BAFOUÉ PAR LE JUGE MICHEL DÉZIEL SUR LES OUÏ-DIRE - TopicsExpress



          

BAFOUÉ PAR LE JUGE MICHEL DÉZIEL SUR LES OUÏ-DIRE DAVOCATES Note très importante : Les faits mentionnés sont faits à partir de document original dune sténographe officielle mandaté par le tribunal du procès en désaveu de lavocate du 24 février 2011, en ce qui me concerne-moi je nai pas inventé les faits comme certaine personne. Lors du désaveu de Me Lecompte lavocate au procès du 12,13 mars 2009, qui a été interrogé par Me Vézina le 24 février 2011, alors que Me Vézina était lavocate de la défense le 12, 13 mars 2009. LE MANQUE DE COHÉRENCE DES AVOCATES DANS LES FAITS. Bonjour les médias parle parfois de chose inutile qui ne touche pas vraiment lintérêt du public lorsque des avocats ont mal défendu les droits de leur client les médias évite le sujet. Voici une injustice judiciaire qui dure depuis 2009, sur les ouï-dire de deux avocates en situation conflit dintérêt que le juge Michel Déziel et mon avocat de 2011 André Trudel qui ont laissé passé, semble-t-il jaurais dit oui à une offre de 5000$ sur une poursuite de 280 530,78$ après avoir été dans le coma, 27 fractures des mois hospitalisation et deux ans physiothérapie, mon combat est de faire valoir mes droit alors quil y a eu partialité, connivence le 24 février 2011, sur une entente prémédité davance entre avocates, la population a le droit de connaît la vérité, le juge Michel Déziel a fait les manchette à la Commission Charbonneau, alors que les deux avocates contredisent leur version des faits du 12,13 mars 2009, le 24 février 2011. Les notes sténographique produite dans ce blog ne reflète pas les faits écrit dans le jugement qui est rendu public sur le site canlii.ca/t/fkfws Les médias parle de fraude de corruption de collusion à la Commission Charbonneau, mais quand nest-il dune fausse entente hors Cour les médias me publie pas car ceci est un combat entre moi et mon ex-avocate Me Lecompte, je ne suis pas le maire Labeaume qui a reçu une mise en demeure des col-bleu alors que lui on le publie ... La retranscription des notes sténographique officiel pertinente sont faits à partir de la 05;16;00 oui car il manquait 04;44 seconde lors de mon premier appel a la Cour dappel le 14 avril 2022, les faits retranscrit dans ce blog sont les faits contradictoire de mon avocat André Trudel et lavocate de la défense Me Marie-Êve Vézina et de mon ex-avocate Me Nancy Lecompte. (Note sténo - Page 4, ligne 7 à 23) • Vézina : Qui était dans un cubicule et j’ai strictement parlé avec maître Lecompte à la fois à la fin de la journée du 12 mars et au début de la journée du 13 mars, d’où l’importance de son témoignage ce matin. • La cour (Michel Déziel) : Alors ce que je note ici, les parties admettent que maître Vézina à discuter avec maître Lecompte uniquement en l’absence du demandeur Sylvain Paquette, qui était dans un cubicule, discussion qui a eu lieu en fin de la journée du 12 mars… • Vézina : Amorce de discussion, monsieur le juge, parce qu’il y avait pas encore de montant sur la table à ce moment-là. Je vous le précise. Argument ; Donc lors des discussions entre Me Vézina et Me Lecompte en fin de la journée du 12 mars, il na jamais eu de discussion dun montant de 5000$ nest-ce pas ? - Ah! Oui Me Vézina change-t-elle sa version des faits après avoir interrogé Me Lecompte une heure plus tard au page 77 et 79 ? (Note Sténo - Page 77 ligne 21 à 24) • Vézina : Cest parce que là vous produisez deux témoins qui viennent contredire ce que maître Lecompte a dit le 12 mars et moi, je serais en mesure de