Bonjour M. Gahel Fidèle lecteur depuis plusieurs années et - TopicsExpress



          

Bonjour M. Gahel Fidèle lecteur depuis plusieurs années et heureux propriétaire d’une versys 1000 cc. depuis aout 2012, j’aimerais répondre à votre article : mélangée… Pour moi c’est la meilleure moto que j’ai piloté de ma vie. Motocycliste, j’ai eu un parcours classique comme plusieurs personnes. Adolescent, j’ai conduis une mobylette puis un un kawa 90 cc que j’ai usé à la corde à 6o milles à l’heure sur l’autoroute la poignée dans le fond, puis, ce fut une JAWA tchèque 175cc. . A l’époque avec mon 175 cc, un véritable tracteur, j’ai quand même effectué à quelques reprises des voyages de 1000 km et plus. Un ami me prêtait parfois sa kawa 250 cc. que je considérais comme un monstre de puissance ! Plus tard, travaillant en hiver en Jamaïque, je louais souvent des motos Honda 350 cc. pour parcourir l’île de bout en bout. Ensuite avec le boulot intensif l’été, il n’y a plus eu de motos pendant près de 20 ans. La flamme s’est rallumée net lorsque mon neveu m’a prêté une marauder 800cc. J’avais de nouveau la piqûre. Pour me refaire la main en 2003, j’ai acheté pour quelques milliers de dollars une Savage 650 cc neuve qui traînait depuis 3 ans dans le garage du concessionnaire. Le gout de voyager en moto m’a repris aussi. La moto étant armée d’un porte bagage à l’arrière, on a voyagé, ma blonde et moi, avec tout le fourbi de camping placé dans un immense sac de voyage. Le siège arrière étant un véritable madrier de deux par quatre, pauvre passagère, j’ai passé ensuite à un échelon supérieur avec un KAWA 900 cc. classic avec valises de côté et grand porte bagage. Après deux ans avec la kawa 900cc. je me suis acheté une NOMAD 1,700 cc pour encore plus de puissance et de confort. Germais en moi le désir de faire un grand voyage avec cette moto, rêve que je caressais quand j’avais 16 ans. Ce qui fut fait. En 2011, prenant un congé sans solde de mon employeur, je suis parti deux mois et demi faire le tour des USA. Blue Ridge Parkway, Natchez Parway, Louisiane, Texas, Arizona, Nouveau Mexique, Californie et Nevada que j’ai tant apprécié. Du coté mécanique ce fut impeccable. Ma grosse Nomad m’a transporté sans problème sur 23, 450 km sans rechigner. 2 changements de pneus, 3 changements d’huile, that’s it! 0 problème mécanique. J’avais de la place pour mettre plein de bagages dans mes valises rigides. Je transportais en plus un gros sac north face sur le banc passager. Acheté neuve, cette moto je l’ai gardé exactement 2 ans, de août 2010 à août 2012 avec 50, 000 km au compteur. Ce que progressivement je n’aimais pas de cette moto au fur et à mesure que le temps passait c’était : 1) le poids du monstre à basse vitesse 2) le bruit des échappements pourtant purement stocks 3) le fait que les valises soient fixes 4) la garde au sol trop basse 5) la tenue de route bien ordinaire 6) le frein arrière placé très haut au-dessus de la plateforme. Je devais, lors de manœuvres délicates, placer mon pied droit en position d’appel devant être toujours prêt à effectuer un ralentissement ‘pianissimo’. Après un long bout de temps dans cette position, cela deviens désagréable. Exemple : J’ai eu en voyage à descendre en serpentins en montagne sous la pluie et avec des voitures me suivant dans le derrière. Effectuer des virages en épingles sous une forte pluie et mon surplus de bagage ce n’était pas toujours évident ! 7) le fait surtout que je ne pouvais quitter le bitume, n’étant pas à l’aise sur les routes désertes constituées de gravier mou. J’aurais aimé pouvoir visiter les immenses réserves indiennes et aussi pouvoir sortir quelque peu de la route pour aller camper en camping sauvage. Au fil des ans ma passion allant en grandissant, je lis maintenant beaucoup sur les motos. Entre autres, Moto journal Québec que je trouve pas mal pépère, Moto Journal France beaucoup plus rigolo et RIDER magazine. Tranquillement, le choix d’une moto sport aventure, crossover s’est imposé. Déjà je voyais comment je me faisais larguer dans les courbes par mon ami qui conduisait une VStrom 650 cc. Je fus intrigué également par un article d’un journaliste de RIDER magazine qui disait grosso modo : si vous saviez ce que vous perdez du plaisir de rouler avec vos gros cruisers lourdauds et malhabiles, comparativement aux motos routières, lorsque vous verrez la différence, vous allez les faire bruler dans un grand feu de joie ! Une anglaise, Tiger ? Une allemande 800cc ou la grosse GS 1200cc ? Yamaha Ténéré ? KTM aventure ? , le choix est vaste. Fidèle à Kawasaki et à mon excellent concessionnaire Beauce Sports, j’ai finalement porté mon choix sur une Versys 1000 cc. Depuis c’est le grand bonheur et je vais vous expliquer pourquoi. En passant dans le moto journal français, la Versys 1000 s’est