BIG GAME DE NOEL :le scénario je compte bien refaire le même que lannée dernière donc pour les nouveaux et ceux qui ont oublié voila le debriefing de lannée 2012 ! Avec le super mauvais temps des derniers jours (neige, pluie, verglas), les joueurs ne se sont pas bousculé pour s’inscrire au dernier Big Game de l’année. C’est donc sans surprise que j’accueille beaucoup moins de monde que l’année dernière. Mais bon, le côté intimiste (non ça veut pas dire rendez-vous de PD) n’est pas non plus pour me déplaire, pouvoir repeindre des clients dont tu connais le prénom, je trouve ça super. En plus, cette année, il y a beaucoup de Pères Noël, donc, logiquement, je devrais prendre moins cher ! Dans mon équipe rouge, des XTATIX, des OVERDOSE, des POKEUR, des TOXIC et plein d’autres excités. Chez les camos, y a aussi du lourd (Momo ;)), PSP, INCAS, bras armés de DAM. Le match s’annonce intense. Je lance la première partir, les glaçons, arbitrée par 4 punis (des gens qui préfèreraient jouer quoi !) pour éviter les débordements de l’an dernier. Nous nous répartissons les rôles sur le terrain et la vague rouge, partie des tranchées, nettoie consciencieusement les pneus puis les voitures puis les palettes puis de l’autre côté, le fort, le speed en 10 minutes, les camos sont acculés dans leur base, pris à la gorge par des pères noël rancuniers qui avaient souffert l’an dernier. Ma fille, qui arbitre, me fait désespérément signe de calmer le jeu, mais je ne peux plus rien faire, nous prenons les 3 bus, ramassons tous les cubes. La partie est pliée, les verts ne reviendront plus ! 3 Points pour les rouges. Dans le club house, les camos sont dépités, même si le nombre de joueurs est égal, la force de frappe est plus puissante chez les rouges. Je prends donc l’initiative de changer de camp (mais pas tout seul, je ne me prends pas pour Rambo…quoi que….) emmenant avec moi Rémy, qui, soulagé de voir une bonne ambiance, laisse tomber l’arbitrage, mais aussi 5 de mes vieux grognards (oui, là je me prends pour Napoléon). Les boules, c’est le nom de cette partie et certains ne le savent pas encore, mais ils vont les avoir !!! 24 boules rouges, 24 boules vertes, 1 sapin. La mission : accrocher les boules sur le sapin, à découvert, en plein milieu des deux camps. Je motive mes nouvelles troupes, chacun sait maintenant où il doit aller (ça change non ?), j’insiste sur le fait qu’il faut courir, car le camo est rondouillard. Les rouges jubilent, après avoir survolé la première manche, ils comptent bien se faire le taulier dans les grandes longueurs dans la deuxième. C’est donc en marchant qu’ils démarrent des pneus, cruelle erreur. Avec une dizaine de verts nous fonçons (si, si, li y a même une photo où je cours) au bus et nous repoussons les plus rapides qui sont à découvert, les rouges se replient dans les palettes et les voitures, nous verrouillons le passage. Après 2 ou 3 tentatives avortées au bus, les rouges mettent le paquet derrière le fort, notre ligne menace de céder ; je reste au bus avec 2 verts et Rémy rassemble tout ce qui est volontaire pou contre-attaquer par le fort. Je reconnais maintenant la silhouette immense de mon petit qui, avec son bataillon de camos déchaînés, arrache le fort puis rapidement la butte. Ils arrosent maintenant les palettes et les pneus, c’est la panique chez les rouges. Du coup nous profitons de ce flottement pour avancer sous la terrasse ( à l’abri, il pleut à mort et invisible dans le noir) et là, c’est le bonheur : les pères noël dans les palettes sont pris entre deux feux ; j’adore ce job, quel carton !! 23 boules vertes et…heu…ben oui, ZERO rouge. Comme d’habitude, la pizza est bonne et généreuse, comme la tombola et nous attaquons rapidement la partie des tranchées. Une équipe avec 2 vies chacun défend, l’autre attaque avec respon à volonté. Leur but : déposer dans la cheminée la mère noël, son fils et la valise en 30 minutes. Toujours en camo, j’aborde cette partie que j’adore avec le sourire car on est vachement moins visible. Nous attaquons et d’un coup, je découvre que les rouges sont tout au fond, bien à l’abri dans les tranchées, ils sortent l’artillerie lourde générale dès que nous approchons de trop près et nous faisons des allers retours en dead zone et le temps passe…les malins. Je savais pas que Bouba vendait des pizzas à la cervelle !!! Pour les contrer, nous envoyons des kamikazes (même pas peur, respon infini pour nous !) pour user leurs 2 vies et ça finit par marcher, nous progressons dans les tranchées, à plat ventre, en nous relevant régulièrement ; c’est le jackpot : tiens mon Nico, tiens mon Didi, tiens mon Foufousse et retiens mon Bruno : toute la famille Noël est dans la cheminée avec la valise. Mais nous en voulons plus, nous voulons l’extermination, ça finit en lutte acharnée à quelques mètres ; tiens la main de Maxime qui reload (c’est bon ça !!). Les 30 minutes sont écoulées, perso, je suis rincé. Merde, il ne restait plus que 2 pères noël, dommage. 3 points de plus pour les camos. Le retour s’annonce sévère, les rouges qui se prennent pour des supporters du PSG nous font es signes bizarres ! Ils attaquent mais en ordre dispersé, donc nous mettons le paquet à chaque fois sur le plus proche (bien visible en rouge ), puis le suivant et ça les énerve. Ils tentent une percée à droite, on les entend compter : « à 3 on y va tous ! » et seulement 2 malheureux foncent à découvert, on a eu du mal à retrouver les corps tellement ils étaient repeints… A ce petit jeu, on les use, aucun point dans la cheminée, finalement, on s’emmerde en défense (j’avais pris 9 pots au cas où quand même). Allez, on y va les camos ! on sort des tranchées et on les casse ! BOUH ! Zéro point. J’ai bien fait avec mes potes de changer d’équipe, comme ça, on n’a pas perdu une partie de la journée (OK, ça fait école des fans mais ça me plaît !) 3 petits points pour les rouges, 26 pour les verts (nananère !!!) Au final, même si on n’était pas très nombreux, on s’est amusé. L’avantage c’est que tout le monde se connaît, c’est au corps à corps dans les tranchées puis au coude à coude au vin chaud. Comme c’était Noël, j’ai viré personne, pourtant, j’aurais pu : le grand connard qui tire sur le filet ou le petit qui tire entre les filets. Je vous pardonne parce-que parfois, bêtement, on fait une connerie. Mais attention, le pardon n’est pas l’oubli… Ce Big Game aura été l’occasion de revoir des potes absents depuis 1 an, de profiter des habitués, de découvrir des petits nouveaux, comme dans une famille pour Noël. J’en profite pour vous souhaiter, à vous et à la vôtre, le meilleur pour 2013. Je vous embrasse (putain Charles, t’es ému !) Vivement l’an prochain à EUROPAINT, mieux qu’un club, une famille. CHARLES 50% père noël, 50% camo, 100% content d’avoir partagé cette journée avec vous
Posted on: Fri, 29 Nov 2013 08:28:17 +0000
Trending Topics
Recently Viewed Topics
© 2015