Candidat face à Bédié / KKB, hier sur radio Nostalgie : - TopicsExpress



          

Candidat face à Bédié / KKB, hier sur radio Nostalgie : ‘‘Sous l’ère du Président Ouattara, personne ne peut menacer la vie son semblable’’ ===================================== L’émission «Une fois n’est pas coutume» de radio Nostalgie avait pour invité, le jeudi 1er août 2013, le président des jeunes du PDCI, Kouadio Konan Bertin. Une heure durant, KKB a évoqué les raisons de sa candidature en répondant aux questions de certains auditeurs, dont la plupart ont exprimé leur soutien au président de la JPDCI, rentré hier de Lakota où il a eu une rencontre avec les militants de son parti. «L’une des raisons du combat que nous avons entamé, c’est de dire que nul n’est infaillible, mais depuis 1990, il y a une succession de malheur qui s’abat sur le parti : coup d’Etat militaire, échec aux législatives, aux municipales, à la présidentielle. Ça fait beaucoup de choses à la fois. Ce que KKB demande, c’est qu’on marque un temps d’arrêt pour faire le bilan et chercher à comprendre pourquoi ces différents événements nous arrivent. Une fois qu’on a compris cela, on peut dégager les perspectives et le congrès est le cadre idéal pour le faire. J’ai mon idée, mais c’est une somme d’idées que nous devons mettre ensemble (…) Je ne sais plus pour quelle raison on doit continuer à chercher à savoir qui est derrière moi. Je suis candidat, je suis autonome, jaloux de ma liberté et j’assume mes actes. J’ai des amis et des électeurs derrière moi», a assuré le député de Port-Bouët, qui inscrit son action dans la ligne de celle de feu Félix Houphouët-Boigny. «J’essaie d’être un bon élève du père fondateur, Félix Houphouët-Boigny, mettre en pratique ses idées, ses méthodes et je prends des décisions dans l’intérêt général», a ajouté KKB. Interrogé sur des menaces éventuelles qu’il reçoit et sur des craintes pour sa sécurité, le président de la jeunesse du Pdci, qui avait échappé à une fronde et à une destitution il y a plusieurs mois, a révélé que les menaces au téléphone, les tentatives de lynchages et autres intimidations font partie des risques du métier et de la vie des hommes politiques. Toutefois il s’est dit serein en ces termes : « sous l’ère du Docteur Alassane Ouattara, personne ne peut menacer, ni attenter impunément à la vie de son semblable » O. Dion
Posted on: Fri, 02 Aug 2013 05:47:33 +0000

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