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Bonne Fête ! Catherine Catalina, Catarino, Caterina, Cathel, Cathelle, Cathy, Catia, Catoun, Kassy, Katarzyna, Katell, Kateri, Kathleen, Kathryn, Kathy, Katia, Katialyne, Kessy, Ketty, Kittie Quiéta Quitterie Sosthène Autres Fêtes du Jour Saint Andrea Tran Van Thong Martyr en Annam (✝ 1835) Bienheureux Calimer de Montechiaro Dominicain (✝ 1521) Saint Etienne le Jeune moine et martyr à Constantinople (✝ 764) Saint Hilaire et Quieta Epoux à Dijon (✝ 450) Saint Irénarque martyr (4ème s.) Bienheureux Jacques Thompson prêtre et martyr en Angleterre (✝ 1582) Bienheureux Jean-Jésus et ses compagnons - Louis Campos Gorriz martyrs espagnols (✝ 1936) Saint Païssij Velitchkovskij starets moldave (✝ 1794) Saints Papinien et Mansuet évêques martyrs en Afrique (✝ 430) Saint Philippe (✝ 580) Saint Sosthène Disciple et compagnon de Saint Paul (1er s.) Sainte Théodora abbesse (✝ 980) Saint Théodore de Rostov Fondateur du monastère de la Dormition de la Mère de Dieu (✝ 1395) Sainte Catherine Labouré Fille de la Charité (✝ 1876) Catherine naquit dans un petit village de Bourgogne, à Fain-les Moutiers (21500), huitième d’une famille de dix enfants. Elle a 9 ans quand meurt sa mère le 9 octobre 1815 et elle est recueillie, avec l’une de ses sœurs, par une tante à Saint-Rémy, non loin de Fain. En janvier 1818, elle revient à la ferme natale, rendant ainsi possible l’entrée de sa sœur Marie-Louise chez les Sœurs de la Charité à Langres. A 12 ans, elle assume le rôle de la mère de famille, de fermière et de maîtresse de maison. Elle commande aux serviteurs et à la servante. Son domaine, c’est le fournil, le verger, l’étable, le poulailler et le colombier. La première, elle se lève avant l’aurore, prépare les repas qu’emportent les ouvriers aux champs, assure la traite des vaches et conduit le troupeau à l’abreuvoir communal. Elle prend soin de son jeune frère infirme et veille au bien-être de son père quand il revient des champs ou du marché de Montbard. (21500) Sainte Catherine en BD Mais elle passe aussi de longues heures dans la petite église de Fain, devant un tabernacle vide, car le clergé a beaucoup diminué pendant la Révolution et le prêtre desservant ne vient que pour célébrer les enterrements et les mariages, très raremant une messe dominicale. En elle, monte un appel. Durant le rêve d’une nuit, comme elle le dira, ce rêve prend un visage d’un prêtre âgé, qu’elle pense reconnaître comme étant celui de saint Vincent de Paul quand elle en verra l’image lors d’une visite aux Sœurs de Châtillon (21400) où elle suit quelques études élémentaires, de 1824 à 1826, chez une cousine qui tient un pensionnat. Elle revient à la ferme parce que la petite paysanne est mal à l’aise au milieu de ces jeunes filles de bonne famille. Son père voudrait bien la marier, mais elle refuse. Alors il l’envoie à Paris, où son fils tient un commerce de vins et un restaurant populaire. Elle devient servante. Elle y découvre la misère des ouvriers et le travail des jeunes enfants en usine. Sa décision définitive est prise : elle servira les pauvres. De retour en Bourgogne, elle retrouve le pensionnat de Chatillon et les Sœurs de Saint Vincent de Paul. Son père cède enfin. Le mercredi 21 avril 1830, elle retrouve Paris et entre au séminaire de la Maison-Mère de la rue du Bac. Grande joie pour sœur Catherine, le dimanche suivant 25 avril. Les reliques de saint Vincent de Paul sont transférées de Notre-Dame de Paris à la chapelle de la rue de Sèvres. Durant la nuit du 18 juillet 1830, veille de la fête de saint Vincent de Paul, elle se sentit appelée par un enfant mystérieux qui la conduit à la chapelle, dans le sanctuaire, dira-t-elle à son confesseur, à côté du fauteuil de Monsieur le Directeur. Et là, je me suis mise à genoux et l’enfant est resté debout tout le temps. Comme je trouvais le temps long, je regardais si les veilleuses (les sœurs) ne passaient pas par la tribune. Enfin l’heure est arrivée. L’enfant me prévient. Il me dit : Voici la Sainte Vierge, la voici. Je doutais si c’était la Sainte Vierge. Cependant l’enfant qui était là me dit : - Voici la Sainte Vierge-. Je n’ai fait qu’un saut auprès d’elle, à genoux sur les marches de l’autel, les mains appuyées sur les genoux de la Sainte Vierge. Elle s’en confie à son père spirituel, Monsieur Aladel qui ne voit qu’illusion dans ce qu’elle dit, et surtout dans les malheurs dont elle parle. Or bien vite les événements