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2) Couple ESSO s/c KPEGAO Hyacinthe, Tél : 90 32 47 39 Titre : Elle accouche dans la clinique d’en haut Mon époux et moi, remercions tout d’abord le Seigneur Jésus-Christ pour sa grâce et sa miséricorde dans nos vies et pour ce qu’il a fait à travers son Esclave, le Prophète du Christ Maranatha Mashia’h. En effet, un jour, lors de la Sainte Cène à l’ECITSE, le Saint-Esprit qui est la présence de Dieu et la démonstration de sa puissance, parla par la bouche de l’Esclave du Christ aux les femmes qui n’ont pas d’enfant et qui en cherchent. Il leur disait de lever leur main droite. J’étais là et moi aussi, je levai ma main droite comme par amusement. Au fait, j’ai déjà des enfants et je n’en ai pas besoin. Je dis dans mon cœur, aujourd’hui ; je vais voir si le Dieu qui utilise le Prophète du Christ, donne les enfants à une femme sans qu’un homme ne l’ait touchée. Ainsi, j’avais mis Jésus-Christ à l’épreuve en levant ma main droite. L’Esclave du Christ prononça la prière en disant : « La droite est la puissance de Dieu, mettez la sur votre ventre. Que toutes les femmes qui n’ont pas d’enfants, accouchent et ceux qui ne croient pas que c’est toi qui m’a envoyé, donne leur afin qu’ils croient maintenant ». J’ai continué à réciter cette prière, la main droite sur le ventre et je disais que la sainte cène que je vais recevoir là, je sais que je ne suis pas digne, mais dit seulement une parole dans ma vie et je serai guérie, et que le sang de Jésus-Christ que je vais recevoir, devienne une grossesse dans nom ventre et que je l’accouche dans 9 mois. Dieu exauça la prière de son esclave et je tombai enceinte sans le savoir. Pendant 5 mois, je portais la grossesse sans le savoir. Un jour, mon époux et moi étions allés voir l’Esclave du Christ, quand il m’a vue, il dit à mon époux : "Joachim, qu’est-ce que tu as encore fait ? Tu l’as enceintée ?" Mon époux répondit : "Mon Prophète, je ne l’ai pas touchée" et au prophète de dire : "Comment se fait-il qu’elle tombe grosse ?" Mon époux dit : "Elle va nous le dire elle-même". Et j’ai narré tout ce qui s’est passé au cours de la sainte cène au prophète et je me suis rappelée qu’il y avait 5 mois que le Prophète du Christ Maranatha Mashia’h avait prié lors de la sainte cène. A 7 mois, j’avais des malaises et nous sommes allés à l’hôpital pour faire des examens. La sage-femme me demanda le carnet de santé et moi, je lui tendis le livret intitulé « A chaque jour suffit sa peine. » Elle me demanda si je dis la vérité que ce livret, était mon carnet de santé ? Je ne lui répondis rien. Après je lui dis que le carnet ne se trouve avec moi, que moi, j’étais allée pour une consultation et que c’était à elle de voir ce qu’elle pouvait faire me concernant. Elle m’appela dans la salle d’accouchement. En m’examinant, elle a trouvé que le col de l’utérus était ouvert mais que l’enfant était trop petit et elle m’envoya à l’hôpital de Bè parce qu’ils n’avaient pas des machines pour bien voir l’enfant. Je lui ai dit que ce qui est spirituel est plus réel que ce qui est physique. Quand j’ai fait le compte rendu à mon époux, il a demandé que nous regagnions l’église. Je dois préciser qu’avant qu’on aille à l’hôpital, le prophète du Christ, nous avait dit "Je ne vois pas l’enfant venir". Chers frères et sœurs, "lorsqu’un oint du Christ parle, les sages écoutent." Arrivés à l’église, nous avons assisté à la prière jusqu’au bout. A la fin de la prière, le prophète m’a dit que ce qui t’arrive là n’est qu’un signal. "Joachim prie pour que ta femme n’accouche pas maintenant." Mon époux consulta KOZOLINA Odile, une sage-femme qui prie à l’ECITSE. Elle vit bien l’enfant. Elle vit comment l’enfant tournait, sa position, comment il respirait et comment le col de l’utérus était bien souple et elle fit un rapport où elle dit que l’enfant et sa mère n’avaient besoin d’aucun produit pour le moment. Elle continua à faire mon suivi jusqu’à l’accouchement. Mais le jour de l’accouchement, elle n’était joignable et on était obligé d’aller dans une autre clinique pour accoucher. Nous avions pris le livret intitulé : « Demander de son cœur, c’est posséder de ses mains. » J’ai attaché le livret à mon ventre lorsque je ressentais les douleurs de l’enfantement. L’accoucheuse me demanda de monter sur le lit. Quand je suis montée, la 1ère accoucheuse m’a examinée, et ne voyait pas l’enfant, la 2è accoucheuse, m’examina aussi, elle ne vit pas l’enfant. J’ai pris le livret que j’ai déposé sur mon nombril et j’ai ainsi prié : « Saint-Esprit, toi qui est la présence de Dieu et la démonstration de sa puissance, montre maintenant à travers la puissance contenue dans ce livret, là où se trouve l’enfant car notre combat n’est pas contre la chair et le sang (Ephésiens 6 : 12). Je priais à haute voix. Un instant après, l’accoucheuse vint vérifier et dit : Oh ! Le col est ouvert, tout est effacé. Mme, tu étais où depuis là l’enfant est prêt pour sortir dans quelques minutes. Elle dit Mme, c’est toi qui va nous aider et je lui ai répondu : je ne suis rien, c’est Jésus-Christ qui va faire. La douleur devint plus intense et j’ai fait cette prière à haute voix : « Dieu du Prophète Maranatha Mashia’h, manifeste ta puissance dans ma faiblesse et envoie tes anges qui accouchent les bébés, les docteurs, les sages-femmes de Dieu parce que je n’ai pas confiance à ceux qui travaillent dans la chair. » Au même instant, une grande fraîcheur est descendue dans la salle d’accouchement et mes lèvres ont commencé par trembler comme s’il y avait de la climatisation dans la salle. La douleur de l’enfantement s’est transformée du coup, en une fraîcheur d’enfantement. Après, je fis la diarrhée et l’accoucheuse me demanda d’arrêter de prier et d’apporter mon livret et elle va voir. Je ne lui ai rien répondu. Trente minutes après, le bébé sortit en criant, tout blanc et l’accoucheuse me demanda, si c’était mon mari qui était là dehors ? et je lui ai répondu : oui, c’est mon mari ; mais pourquoi cette question ? lui demandai-je. Elle répondit que c’était parce que la peau de l’enfant est différente de celle de son père. L’enfant sortit avec toutes ses choses, il y a rien qui restait pour que les sages-femmes enlèvent. J’ai eu un bon accouchement : rapide et bien propre. Merci Seigneur Jésus-Christ. Le Dieu du Prophète du Christ Maranatha Mashia’h, est un vrai Dieu. Conseil : Chers frères et sœurs en Christ, mon conseil que je voudrais vous donner, c’est de surmonter vos doutes car le doute anéantit notre espoir et la croyance affermit notre futur.
Posted on: Mon, 15 Jul 2013 13:55:57 +0000

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