CHANGEMENT DE CAP : FRANCOIS HOLLANDE FAIT PAYER… LES PAUVRES - TopicsExpress



          

CHANGEMENT DE CAP : FRANCOIS HOLLANDE FAIT PAYER… LES PAUVRES ! Le matraquage fiscal a au moins un mérite : faire cesser le mensonge socialiste selon lequel la politique du gouvernement consiste à « faire payer les riches » ou, variante, « les plus aisés ». Nos ministres n’osent même plus affirmer que leur « réforme » est faite « dans la justice ». Le premier ministre, l’année dernière, en septembre 2012, en tirant la première salve d’impôts nouveaux, avait assuré que « à revenus constants, neuf contribuables sur dix ne seront pas touchés » par cette pression fiscale nouvelle, ajoutant : « Ces mesures nouvelles épargnent les classes moyennes et les classes populaires ». On voit ce qu’il en est aujourd’hui ! On ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde en même temps ! Les « petites gens » qui ont voté Hollande, à la fois pour se débarrasser de Sarkozy qui leur était devenu insupportable mais aussi dans l’espoir que leurs conditions de vie s’amélioreraient, n’ont plus que leurs yeux pour pleurer. N’avions-nous pas écrit que ces élections n’étaient que « la revanche des cigales sur les fourmis », ajoutant que les cigales ne seraient pas enrichies parce que les fourmis risquaient d’être ruinées ? Nous y sommes ! Le problème pour Hollande est que les « petites gens » serrent aussi les poings. Les socialistes redoutent de recueillir bientôt dans les urnes les raisins de cette juste colère, fruits de promesses mensongères. C’est le sauve-qui-peut chez les élus socialistes qui ne veulent pas sombrer en même temps que le… « pédalo » gouvernemental. Déjà deux maires ont démissionné du PS, en espérant que cet abandon leur vaudra la reconnaissance des électeurs et leur réélection. Et ce n’est qu’un début ! Rappelons que, faute d’indexation du barème de l’impôt sur l’inflation, près de 840.000 nouveaux foyers fiscaux sont devenus imposables en 2013. A l’évidence, ce ne sont pas « les plus favorisés ». Hollande avait pourtant promis le contraire, il allait défaire ce que le gouvernement Fillon avait fait puisque c’est lui, en effet, qui, l’année précédente et pour la première fois, n’avait pas actualisé le barème en fonction de l’inflation. Sur le papier des promesses du candidat socialiste, tout était simple et même simpliste. La dette ? Le déficit budgétaire ? La relance ? On fera payer les riches, notamment en imposant le capital comme les revenus salariaux. Le particulier pensait, naïvement sans doute, que cela ne concernerait que le « grand capital ». Comment aurait-il pu soupçonner, ne serait-ce qu’un instant, qu’Hollande et les technocrates de Bercy visaient aussi les plus-values virtuelles de son modeste Plan Epargne logement (PEL) lequel était, lui aussi, un capital qui devait passer à la moulinette fiscale avec effet rétrocactif à…1997. En les taxant à 15,5%, contre 3,9% en 1997. Un hold-up gouvernemental, un scandale juridique sans précédent sur la non-rétroactivité des lois. Quelle atteinte sans précédent au crédit de l’Etat ! Réabonnez-vous ... Le Bulletin d’André Noël Synthèse Hebdomadaire N° 2349 2 Abonnement : Un an : 90 € — Deux ans : 145 € — Six mois : 46 € — Trois mois (essai ) : 25 € Soutien un an : 160 € — Bienfaiteur un an : 190 € ou plus La mesure devait être effective depuis le 26 septembre, date de son annonce, l’effet de surprise étant destiné à piéger l’épargnant qui ne pourrait plus échapper à la tondeuse fiscale. Qu’on ne vienne donc pas lui parler de « pause fiscale » : ça tombe tous les jours comme à Gravelotte ! Après avoir ponctionné les revenus, le pouvoir allait piocher dans le bas de laine des Français. Sur France Info, le ministre délégué aux relations avec le parlement, Alain Vidalies, a vu – sans rire –dans cette mesure une « harmonisation » et une « simplification ». « On n’attaque pas l’épargne des Français », a-t-il contesté contre l’évidence, « c’est une mesure d’harmonisation. » Mais trop, c’est trop ! C’est ce que les députés socialistes, vertement interpellés par leurs électeurs dans leur circonscription, ont entendu dès l’annonce de la mesure. Ils ont fait le siège de Bernard Cazeneuve, à Bercy, dès vendredi pour qu’il y renonce. Le ministre demeurait inflexible tandis que Matignon songeait déjà à des «aménagements ». Puis, samedi après-midi, sur injonction d’Ayrault, Cazeneuve a dû mettre les pouces. Et faire machine arrière. D’où, dans la soirée, son interview au Journal du Dimanche annonçant l’abandon. Quel gâchis ! Quelle improvisation dans ce gouvernement de technocrates, de doctrinaires et d’amateurs ! Mais ce n’est que partie remise car le pouvoir est aux abois : il lui faut de l’argent. Ne doutons pas que se prépare déjà un autre guet-apens fiscal. Quel gâchis ! Quelle improvisation dans ce gouvernement de technocrates, de doctrinaires et d’amateurs ! Mais ce n’est que partie remise car le pouvoir est aux abois, il lui faut de l’argent. Ne doutons pas qu’il prépare déjà un autre guet-apens fiscal. Le 1er janvier 2014, la condition des gens les plus modestes va encore s’aggraver car, si tout le monde n’a pas un plan d’épargne-logement (il y en a tout de même 12 millions !), tout le monde paie la TVA. Le taux normal, qui concerne la majorité des biens et services, passera de 19,6 % à 20 %, ce qui doit rapporter 2,6 milliards €. Le taux intermédiaire, aujourd’hui à 7 %, et qui bénéficie à différents secteurs (logement social, travaux de rénovation, hôtellerie-restauration, transport de voyageurs…), passera à 10 %. Une baisse tout de même ! Les tickets de cinéma ! La TVA, qui devait passer de 7 à 10 %, sera ramenée in fine à… 5% grâce à la puissance d’intimidation du lobby des… cultureux. Le gouvernement considère curieusement qu’une place de cinéma est un produit de première nécessité, contrairement à un siège dans le train ! Mais les ouvriers, les employés, les chômeurs et autres personnes aux ressources modestes seront encore plus étonnés – si ce n’est scandalisés – de savoir à qui profiteront ces hausses de TVA. Sera-ce pour résorber le déficit budgétaire ? Réduire la dette ? Nullement, les six milliards € de recettes escomptés sont destinés à abonder le Crédit dimpôt pour la compétitivité et l’emploi (Cice) en faveur des entreprises. Lequel Cice, rappelons-le, est une usine à gaz visant une baisse de cotisations sociales, sous la forme d’une réduction de l’impôt à acquitter en 2014 au titre de l’exercice 2013. Autrement dit, on augmente les impôts et taxes des « pauvres » pour réduire l’impôt et les charges des « riches », car « riches » sont considérées les entreprises dans la mythologie socialiste. Certes, les sociétés françaises ont besoin d’être plus compétitives mais, pour y parvenir, il faut les libérer toutes du carcan réglementaire, administratif, environnemental et fiscal qui les paralyse, affrontant ainsi la concurrence internationale et européenne un boulet aux pieds. Et non pas en taxant les contribuables modestes pour les subventionner !
Posted on: Mon, 28 Oct 2013 18:33:01 +0000

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