témoigner là-dessus. (Note sténo - Page 79, ligne 17 à 20) • Vézina : Moi, ce que je viendrais dire cest que le 12 mars au matin on a effectivement réitéré une offre quon avait déjà faite dans les semaines précédentes, de 5000 $ Argument : Moi et mais deux témoins ont dit que cette offre na jamais eu lieu le 12 mars mais le matin du 13 mars, pourquoi que Me Vézina na pas contester notre versions des faits durent son interrogatoire sur cette offre du 12 mars avant quelle interroge Me Lecompte, posé vous la question qui dit la vérité, moi et mais témoins ou les deux avocates ? Et une avocate ne peut pas venir témoigner dans la cause quelle défends elle naurait pas la distanciation requise et mettrait sa crédibilité en jeux si les témoins viennent contredire sa version des faits.. Le 30 janvier 2012, Me Vézina adresse une lettre au Barreau car je porte plainte contre elle sur sa version contradictoire sur les pages 4, 77 et 79, elle dit dans sa lettre avoir fait une offre de 5000$ à Me Lecompte le 9 mars 2009, que jai refusé trois jours avant le procès. Est-ce que cette offre a eu lieu trois jours avant procès, ou dans les semaines précédente comme elle le mentionne le 24 février 2011 ? Ce qui ressort dans le procès verbale du 24 février 2011, est dans les semaines précédente et cest moi selon le juge Déziel au texte (35) ma version est non crédible et au texte (56) ma version est invraisemblable. Voici des passages du 24 février 2011 ou Me Vézina interroge Me Lecompte les deux avocates sont lune contre lautre en 2009 mais en 2011 elle partage des versions divergente des faits du 12,13 mars 2009. (Note sténo - P. 55, ligne 25 suite P. 56 ligne 1 à 15) • Vézina : Au sortir de cette rencontre avec le juge Fournier qu’est-ce que vous faites ? (Ici Me Vézina elle parle de la rencontre qui a eu lieu en privé dans le bureau du juge Fournier avec elle, Me Lecompte après 17 heure) • Lecompte : J’ai rencontré monsieur Paquette, son épouse et monsieur Poulin aussi était là également, si je me trompe pas. Puis je leur ai un peu parlé de ce qui s’était passé avec, suite à la rencontre du juge Fournier qu’est ce qui en était. J’ai expliqué, comme je le fais toujours, les risques, les risques, si effectivement, leur demande est rejetée, il y a les risques de dépens. J’ai expliqué vraiment la position du juge et tout ça. Et à ce moment-là on avait l’offre de règlement qui était encore sur la table. Je leur ai soumis l’offre de règlement, puis ils sont partis avec ça. Il n’y a pas eu de décision de prise à ce moment-là. Argument ; Oups ! Lors de la présentation des faits Me Vézina mentionne quà la fin de la journée du 12 mars cette offre nexiste pas et que leur discussion non eu lieu quà la fin de la journée du 12 mars, mais selon Me Lecompte cette offre existe le matin du 12 mars, vous allez également constater Me Lecompte ajoute dans les faits que jai refusé cette offre le matin du 12 mars alors quelle nexiste pas et le procès à débuter à 15:16 pm ? (Note sténo - Page 56 ligne 16 à 25 suite P. 57 ligne 1 à 4) • Vézina : On est le 12 mars, on est à quel... (Je croie que Vézina allait dire ) • Lecompte : C’est la première journée. • Vézina : Donc, le 12 mars ? • Lecompte : Oui. • Vézina : Vous dites : «je leur ai expliqué l’offre qui était toujours sur la table» pourquoi utilisez-vous le mot «toujours» • Lecompte : Parce que cette offre-là nous avait été faite en début de la journée et a été maintenue suite à la rencontre avec le juge Fournier. Elle avait été refusée par monsieur Paquette au début de la journée, j’ai réitéré l’offre qu’on