A présent, ils sont la risée du monde. Dépourvus d’une - TopicsExpress



          

A présent, ils sont la risée du monde. Dépourvus d’une diplomatie digne d’un État souverain, ils sont réduits à communiquer avec le monde extérieur par l’intermédiaire de « ripoux », sans instruction, ni cohérences dans le propos, et s’exprimant au nom de l’État algérien. Un État inexistant du reste, ni régime de gouvernance non plus. Juste un cercle de mafieux qui exercent le pouvoir arbitrairement dans l’ombre, dont ils sont réduits à le localiser virtuellement sur un paraplégique, confiné lui aussi dans l’ombre, qui ne peut, ni se tenir debout, ni communiquer par la voix. Excepté quelques babillements et quelques mouvements aléatoires de la main, pour les besoins de l’image télévisuelle. Pour les besoins de la propagande et de la manipulation. Pour quémander lâchement la conversion du sentiment d’un peuple écœuré en compassion charitable. Que les hérauts chargés de propager la pitié, louent à tue-tête des actes imaginaires de réussite de leurs employeurs sous le registre du mensonge et de la duperie. Créant sans cesse des diversions autour d’un seul objectif : la reconduction du système pour 2014. D’enchères en enchères, de fausses disputes en faux chiffres, la campagne électorale pour plomber le statu quo bat son plein. Ils se sont transformés en acteurs zélés d’une pièce tragi-comique depuis le retour de LUI des invalides, sans pourtant jamais être revenu à lui. Il est et demeure toujours invalide. Mais là n’est pas le problème pour le système. Les placards de la république regorgent de ces pièces de rechange, conservées précieusement dans les greniers de la rente. Benflis ou Hamrouche, ainsi que tant d’autres incontournables voies de secours, feront certainement l’affaire, en cas de défaillance de dernière minute de Lui. Benbitour avec un joker sous la manche, celui de l’homme intègre, qui a su claquer courageusement la porte au nez du système sans rougir, ne parvient tout de même pas à l’affronter courageusement dans ses retranchements militaires. D’autant qu’il est isolé avec ses maigres cercles de soutient et dont aucun parti dit démocrate n’est venu lui porter main forte. Se contentant de plaider la cause économique, sans rien brancher sur des questions proprement politiques, qui sont au demeurant essentielles à une transition de régime politique, du despotisme vers la démocratie.
Posted on: Fri, 01 Nov 2013 10:21:34 +0000

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