ratifient ce que sainte Catherine lui avait dit être le message de Marie. La révolution éclate à la fin du mois, du 27 au 29 juillet. Quatre mois plus tard, le 27 novembre à 5 heures et demi du soir, alors qu’elle est en oraison dans la chapelle au milieu de toutes les sœurs, elle fut saisie d’un grand désir de voir la Sainte Vierge. Je pensais qu’elle me ferait cette grâce, mais ce désir était si fort que j’avais la conviction que je la verrai belle dans son plus beau... j’ai aperçu la Sainte Vierge à la hauteur du tableau de saint Joseph... elle avait une robe de soie blanche aurore. Il sortait de ses mains, comme par faisceaux, des rayons d’un éclat ravissant... Elle entendit une voix qui lui disait : Ces rayons sont le symbole des grâces que Marie obtient aux hommes. Autour du tableau, elle lut en caractères d’or, l’invocation suivante : O Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. La voix lui dit encore : Il faut faire frapper une médaille sur ce modèle et les personnes qui la porteront indulgenciée et qui feront avec piété cette courte prière, jouiront d’une protection toute spéciale de la Mère de Dieu. Une fois encore, Monsieur Aladel accueille fort mal le récit de sœur Catherine. En décembre 1830, elle connaît une troisième et dernière apparition, mais elle ne se souvenait plus de la date exacte quand elle en parla, car elle avait obéi, ne s’en étant pas ouvert immédiatement à son confesseur. Comme au 27 novembre, c’est à 5 heures et demie. Les rayons qui jaillissent des mains remplissaient tout le bas de manière qu’on ne voyait plus les pieds de la Sainte Vierge. La voix se fait entendre au fond du cœur : Ces rayons sont le symbole des grâces que la Sainte Vierge obtient aux personnes qui les lui demandent. L’apparition a le caractère d’un adieu. Elle reçoit ce message : Vous ne me verrez plus, mais vous entendrez ma voix pendant vos oraisons. Deux mois plus tard, lorsqu’elle quitte la rue du Bac, la directrice du séminaire résume ainsi ses appréciations : Forte, taille moyenne. Sait lire et écrire pour elle. Le caractère a paru bon. L’esprit et le jugement ne sont pas saillants. Assez de moyens. Pieuse, travaille à la perfection. Elle est nommée à l’hospice d’Enghien. Elle s’efface peu à peu, gardant une inlassable patience. Celle qu’on surnommait la sœur du poulailler quittera notre monde, comme elle y avait vécu, sans faire de bruit, sans agonie, avec un merveilleux sourire, le 31 décembre 1876. Le soir même au réfectoire, Sœur Dufès apportera le récit des apparitions, écrit le 30 octobre, après la confidence de sainte Catherine : Puisque Sœur Catherine est morte, il n’y a plus rien à cacher. Je vais vous lire ce qu’elle a écrit. Elle repose désormais dans la chapelle du 140, rue du Bac, à Paris. Elle a été canonisée par Pie XII en 1947. Voir aussi le site internet de la Famille Vincentienne, le message de Marie à Catherine Labouré daprès le texte du Père Laurentin, le site des Filles de la Charité de Saint Vincent de Paul, le site officiel de la chapelle Notre Dame de la Médaille Miraculeuse, Catherine Labouré (1806-1876) sur le site du diocèse de Paris. Sa vie en BD. À Paris, en 1886, sainte Catherine Labouré, vierge, Fille de la Charité, qui passa à l’hospice d’Enghien quarante-cinq ans au service des pauvres et des immigrés avec une simplicité et une générosité sans faille, et sans laisser deviner que la Vierge Marie s’était manifestée à elle dans la chapelle de la rue du Bac, pour inviter ses fils à l’invoquer comme l’Immaculée au moyen de la “médaille miraculeuse”. (martyrologe romain - 31 décembre) Toute à Dieu seul. Toute à Dieu au service des pauvres et des vieillards. Alliance d’un seul amour, celui du véritable secret de Catherine. L’humilité dans le service de Dieu, l’humilité dans le service des hommes Lectionnaire Emmaüs Saint Jacques de la Marche Frère mineur à Naples (✝ 1476) Né à Montebrandone dans les Marches italiennes. Franciscain, ami de saint Bernardin de Sienne et de saint Jean de Capistran, il était un grand orateur et pour cela il parcourut la Dalmatie, la Bosnie, la Hongrie, la Bohème, la Pologne et lItalie. À Naples, en 1476, la mise au tombeau de saint Jacques de la Marche, prêtre de l’Ordre des Mineurs, célèbre par sa prédication et l’austérité de sa vie. Dicton du jour À Saint-Sosthène, Il y a des chrysanthèmes. Fêtes du jour Ste-Catherine Labouré Ste-Catherine LabouréFille d’un couple de fermiers résidant à Fain-les-Moûtiers (Côte