avait déjà sur la table puis ils sont partis chez eux sans prendre aucune décision. (Ici nous somme le 12 mars) Argument ; Noublier pas dans la lettre du 30 janvier 2012, Me Vézina adresser au Barreau javais déjà refusé cette offre de 5000$ le 9 mars et le matin du 12 mars cette offre est encore sur la table ? Cest vrais les avocates on tous les droit de ne pas avoir les souvenirs précis des faits elles sont des professionnelles qui ont droit à lerreur ? (Note sténo - Page 58 ligne 15 à 21) • Vézina : De quelle façon monsieur Paquette vous a-t—il manifesté son accord quant au règlement ? • Lecompte : Comme je vous dis, je me souviens que monsieur Paquette étais émotif, tout ça, mais je souviens qu’il a dit oui, sinon je serais jamais allée voir le juge pour lui dire que le dossier était réglé. Argument : Pour la suite lisez bien attentivement quand elle reçoit le chèque qu’elle m’a jamais transmis. (Note sténo - Page 59 ligne 2 à 15) • Vézina : Entre le 13 mars 2009 et le 23 mars 2009, la date d’envoi du chèque et des documents de règlement, y a-t-il d’autre échanges avec monsieur paquette, entre monsieur Paquette et vous? • Lecompte : J’ai regardé dans mon dossier pour voir s’il y en avait eus pour me remettre dans le dossier, j’ai pas vu de notes de ma part à l’effet que j’avais eu des notes avec monsieur Paquette. Je peux pas vous dire SOUS SERMENT, si oui ou non, j’en ai eus, ça je m’en souviens pas. (Donc elle n’a pris aucune note de nos discussions) La seul chose que je me souviens c’est que suite à la lettre de ma consœur quand j’ai avisé monsieur Paquette ‘’Là’’, il m’a envoyé un courriel en me disant qu’il n’acceptait le règlement. (Note sténo - Page 60 ligne 9 à 14) • Vézina : Vous l’avez contacté, vous, à quel moment suite à la réception du chèque et des documents ? • Lecompte : Je peux pas vous dire exactement, je sais que c’est par la suite après l’avoir reçu, puis la réponse est venue, mais je peux pas vous dire exactement quand. Argument; Me Lecompte c’est clair qu’elle ne peut pas dire quand elle m’a téléphoné d’un chèque qu’elle reçoit le chèque le 23 mars, elle dit quand elle m’a avisé je lui envoie un courriel qui est daté du 22 avril dans le dictionnaire le mot ‘’Là’’ signifie le moment présent donc elle m’a avisé que le 22 avril un chèque elle a reçu le 23 mars, est-ce exact ? Eh bien, pour la suite mon cerveau a fumée du bon stock, Me Lecompte en contre-interrogatoire sa version est-elle précise et sans ambiguïté car elle ne sait pas comment que je me suis exprimé pour dire que j’ai accepté, alors qu’elle se souvient que j’ai dit oui à Me Vézina ? (Note sténo - Page 68 ligne 5 à 25 suite P. 69 ligne 1 à 3) • Trudel : Et vous dites qu’il vous a dit oui ? • Lecompte : oui. • Trudel : Il a accepté ? • Lecompte : Ça doit être un oui, oui, oui. (Oups elle nest pas certaine si jai dit oui) • Trudel : Est-ce qu’il a dit oui, mais je ne suis pas content, oui, mais o.k. d’abord ou je le sais pas ? (Petite orientation question sur la réponse non ?) • Lecompte : Je ne peux pas vous rapporter les paroles exactes, mais ça se peut que ça soit quelque choses de ce genre-là; o.k., d’abord ou des choses comme ça. Comme je vous dis, c’est sûr que c’est un peu résigné. • Trudel : Cétait sans équivoque, selon vous ? • Lecompte : Quest-ce que vous voulez dire ? • Trudel : Sa réponse était sans équivoque ? • Lecompte : A leffet que cétait oui ou non ? • Trudel : Oui. • Lecompte: Bien, jaurais jamais avisé le juge si cétait non. • Trudel : Vous laviez perçu comme ça ? • Lecompte : Oui. (Sacrement donc cest clair quelle