.. Affaire NTSOUROU: le complot dEtat pour lintérêt de Denis - TopicsExpress



          

.. Affaire NTSOUROU: le complot dEtat pour lintérêt de Denis Sassou Nguesso, le Sanguinaire. Jean François Ndenguet C’est pour mettre en œuvre cette stratégie diabolique, qu’un groupe d’officiers fut responsabilisé afin de conduire cette enquête que Mr Sassou et Mr Yoka, ministre de la justice, qualifiaient d’enquête administrative et technique. Ce groupe était constitué de Jean François Ndenguet, présumé général de brigade, mais qui ne s’est jamais assis sur un banc d’école pour étudier la composante d’une brigade et dont le seul rôle est de proférer un militantisme béat au sein de la Force publique, ce qui est prohibé par la Constitution de janvier 2002. En plus, Mr Ndenguet se distingue par un tribalisme dangereux pour la Force publique. Organisateur des escadrons de la mort, il s’est toujours distingué par une brutalité policière sans égale, torturant très souvent à mort ses concitoyens dans les commissariats de police ou alors recourant à des exécutions sommaires des jeunes gens qualifiés de drogués ou de braqueurs ou alors de bandits, ceci à son initiative ou sous ordres de son mentor. Il affiche envers ses officiers, un comportement des plus exécrables, les privant de moyens financiers et matériels de travail, des moyens financiers qu’il consomme allègrement pour ses propres intérêts au vu et au su de ses commanditaires et de ses subordonnés pris de torpeur et incapables de réagir devant ses comportements cyniques. Ce monsieur qui n’a jamais un seul moment été membre de la commission, s’est illustré dans cette affaire par des arrestations illégales et arbitraires. Des enlèvements et séquestrations odieux, des tortures immondes qui ont été largement décriées au cours du procès et pour lesquelles il a refusé impunément de répondre devant la justice. Comment un tel homme peut avoir fait des choses si répugnantes et continuer à rester en poste après le procès. Comment des gens qui ont subi ses violences et ont été acquittés pouvaient-ils accepter qu’il refuse de se présenter devant la justice pour ne serait-ce que s’expliquer sur ses comportements inhumains. Et, comment tout un Etat peut-il le laisser continuer à parader dans l’illégalité, défiant même la fameuse justice. Ce cas est typique du comportement des congolais dépassés par tant d’insolence et de mépris à leur encontre de la part de ceux qui se croient des hommes du pouvoir. Obara Philippe Colonel de son état, il a accepté de jouer le mauvais rôle et par suivisme et manque de personnalité a plongé ses mains dans le complot le plus ignominieux organisé en ce début de siècle. Il est tombé dans le piège du président Sassou qui aime souvent à salir ses collaborateurs tandis que lui-même garde les mains propres, dans une enquête dirigée contre une personne en organisant des arrestations arbitraires et séquestrant en dehors de la loi pendant 30 à 60 jours des citoyens. En torturant sans ménagement, contre les articles de la Constitution du 20 janvier 2002, le caporal chef Oba, le sergent Tsoumou, le sergent chef Ngouolali, le sergent chef Mierré et le caporal chef Kakom. En proposant de l’argent pour que le nom du colonel Ntsourou soit cité. Et, en incitant les détenus à faire de faux témoignages, l’homme a franchi les limites raisonnables qui guident l’action d’un officier républicain pour verser dans le service privé d’une tierce personne, fut-il président de la république, utilisant ainsi la Force publique à des fins privées et donc dans l’illégalité absolue. Pour cette sale besogne jusqu’à donner l’illusion de l’élimination définitive du colonel Ntsourou, et pour ça seulement, Sassou l’a récompensé en le nommant général de police 1ère classe : c’est le salaire de la trahison de l’esprit républicain. Mais, il peut en être certain, ceux qui ont subi ses arrestations arbitraires, ses détentions illégales, ses tortures machiavéliques, cette enquête orientée, n’ont pas dit leur dernier mot. Pour lui, le véritable prix reste encore à payer et il sera lourd. Alphonse Obouandé Vice président de la commission, un officier brouillon, aux connaissances douteuses, à la compétence nulle, choisi pour être un simple faire valoir et qui a prêché des propos tribaux, incitant le jeune Oba à citer