A cause d’un mauvais diagnostic, une femme déclarée morte s’est retrouvée avec des blessures sur sa tête à la morgue Déclarée précipitamment morte, le vendredi 21 juin 2013, au service de réanimation du C.h.u (Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville), pour manque de place, une femme, d’une quarantaine d’années, vivant à Diata, un quartier de Makélékélé, a été conduite, le vendredi 29 juin dernier, dans sa dernière demeure, au cimetière de Ma Campagne. Fait curieux: lorsque que ses parents sont arrivés à la morgue municipale pour retirer le corps de leur fille, celui-ci présentait des blessures sur la tête, qui était imbibée de sang. Ce qui laisse croire que cette dernière, sous les effets de la fraîcheur, se débattait à l’intérieur de son casier, dans l’espoir d’un probable secours, qui n’est jamais arrivé. En tout cas, pour beaucoup, le diagnostic des médecins aura contribué à sa mort précipitée, puisqu’elle a été déclarée cliniquement morte, alors qu’on aurait pu tenter de la réanimer et, probablement, elle serait, peut-être, en vie.
Posted on: Wed, 10 Jul 2013 11:49:02 +0000