ne le sait pas si jai dit oui ou non) • Trudel : Mais vous ne savez pas si c’est verbal ou qu’il a répondu de façon verbal ? • Lecompte : Ou si c’est hoché la tête, non, ça, je ne peux pas vous dire. Argument ; Me Lecompte dans sa version à Me Vézina elle se souvient que jai dit oui, mais à Me Trudel elle ne peut pas rapporter mais parole exacte ou si jai hoché la tête ou si jai répondu verbalement ou quelque choses de ce genre-là ou des choses comme ça, crédible comme version nest-ce pas ! Dans la suite des faits Me Lecompte dit davoir parlé des risques de dépens et si je perds le procès j’aurais des frais à payer à la partie adverse elle ma expliqué comme elle le fait toujours mais sans se souvenir avoir spécifié le montant, cest nimporte quoi ? • Lecompte mentionne à Vézina : J’ai expliqué, comme je le fais toujours, les risques, les risques, si effectivement, leur demande est rejetée, il y a les risques de dépens. • Lecompte mentionne à Vézina : Où on s’en allait avec le dossier, les risques, si effectivement la demande était rejetée, les risques de dépens. Me Lecompte en contre-interrogatoire sa version est-elle sans ambiguïté ? (Note sténo - Page 65 ligne 9 à 25) • Trudel : O.K. les frais, c’était quoi, est-ce que vous lui aviez donné un montant pour les frais qu’il devrait payer ? • Lecompte : Les dépens, je ne crois pas. • Trudel : Si je vous dis vous lui aviez parlé d’une somme de 18 000 $ (Orientation réponse ?) • Lecompte : 18 000 $ ! • Trudel : … les frais d’expert, ces choses-là. Est-ce possibles ? (Orientation réponse ?) • Lecompte : 18 000 $ Ça semble beaucoup, ça m’étonnerait que j’aie dit 18 000$. Mais j’ai parlé des dépens, ça c’est certain que j’ai parlé des possibilités… • Trudel : Est-ce que vous avez moyenné les dépens ? • Lecompte : Honnêtement, je m’en souviens pas. • Trudel : Vous, vous souvenez pas ? • Lecompte : Je suis désolée. Argument : Me Lecompte parle donc des dépens que je pourrait payé, dans le dictionnaire le mot dépens spécifie: Frais taxable dun procès. Être condamné aux dépens. Et le mot Frais : Dépenses occasionnées par laccomplissement dune procédure, dun acte ou dune formalité légale. Les frais de justice, les frais denregistrement. Me Lecompte manque-t-elle à son devoir dexplication juridique ? Elle na également aucun souvenir de mavoir spécifié le montant mais elle dit mavoir expliqué comme elle le fait toujours, la mémoire est une faculté qui oublie, dune évidence la mémoire ce souvient de ce qui est pertinent qui ne va pas en notre désaventage. • Lecompte : J’ai rencontré monsieur Paquette, son épouse et monsieur Poulin aussi était là également, si je me trompe pas. • Lecompte : Monsieur Paquette est-là, son épouse et monsieur Poulin aussi également de mémoire. • Lecompte : comme je vous dis, de mémoire, monsieur Poulin était là également. • Lecompte : Monsieur Poulin, quand à lui, je me souviens qu’il disait à monsieur Paquette : Écoute, on n’a accepté de faire les travaux, t’es chanceux, tu t’en es remis. Je me souviens que c’était plus une question de dire : tu sais, on a accepté de faire les travaux, il revenait souvent sur ça. • Lecompte : Comme je vous dis, je me souviens que monsieur Poulin revenaient tout le temps sur le fait que : «Écoute, on a accepté de faire les travaux, on le savait» ça je me souviens qu’il revenait beaucoup là-dessus qu’il était ça, il le répétait souvent. Argument : Donc Me Lecompte ne sait pas si monsieur Poulin est présent lors de nos discussion dans le cubicule le 12 ou 13 mars, elle témoigne que de mémoire mais elle se souvient avec une