujourd’hui, J’la croise tous les matins , en duo avec JJG
Posted on: Sun, 22 Sep 2013 12:17:20 +0000
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