le colonel Ntsourou sur la base unique des liens tribaux. Spécialiste des basses besognes, il s’est illustré dans des jeux de couloirs infâmes. Un tel officier manquant totalement d’envergure et de personnalité n’aurait jamais dû dépasser le grade de caporal. Mais dans le cadre du marxisme sous l’équateur et sous la présidence de Sassou 1, la médiocrité à toujours eu ses jours de gloire. Voilà comment des gens de ce genre ont pu arriver jusque là. Et ce sont ceux-là qui représentent la compétence selon le président Sassou. A vrai dire, compétence et excellence dans l’accomplissement des basses besognes. Ce trio infâme de Ndenguet, Obara et Obouandé, avec d’autres officiers, a été la cheville ouvrière de la mise en œuvre du complot au niveau de la commission d’enquête sous l’instruction directe du président Sassou. Le peuple congolais doit se souvenir des noms de ces gens qui ont vicié une enquête tendant à faire la lumière sur les morts et les dégâts matériels survenus le 4 mars 2012. Et ne devrait jamais les oublier car la véritable justice sera faite. Ceci étant dit, devant cette débauche du droit, des magistrats sans foi ni loi qui semblent être arrivés dans la justice non par vocation mais pour accomplir des basses besognes tribales, vont également s’activer. Essamy Ngatsé Alors procureur de la république, sans vergogne il a ordonné le 02 mars la perquisition au domicile du colonel Ntsourou. Il faut dire en outre qu’Essamy Ngatsé aurait dû rejeter sans ménagement ce dossier totalement illégal, venant d’une commission administrative placée sous la direction du président de la république qui n’avait absolument rien de judiciaire. Il s’est malheureusement abstenu de le faire et l’a traité comme un dossier ordinaire de police, ouvrant ainsi la voie à une démarche pseudo judiciaire des plus illégales. Il est possible que ce monsieur n’ait pas le sommeil tranquille aujourd’hui. Mais, le temps de répondre de ces faits est en train d’arriver, car ceux qui sèment le vent récoltent toujours la tempête. Sur cette terre des hommes, le mal ne produit que son genre tout comme le bien d’ailleurs. Oko Ngakala Alors juge d’instruction, une véritable canaille, un tribaliste fieffé et zélé, instrumentalisé par le politique comme l’a dit le ministre Bowao, instruisant uniquement à charge et débordant de malhonnêteté jusqu’à aller à Pointe-Noire, créer des infractions contre le colonel Marcel Ntsourou et à fabriquer les procès verbaux falsifiant les déclarations des jeunes gens et les signant lui-même ! De telles forfaitures, une telle perfidie auraient provoqué immédiatement la radiation de cet homme de la magistrature en le considérant comme une véritable peste. Mais, au lieu de cela, sous l’équateur et au Congo, de tels hommes représentent la compétence et l’excellence. Voilà qu’aujourd’hui, comme dans un film d’horreur, il est propulsé procureur de la république ! En vérité je vous le dis : c’est la récompense ultime d’un travail fait conformément à la volonté du prince. C’est dire qu’on est descendu plus bas qu’une république bananière. Yoka Aimé Emmanuel Le très honorable ministre de l’injustice et des droits humains. Ce monsieur considéré par le clan mbochi comme l’éminence grise, est en réalité un homme de peu d’envergure, aux connaissances juridiques douteuses qui joue en permanence à la grandiloquence, dans la plus part des cas ignorant le sujet qu’il aborde. Il a fait, dès sa première apparition à la télévision, un discours cousu de mensonges, reconnaissant au moins le caractère administratif de l’enquête menée par une commission du conseil national de sécurité mise en place a cet effet. Il n’a jamais pu justifier la détention illégale des personnes par cette commission gérant une enquête administrative (30 à 60 jours pour certains). Il a tenté de nier publiquement les tortures pratiquées par cette commission. Il a plébiscité l’arrestation et la détention des maîtres Malonga et Hombessa, avocats du colonel Ntsourou, et a justifié la thèse farfelue d’une conférence de presse dans une caserne. Heureusement, le Tribunal de Grandes Instances de Brazzaville l’a bouté de toutes ses élucubrations et a reconnu non fondées toutes ses accusations. Comment le dossier d’une enquête administrative s’est-il retrouvé au parquet, ça il n’a jamais pu