précision a couper souffle des propos de monsieur Poulin mais elle ne peut pas se souvenir davoir parlé du montant des dépens mais elle se souvient mavoir explique comme elle le fait toujours les dépens ? Pourquoi mon avocat André Trudel na pas mise Me Lecompte en contraction sur le fait quelle mentionne que loffre étais sur la table le matin du 12 mars 2009, alors que Vézina mentionne dans sa présentation des faits quil ny avait aucune offre sur la table a ce moment-là à la fin de la journée du 12 mars, vous allez comprendre plus bas pourquoi Me Trudel ne la pas mise en contradiction ? • Voici des points dans mon jugement ou le juge Michel Déziel a totalement erré sur les faits, est-ce qu’il protège les avocates sur leur version qui diverge entre elles sur les faits du 12,13 mars 2009, ou ses-moi le néophyte ? [11] Dans sa requête en homologation, la défenderesse déclare quun règlement hors cour est intervenu pour la somme de 5 000 $, quil y a eu transaction et quun chèque a été transmis au demandeur le 23 mars 2009, lequel est retourné le 22 mai 2009. [24] Me Lecompte témoigne et déclare avoir reçu une offre de 5 000 $ le matin du 12 mars et qu’elle communique au demandeur. (Il en fait quoi de la version de Me Vézina à louverture du procès) [26] Elle en discute avec le demandeur et confirme que l’offre de 5 000 $ est toujours sur la table. Elle lui suggère d’y penser et de revenir le lendemain matin. [29] Enfin les parties admettent que si Me Vézina venait témoigner, elle confirmerait avoir fait une offre de 5 000 $ à Me Lecompte dans les jours précédant le procès, offre a réitérée le matin du 12 mars. Elle voit Me Lecompte transmettre cette offre au demandeur et l’entend dire «C’est rire du monde» Argument : Noublier pas lors de la présentation des faits de Me Vézina elle prend même le soins de précisé au juge quil ny avait aucun montant sur la table ceci est avant quel interroge Me Lecompte. [30] Le demandeur revient à la barre et déclare qu’à sa connaissance, il n’y a pas d’offre le 12 mars. Argument : Le juge Déziel conclu que moi je ne suis pas crédible car je dis à ma connaissance, Me Lecompte témoigné de mémoire a trois reprise même si elle dit de ne pas avoir les souvenirs vraiment exactes elle ne souffre pas ambiguïté et sa version est tout à fait crédible, est-ce quil y a partialité envers les avocates ? [35] La version du demandeur est invraisemblable. • Voici ce que monsieur Poulin mentionne le 24 février 2011 à Me Vézina, elle lui pose la question suivante : Vous et madame Tardif avez dit a monsieur Paquette: Bien, tes peut-être mieux daccepter que de rien avoir : Oui, mais cest sûr que lui était pas daccord du tout avec ça. Sylvain était pas daccord avec ça. Argument : Comment que Me Vézina pouvais t-elle savoir ce qui ses discuter entre moi, monsieur Poulin et Me Tardif avant même des interroger alors quelle na jamais été en contact avec nous lors de cest discussion dans le cubicule, ceci prouve la connivence entre Me Vézina et que Me Lecompte lui a transmis des confidence privé. • Et voici ce que Me Tardif répond a le même genre de question à Me Trudel : Cest moi et Jacques (Poulin) qui essayions, on disait: Accepte - Accepte - Accepte - mais ça jamais sorti de sa bouche, jaccepte, ça cest sûr, cest, il a jamais dit ça. Argument : Donc ce qui est clair je nai jamais dit oui et accepté cette offre imbécile. [42] La preuve démontre qu’elle conseille au demandeur de régler de dossier et ne pas le continuer, vu les risques d’assumer les frais du procès advenant un rejet probable de l’action intentée. Elle