Caution 3 1°. Chaque individu dans la société est une chance d’accéder aux savoirs encore cachés, pour produire l’avoir qui intéresse les humains, « b°1 » sur chaque page ouverte dans un livre, le lecteur voyage dans le temps, il se renseigne à travers chaque lettre tracée par la plume, f1°’’ en accumulant du savoir, il se donne les ailes nécessaires pour survoler les obstacles qui jonchent le chemin du bonheur jusqu’à atteindre le firmament du mérite. 2°. Dans le silence du livre, la tradition orale peut se mettre à l’abri des altérations, qui appauvrissent les idées et les savoirs en transition vers les lecteurs du présent et du future, « b°1 » lorsque l’enfant appréhende le livre comme un moyen de son autonomie, ou comme étant un canal de communion avec les générations, il devient le réservoir des savoirs réactivés, qui font de lui une personne avertie au service de son monde. 3°. La bibliothèque est la maison où les génies déposent les indispensables savoirs pour éveiller, éduquer, et former les hommes de tous les temps, « b°1 » chaque livre propose aux lecteurs un zeste d’amélioration de sa personne ou des conditions de son existence. 4°. Le livre parle mieux à la conscience humaine, dans le sens du perfectionnement que vise la morale, mais il faut être dans les secrets de l’écriture et de la lecture à travers l’alphabétisation pour mieux en profiter. 5°. Le monde est une diversité d’émotion, que l’expérience gouverne non pas selon les appétits, mais selon les objectifs primordiaux que se sont fixés les hommes à chaque époque de leur existence, « b°1 » les humains font alors tout pour ne point trahir la mission de leur époque, en se fiant ou en se confiant aux livres, f1°’’ comme étant le cordon ombilical reliant les générations, servant à partager les savoirs, afin de nourrir d’une part les expériences, et d’autre part assurer les espérances. 6°. Chaque livre entrouvert est une promesse de victoire sur la vie, aux initiés de la lecture, tandis que chaque page lue est un pas dans la victoire sur l’ignorance et une avancée dans la marche vers la sagesse. 7°. Chaque personne qui ne sait ni lire ni écrire, devient un point de restriction dans le canal des échanges, en se comportant comme une mousse qui retient, et qui ne relâche que sous pression, « b°1 » l’alphabétisation provoque en chacun des alphabétisés, une générosité spirituelle qui lève les barrières de la discrétion et des économies de vérités utiles, f1°’’ chaque livre est une livraison de connaissances variées, qui délivrent les humains des élans de bêtes, pour qu’ils se livrent à la bonté
Posted on: Sat, 21 Sep 2013 16:36:43 +0000