l’expliquer, l’annonçant tout simplement de manière pompeuse au peuple congolais et vantant les mérites d’un procureur de la république et d’un juge d’instruction instrumentalisés par lui et qui ne se sont comportés que comme les instruments d’une justice privée et illégale. Après 6 mois d’une instruction subjective bâclée, le juge d’instruction va transmettre le dossier à la chambre d’accusation présidée par monsieur Apesse qui jugera inapte le dossier pour les juridictions de droit commun et va conclure en sa transmission à la haute cour de justice. Un peu plus tard, le ministre congolais de l’injustice va ordonner, en toute légèreté et sans se soucier de la loi, au juge d’instruction d’inculper le ministre de la défense Bowao et ouvrir avec ce dernier des débats par voie de presse écrite. Grâce à la combativité du ministre Bowao, il finira lui-même sur les médias nationaux à annoncer tout bêtement que ce dernier n’était pas inculpé, bien même avant que la nouvelle chambre d’accusation n’ait levé cette inculpation, chose témoignant sa connaissance douteuse du droit. En décembre 2012, il va s’aventurer sur un débat à propos de l’article 125 du code de procédure pénale et commettre une bourde inimaginable pour un homme de droit, arguant que cet article justifiait la prolongation de la détention des inculpés. Alors qu’il avait promis la tenue du procès en fin janvier 2013, il a dû à cette époque engager un pourvoi dans l’intérêt de la loi. Se référant pêle-mêle aux articles 558 et 559 du code de procédure pénale pour tenter de réviser l’arrêt du 29 novembre 2012 renvoyant le dossier à la haute cour de justice qui avait acquis l’autorité de la chose jugée (si chère à Yoka dans la procédure de Meaux). Se faisant accompagner dans cette pratique des plus illégales, tendant à renvoyer le dossier à une nouvelle chambre d’accusation, par le trio Akiera, Bouka et Lenga de la cour suprême qui, dans une tentative désespérée et purement illégale voulaient qu’il arrive à ses fins. Le 31 janvier 2013, ils rendirent un arrêt qui fera date dans l’histoire de la justice congolaise et qui, si l’on n’y prend garde, rentrera dans la jurisprudence permettant au ministre de la justice de faire réviser à son compte toutes les décisions des juridictions du Congo. Face à la détermination des avocats de la défense qui furent opposition à cet arrêt conformément à l’article 528 du code de procédure pénale, ils rendirent un autre arrêt le 9 avril d’une confusion totale et quand celui-ci fut contesté, toujours conformément à l’article 528, ils décidèrent contrairement à la volonté de la défense d’agir par délibération et de légiférer par ordonnance conformément à un article de loi qui n’a jamais existé et que le président de la cour a purement et simplement inventé dans le mépris des dispositions légales : une véritable forfaiture jamais vue dans la magistrature congolaise. Tout ceci a été fait sous instigation de monsieur Yoka qui, dans son avant dernière prestation médiatique à la télé-Congo en Avril 2013, s’est mis à s’embrouiller se référant pêle-mêle aux lois de certains Etats sur la durée des enquêtes. Oubliant qu’au Congo celle-ci est de 6 mois sans aucune possibilité de prolongation, 2 ans en France et une certaine durée dans le système anglo-saxon. Une prestation qui a étonné plus d’un congolais de par son manque de logique. L’intéressé réapparaîtra d’ailleurs sur les antennes de la télé pour annoncer, au plus grand étonnement de tous, que le procès aura lieu quand ça sera mûr, une expression que seul lui-même aura compris jusqu’à ce jour. Aimé Emmanuel Yoka semblable à Colbert Il n’est donc pas étonnant que pendant que se déroulait le procès, ce ministre de la république se permette au grand dam de la population et à l’étonnement général de balancer un communiqué sur les antennes de la télévision demandant au peuple congolais de se calmer (en réalité, il le demandait à ses partisans), de ne pas prendre en considération les réquisitions du procureur général, qu’il traita à cette occasion avec les avocats de la défense, d’ennemis du peuple congolais. Encore une première dans l’histoire de la justice congolaise. Dans tous pays démocratiques, mêmes dans les républiques bananières, une telle grossière imixion dans le déroulement d’un procès de la part