leur suggère donc d’y penser et de revenir le lendemain. [43] La preuve démontre que le demandeur est au courant de l’offre de 5 000$ dès l’ouverture du procès le matin du 12 mars. Il sait que cette offre est toujours sur la table lorsqu’il quitte le soir du 12 mars avec son épouse. [51] Le chèque de 5 000 $ est transmis le 23 mars à Me Lecompte qui le transmet au demandeur après lui avoir confirmé, par téléphone, sa réception. [56] Sa version n’est pas crédible. [57] Le témoignage de Me Lecompte est sincère, crédible, posé, et ne souffre pas ambiguïté. (Sacrement) Son témoignage n’est pas intéressé, comme le prétend l’avocat du demandeur. Elle agit comme auxiliaire de la justice et les faits démontrent qu’elle a bien rempli son mandat face au demandeur. Argument : Jai fait la preuve que le 12 mars 2009, aucune offre nétait sur la table le juge a donc erré sur les faits et en droit de toute évidence. Lors de mon premier appel du 14 avril 2011 devant la Cour dappel il y avait 4 minute 44 seconde qui non pas été retranscrit par la sténographe et dans ce 4;44 manquant je dis clairement au juge Michel Déziel a la page 6 ligne 22 Jai jamais reçu le chèque Donc cest clair que le juge Michel Déziel a erré sur les faits et quil est impartial, car au point 11 et 51 il dit que ce chèque ma été transmis le 23 mars 2009, ce qui est totalement faux. Écrit un livre le titre va être probablement ‘’Le Naufrage des juges, à interpréter la vérité’’ Ah! Oui et cest moi qui est le criminel dans tout ça car je dénonce via internet la supercherie, les contradictions des avocates, les erreurs de droit et des faits du juge Michel Déziel, Me Lecompte ma faits arrêter elle m’a fait vivre trois jours à la prison de Bordeaux car elle a peur que je place une bombe sous son auto, je lui est envoyer des courriels quelle n’a jamais répondu évidement sur cest version contradictoire car je veux des réponses mais jintente a sa réputation, et je lintimide car je démontre les faits caché et la partialité dans mon jugement, à deux reprises elle essaie sans succès de me faire déclarer Plaideur quérulent mon avocat de 2011 André Trudel refuse daller en appel le 14 avril 2011, du jugement de Déziel du 8 mars 2011. Me André Trudel oriente quelque fois Me Lecompte sur la réponse qu’elle peut donner qui normalement on ne doit pas orienté un témoins et il ne la pas mise en contradiction sur le faits quelle dit que loffre existait le matin du 12 mars 2009, alors que Me Vézina mentionne clairement aucun montant était sur la table à la fin de la journée du 12 mars, est-ce que la mémoire de Me Vézina lui est revenu subitement après avoir interrogé Me Lecompte ? Me André Trudel refuse d’aller en appel du jugement de Déziel que je suis mieux d’oublié tout cela et je suis encore en vie, j’ai une femme et un fils qui m’aime et de pensée à eux. Internet est un outil utile via le site Barreau du Québec pour découvrir que Me Trudel est nommé lavocat de lex-bureau davocat de Me Vézina, Pelletier d’Amours le 23 mars 2012, et que Me Vézina a obtenu un poste de directrice en Stratégie et développement a pareil date pour la Cie dassurance quelle défendait de 2004 à 2011, est-ce que ceci est une pure coïncidence ? • [email protected] - Pour le Bureau davocat Pelletier dAmours • [email protected] - Pour les assurances Desjardins Argument : Ceci me laisse totalement septique car selon leur courriel respectif ils ont donc le même patron • (dgag) Desjardins Groupe dassurances générales Inc.
Posted on: Sat, 09 Nov 2013 16:45:33 +0000

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