A l’aube du premier matin, on te promet ; Des rires à chatouiller le ciel, des joies à fleur de rêve… A l’aube de ton propre chemin, on te promet ; Des envols au vent léger, des «Je t’aime» à cœur de sève… A l’aube de ton nouveau destin, on te promet ; Des possibles à foison, et l’espace immense où les peines font une trêve… A l’indéfini de toi, à l’infini du nous : on te promet ! Toi, petit d’eux, petit de nous – géant aux pieds d’argile. Fils de leurs songes et de la Terre ; Né de l’amour et du hasard, à contre-peur, à contre-temps, à contre-tout de l’éphémère… Toi, qu’ils tiennent d’entre leurs mains fébriles. Eux, émerveillés, épanouis à l’avenir promis ; Et heureux d’un songe où le bleu a effacé le gris. Entre-deux, entre eux, entre tout et de tes pas menus tu vas (...), suite sur le blog...
Posted on: Fri, 01 Nov 2013 07:58:58 +0000
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