d’un ministre de la justice aurait immédiatement provoqué sa relève. Mais, au Congo sous la loi de Sassou un tel acte est normal puisque la justice est partisane, politique et dépend de monsieur Sassou. Voilà ce qu’aurait été le parcours odieux de ce ministre de la justice dans l’affaire du 4 mars. Depuis le début de cette affaire, dans le secret absolu et dans l’ombre, dans les oficines tribales et sur les médias publics, il a tiré les ficelles, voulant à tout prix la condamnation du colonel Marcel Ntsourou jusqu’à commettre publiquement des bourdes inexcusables et entraîner les magistrats de toutes les juridictions, à la forfaiture. Le tout sous pression du président Sassou, véritable manipulateur dans cette affaire. Face à l’échec de cette politique et devant la libération du colonel Ntsourou, il a fait organiser des réunions tribales visant à demander à un avocat général de se substituer, hors de toute déontologie administrative, au procureur général et d’introduire un pourvoi en cassation alors que le parquet avait requis l’acquittement du colonel Ntsourou. Même la honte ne le dérange pas. Il a été dans cette affaire le deuxième élément central du complot contre le colonel Ntsourou et c’est lui qui a été à la manœuvre dans toutes les opérations comme Colbert dans l’affaire Fouquet contre le roi Louis XIV en 1661. L’ordonnance illégale du 30 mai 2013 du président de la cour suprême basée sur un article faux à permis que soit saisie une nouvelle chambre d’accusation. Cette saisine a été par conséquent illégale et son arrêt du 11 juin frappé de ce fait en toute logique, d’illégalité. Malgré cela, sous la présidence du président Bayi, cette cour criminelle a conduit un débat honnête et transparent au cours duquel toutes les infractions reprochées au colonel Ntsourou ont été balayées. Ni le ministère public, ni les avocats de la partie civile, ni ceux de la défense n’ont apporté aucun élément de preuves susceptibles de le compromettre. Ce qui a amené le procureur général de demander son acquittement pur et simple. Comme il fallait s’y attendre, la cour criminelle a été minée à l’intérieur par monsieur Yoka Emmanuel, qui avait chargé monsieur Devilert de faire une plaidoirie à contre courant des débats (des aveux de Devilert lui-même), pour préparer et justifier une condamnation. De plus, Yoka est intervenu par un communiqué sur les ondes de la télévision congolaise dans le même but, à l’instar des autres juridictions qui ont prêché par la forfaiture à travers des comportements indécents des jurys et d’un juge ayant accepté de l’argent qui les a rendu insouciants, aveugles et sourds devant la loi et le manque de preuves. Votant comme des automates la condamnation du colonel Ntsourou. Heureusement pour ce dernier, ils en ont été empêchés par des magistrats restés insensibles à la corruption et fidèles au droit. Ce qui a occasionné un verdict qui lui a été favorable au-delà de tout. Comme dans l’affaire Fouquet contre le roi Louis XIV, par le pourvoi de monsieur Elangui, le chef des comploteurs et son homme de main à la manœuvre, monsieur Yoka, veut changer le cours du procès et obtenir à tout prix une condamnation ferme du colonel Marcel Ntsourou. Peine perdue, nous ne sommes pas en France dans un royaume, sous un roi en début de règne en 1661, nous sommes au Congo dans une république, sous une constitution qui donne aux citoyens le droit de désobéir contre les actes illégaux. Le président de la république du Congo n’est pas un roi, il n’est pas Louis XIV, il n’est pas en début de règne mais vers la fin de son mandat. Le colonel Marcel Ntsourou n’est pas monsieur Fouquet. Cela doit être compris de tout le monde et très bien compris. Au 21ème siècle, en république du Congo, sous la Constitution du 20 janvier 2002, personne et alors personne ne peut impunément organiser un complot contre les citoyens et s’en sortir. Ceci doit être constant, car, la constitution donne le droit à tout citoyen de s’y opposer. Partager larticle ! LU POUR VOUS : JOURNAL LE GLAIVE DU JEUDI 17 OCTOBRE 2013: Les articles du journal LE GLAIVE du Jeudi 17 Octobre Amis de NTSOUROU et BANA TALANGAI: Ne craignez pas un chien qui aboie car, il ne peut jamais mordre. . .
Posted on: Fri, 18 Oct 2013 15:28:34 +0000

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