dOr), elle est baptisée sous le nom de Zoe. Sa mère étant décédée avant alors qu’elle n’a que 8 ans et sa sœur aînée Louise ayant déjà rejoint les Sœurs de la Charité, elle doit prendre soin de ses nombreux frères et sœurs, ce qui ne lui laisse pas le temps d’apprendre à lire et à écrire. À la suite d’une vision au cours de laquelle Saint-Vincent de Paul lui apparaît, elle se joint en 1830 aux Sœurs de la Charité de Châtillon-sur-Seine, prenant le nom de Catherine. Elle effectue son noviciat au couvent de la rue du Bac à Paris et commence à être témoin d’apparitions de la Vierge Marie. Au cours d’un de ces épisodes, deux images bien distinctes se présentent à elle, en même temps qu’une voix lui demande de faire confectionner des médailles à cette image, assurant que toutes les personnes qui en feraient l’acquisition seraient comblées de bienfaits. Catherine parle de cette vision à son confesseur, qui la prend au sérieux et approuve la mise sur pied du projet. Quelques milliers de médailles sont d’abord produites et remportent rapidement un grand succès. Lorsque ses visions cessent, Catherine est transférée au couvent d’Enghien, où elle est responsable de l’accueil et où elle passe le reste de sa vie (1806-1875) Pour en savoir un peu plus, le site de Franck GELPI propose notamment des photographies de la famille Labouré et de sa maison. Source de l’image : Catholic Forum St-Étienne le jeune Fils d’une famille chrétienne de Constantinople, dès l’âge de 15 ans il entre au monastère du Mont-Saint-Auxence, dont il est élu abbé en 744. Après plus de dix ans passés à la direction du monastère, il décide de se retirer comme ermite. En 761, il est exilé sur l’île de Preconnesus (aujourd’hui île de Marmara, en Turquie) pour avoir refusé de se joindre aux Iconoclastes, appuyés par l’empereur Constantin V. Trois ans plus tard, il est convoqué devant l’empereur, qui le soumet à un interrogatoire. Pour appuyer son argumentation, Étienne jette alors aux pieds de Constantin une pièce de monnaie à son effigie, puis la piétine violemment, tout en demandant à l’empereur s’il trouve normal qu’on fasse subir un tel traitement aux images pieuses. Cette démonstration lui vaut d’être immédiatement jeté en prison, où il demeure durant près d’un an avant d’être à nouveau entendu, mais sa volonté étant demeurée intacte, il est exécuté en même temps que les 300 autres moines qui avaient partagé sa captivité (714-764) Saint-Étienne le Jeune est le patron des collectionneurs de pièces de monnaie (numismates) et des fondeurs. St-Jacques Gangala (Surnommé De la marche) Fils de Ruffo et de Tona Gangala, un couple très modeste de Montebrandone (région des Marches d’Ancône, en Italie), il est baptisé sous le nom de Dominique. Après avoir effectué des études de droit, il occupe durant quelque temps la charge de juge, qu’il abandonne en 1416 pour entrer chez les Frères Mineurs Franciscains en adoptant le nom de Jacques. Il devient alors un des disciples de Saint-Bernardin de Sienne et se lie d’amitié avec Saint-Jean de Capistran. Après avoir été ordonné, en 1423, il obtient l’autorisation de combattre les hérésies en prêchant sur tout le territoire italien. À partir de 1431, cette autorisation est étendue à l’Europe centrale et Jacques se retrouve d’abord en Bosnie, avant d’être envoyé en Autriche et en Hongrie comme inquisiteur, avec juridiction sur toute la Bohème. En 1440, il est de retour en Italie, mais le pape l’envoie bientôt combattre les fraticelles en Ombrie, en Aquilée et dans le Marches. Après un bref séjour à Rome en 1450, il demande à retourner en Bosnie, mais il est retenu en Italie. En 1457, il effectue un nouveau séjour de courte durée en Hongrie, puis revient en Italie, où il est brièvement inquiété par l’inquisition Dominicaine en 1462. À la faveur d’une intervention de Rome, l’accusation est laissée sans suites et il poursuit inlassablement sa mission, prêchant chaque jour et s’astreignant à une discipline sévère. Lorsque sa santé commence à faiblir, le pape lui donne l’ordre de s’alimenter mieux, considérant que sa présence était nécessaire au bien public (1391-1476) St-Sosthène Supérieur de la synagogue de Corinthe, il est converti par lapôtre Saint-Paul, dont il devient le disciple. Il est ensuite nommé évêque de Colophon, ville située en Ionie (pointe occidentale de la Turquie actuelle) (Ier siècle)
Posted on: Wed, 27 Nov 2013 21:44:06 +0000

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