taillée la part du lion dans un comparatif récent avec une Aprilia caponord 1200 abs et la ducati multistrada 1200 s touring. (30 mai 2013) ‘’ C’est la kawasaki versys 1000 qui sort du lot, avec simplicité et naturel, sans se ruiner. On la pilote avec facilité et efficacité. La ducati Multistrada se montre bien exigeante en pilotage pour faire état d’une réelle polyvalence; quant à l’Aprilia 1200 Caponord, on attend que les ingénieurs achèvent le développement de leurs suspensions ‘intelligentes’ ou les abandonner en échange de plus de confiance. ‘’ A quoi sert cette chose, vous demandez ? Vous commencez par parler de son poids et de sa hauteur. J’ai un ami mesurant 5 pi. 9 qui a les pieds bien au sol lorsqu’il est assis dessus. Quant au poids, après les 850 livres de la Nomad, amenez les, les 526 livres de la Versys ! Vous dites le modèle n’a : ‘aucun prétention hors-route’. Hors-route, il faut d’abord s’entendre sur ce terme. C’est certain que je ne partirais pas dans le bois, ni dans un marécage avec cette moto. C’est vrai qu’elle n’est pas construite pour cela. Par contre, je suis maintenant très à l’aise de rouler sur les routes de gravier et de gravier mou et cela sur une très longue distance; même chose pour les routes très abimées. Les pneus trail et le contrôle de traction aident beaucoup. Ce qui n’était pas la tasse de thé de mes précédentes motos. Je puis aussi choisir un sentier mollo pas trop défoncé pour rejoindre un site de camping sauvage. Ce qui me convient parfaitement. Vous parlez des chevaux de la Versys en disant que les performances ne sont -pas du même ordre que la Z100. Ce ne sont peut-être pas les mêmes performances que la Z 1000 mais, pour ma part, elles m’éblouissent ces performances ! A commencer par la tenue de route. Wow! Je suis épaté de la différence face aux cruisers et de la stabilité en courbe de cette moto par rapport à tout ce que j’ai conduis auparavant. La Nomad, c’était 82 chevaux mais avec son poids et son moteur de cruiser, il n’y a pas de comparaison possible. Avec la poignée au fond avec un cruiser c’est une montée en vitesse toute linéaire, avec la Versys, je me sens assis sur un tapis magique qui décolle ! Comme la plupart de vos lecteurs, nous ne provenons pas du milieu de la course comme vous. Nous ne cherchons pas nécessairement des sensations extrêmes pour être satisfait. En plus, nos routes abimées et notre force constabulaire sont là pour nous rappeler rapidement à l’ordre! Le son de la Versys est pour moi très agréable; tout doux lorsque les tours sont bas, rugissant quand on lui demande un effort! Vous dites que : ‘des valises sont offertes en équipement optionnel.’ Il serait aussi bon de mentionner QUE LE CADRE A ÉTÉ RENFORCI À CET EFFET.’ Pour moi le système de valises GIVI est génial. En une seconde, hop, la valise est placée ou retirée. Cela me fait ainsi 3 motos en une. Une moto sans valises quand je veux partir seul épouser les courbes. Une moto avec un top case avec appui dos pour le passager lors d’une balade et une moto ‘full equiped’ avec mes deux grosses valises de 55 litres sur chaque côté plus le top case quand je pars en voyage. Dans votre pas mal vous dites : ‘une polyvalence impressionnante permettant à la Versys 1000 de passer de routière à touriste à sportive sans préavis et avec grande crédibilité. ‘ Je suis d’accord, cela définit bien cette moto ! Ce que j’aurais cependant aimé avoir sur cette moto c’est une indication des rapports engagés et un support central. Je m’accommode bien de la chaîne même si cela demande plus d’entretien qu’une courroie. La semaine dernière j’étais en vacance à l’Americade. Je demandais à un expert Kawasaki sur place pourquoi cette moto n’était pas vendue aux USA. Il m’a répondu que cette moto est surtout destinée au marché européen et que l’association des concessionnaires américains ne l’on pas voulue et cela deux ans de file. J’espère qu’après cette lecture vous trouviez cette moto un peu moins mélangée (!) et que vous puissiez entrevoir les réels avantages qu’une telle machine apporte pour une clientèle qui ont des ‘besoins’ similaires aux miens. En passant, j’aime aussi beaucoup son look différent décrié par plusieurs! J’aime bien vous lire au fil des années. Cependant, c’est difficile à comprendre malgré vos explications qu’un guide de moto annuel sort en publication en juin quand la plupart des éventuels acheteurs de motos neuves ont déjà effectué leurs choix. Travaillant en assurance, c’est en mars et en avril que je fais surtout des soumissions pour les nouveaux acheteurs, pas en juin. Tant que vous y trouviez votre compte, tant mieux, on pourra ainsi continuer de vous lire avec grand plaisir ! Un de nos fidèles clients. Jan Nols
Posted on: Fri, 09 Aug 2013 17:34:19 +0000

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