Anne, tout est si compliqué ; la vie, l amour je crois, les gents, le monde, moi. Vous me manquez Anne, pourquoi ? Je ne sais pas, je ne sais plus, parce que je vous aime ? Je ne sais pas, je ne sais plus, pourquoi je vous aime, vs est aimé, encore peut etre ; pr ce que je vs ai dis un certain lundi de je ne sais plus quel mois, il faisait beau ; beauté, douceur, intelligence, sencibilité et tt faire pr essayer de me comprendre et aussi et sans doute parce que vous m etes inaccessible, interdite, parce que vs n etes et ne serez jamais a moi ? J ai eu beaucoup de mal a écrire cette dernière phrase. J ai pourtant l infime conviction et espoir aussi ss doute que nos âmes, nos coeurs se sont parfois quelque peu mélangés ou, du moins, se sont rencontrés et se comprennent, ont les mêmes mots, le même langage, la même parole, les mêmes sens et ce, malgrès ces phrases et formules bien compliquées, lointaines et presques froides que vs m envoyez de temps en temps et que j attends av impatience et que je lis et relis pour bien les comprendre et les assimiler, pour bien m abreuver du peu que vs acceptez de me donner et aussi ds l espoir d y trouver une faille qui n apparaît pas. Ces phrases qui déterminent et affirment et ré affirment la limite. Ce mur, cette ligne, ce trou, cette feuille, ce bureau, ces phrases, ta vie, ta personne, ton visage, tes cheveux, tes yeux, ta silhouette, tes formes, ta parole, tes beautés, toi, moi, vous, moi,, votre place, la mienne, une psychologue, un de ses patients, ma psy, une femme, celle dun autre, une maman, intouchable et pourtant... Je m égare, comme souvent, je rêve, j aime ça que serait la vie sans rêve espoir et amour, elle est déjà si dégueullasse injuste pénible, belle magnifique et merveilleuse ; compliquée quoi ! Comme l amour je crois, comme les hommes, comme la femme, porteuse de vie donc d amour et d espoir donc de désillusions et de peines amenant la joie et les larmes, le désir, l envie, la convoitise, la jalousie d où l embrouille, la querelle, la colère, la haine, où commencent les choses où s arrçetent elles ? "No woman no cry" a écrit bob, il a tout compris, je crois, je pense. On ajoute à cela le pouvoir lié à l argent usant de politiques, utilisant les religions, manipulant les peuples, provocant et justifiant les guerres, les massacres, les exterminations, les génocides. On y ajoute encore le propre de l homme ou du moins de certains et certaines porteurs de méchanceté, cruauté, perversité, débilité, cupidité, avidité, lacheté et bien d autres choses encore et, ainsi va le monde, ainsi va la vie dans toute sa splendeur dégueulasse, merveilleuse, infâme, belle, peut être un jour, y a longtemps, mais belle quand même, faut y croire, espèrer. Voilà mon monde à moi, une partie du moins, ma réalité, ma vérité, celle dans laquelle je me débat depuis bien longtemps en essayant de ne pas devenir trop moche et, depuis notre rencontre d y faire une place, ja ne sais pas encore comment mais y travaille, depuis vous. Une source, une femme, une maman, ma psy, j en veux pas d autre, je vous embrasse, vous me manquez et, je crois, vous aime. Nicolas
Posted on: Wed, 14 Aug 2013 04:51:10 +0000