Ce matin un frère nous à transmit ce qui suit. Un rappel qui nous à bouleversé par la sincérité de ses mots. À lire attentivement : c’est l’histoire des clés du repentir. Assalam ‘alaikum wa rahmatullah. je tenais à faire partager mon histoire car elle est pour moi assez particulière pour ne pas dire extraordinaire. Une histoire, remplie de sagesse et de Miséricorde. Tout commença dans une nuit un peu mystérieuse. Détendu, au téléphone, je roule avec mon véhicule en direction d’un grand centre commercial. Je vais en direction du parking pour aller au sous-terrain et enfin garer mon véhicule. Je sors, et marche toujours d’un air posé, parcourant l’enceinte d’un centre commercial animé par une foule « sans complexes ». J’y croise des salons de beautés, des cafés, des boulanger ou des bijoutiers. Musique se diluant dans le chahut de la foule. J’y croise aussi… un complément de femmes aux vêtements peu recommandés. Auquel parfois, il est difficile d’avoir un regard rigoureusement abaissé. J’y vois une femme sortant d’une bijouterie, à la tenue la plus aguichante. Les hommes s’arrêtent et la regardent, se déplaçant avec des mouvements aussi diabolique qu’un serpent. J’en suis choqué mais aussi éprouvé, par le regard perverti sur une femme presque dénudée. Alors je demande d’un air sans gravité, le pardon d’Allah, tout en me disant, que la provocation de ce genre est une pression psychologique, pour un homme qui cherche à entretenir sa foi. Je rentre donc dans un magasin pour y faire mes courses, j’y achète des choses qui m’ont été influencé par une société qui me pousse à l’insouciance. Déodorant, pizzas puis un gel douche bien parfumé… J’arrive à la caisse avant de passer par un autre Check-point de femmes que j’essaye de respecter. Mes yeux seront de nouveau éprouvés, par la perversité de ces femmes dénudées. Il y en aura pour tous les goûts, un mix diabolique, aux jupes les plus coupés, essayant timidement de baisser le regard en m’efforçant de me rappeler que mes yeux seront interrogé, Allah le Miséricordieux décidera donc de m’éprouver… J’arrive à la caisse dans une file d’attente, attendant patiemment que deux femmes négocient au caissier le prix de bouteilles de champagnes. Mes courses passent à la caisse, je paye sortant mes billets, oubliant que c’est Allah qui me les a donnés. Je remercie le caissier et je sors de cet endroit, qui fût une épreuve pour ma foi. Une épreuve auquel je m’étais habitué. Je retourne en direction de mon véhicule, qui m’a été prêté, dans le parking sous terrain, cherchant mes clés dans la poche droite, je me dit qu’elle se cachent… Je commence donc à m’affoler pour me dire : ce n’est pas possible où sont elles passés ? d’un air agité, affolé, je cherche dans ma poche gauche, arrière puis dans ma veste. Oui, Allah ta enlevé tes clés ! Certains pieux prédécesseur disaient : « lorsque tu fais des péchés, ça se ressent sur ton épouse ou sur ta monture ! » j’avais donc compris qu’Allah m’avait puni. Alors je fonce rapidement en direction du caissier, lui demandant s’il n’aurait pas vu une paire de clés, il me répond à mon grand désespoir que : sincèrement il n’a pas vu de clés. Je rentre dans l’enceinte du centre commercial et je refais mon parcours tout en demandant le pardon d’Allah. Alors là dans ma tête plein de chose défilent : c’est bienfait pour toi tu as franchis les limites de ton Seigneur, tu as été un observateur… Je ne cesse de répéter d’un air abattu :Allah, tu es Miséricordieux, j’ai été injuste, je te demande pardon pour tous ces péchés. Je cherche dans le rayon produits congelés et agitant les sachets de frites partout, passant par le rayon des pizzas je n’y trouve rien. je m’agite dans le magasin, me disant qu’il me reste peu de temps avant qu’une personne ne les prennes. J’y vois un frère faisant sagement ses courses, sur lequel j’avais médis par colère… je comprends mieux alors qu’Allah m’expose les faits de mes péchés. Je demande le pardon d’Allah et je ne cesse de le répéter en l’invoquant par ces plus beaux attributs : Ô Allah tu es le capable, j’ai été injuste et je reconnais mes péchés, tu es Miséricordieux et ta décision est une sagesse… Désespéré je calme mon pas… D’un air dépité, désespéré, je tente un dernier coup de chance en demandant si l’accueil peut passer une annonce pour mes clés perdues. Réponse ? d’un air agacé la dame me dit : pour des paires de clés nous ne pouvons pas passer d’annonce. Alors je marche, oubliant mes promesses de baisser le regard, je vois au loin cette femme qui a souillé le coeur d’un modeste croyant. D’un air ferme mon âme jure de ne plus la regarder ! je tourne ma tête et baisse les yeux, continuant désespérément ma marche vers mon véhicule, je me retrouve faible, les hommes ne peuvent pas m’aider, Allah a décidé que je sois sans téléphone pour appeler. Je me dis alors : Mais Allah est t’il vraiment content du repentir de son serviteur comme celui qui a perdu sa monture et la retrouve ( hadith sahih) ? je suis fasse à la porte dans un parking vide… je me dis : ça serait trop beau que la porte s’ouvre. Je glisse ma main dans la poignée en mentionnant le nom d’Allah, me rappelant ce pacte du repentir. Allah le Miséricordieux m’ouvre la porte de mon véhicule pour que je puisse retrouver mes clés sur le contact. Les clés du repentir et la sagesse d’Allah… je me prosterne par terre en remerciant sincèrement Allah. Je remonte dans le véhicule que l’on ma prêté, ma monture qu’Allah ma redonné. je fonds en larmes : Allah, tu es le plus Miséricordieux des miséricordieux, je jure par Allah de combattre mon âme ! Je suis touché parce qu’Allah ma poussé au repentir, me faisant défiler mes péchés, qui j’espère, seront pardonnés. Pas par la mort d’un proche, ou de quelque chose qui ne peut changer, mais une épreuve paraissant insignifiante, mais tellement intense. j’essuie mes larmes me disant : j’espère que ces larmes te serviront de protection contre le feu. Alors mon frère, modestement, si tu es toi aussi du nombre des éprouvés. Apprends que la foi véritable ne peux pas pénétrer ton coeur, tant que tu ne te seras pas débarrassé des interdits. Ils sont des obstacles ou des flèches que sheytan utilise, pour pouvoir durcir ton coeur au Rappel. Des flèches qui te pousseront toujours à dépasser plus de limites. Alors ne te crois pas à l’abris et ne te dis jamais que c’est juste quelques regards qui seront pardonnés ! Le jour où les anges tremblerons tous les yeux pleurerons sauf celui qui préserve son regard. Oui frère, tu es peut être du nombre des éprouvés, mais fais au moins honneur face à ses femmes qui ont oublié le sens de la pudeur. Si elles ne se respectent pas, rappel toi qu’Allah t’ordonne de les respecter, en baissant le regard et en t ‘éloignant de la turpitude. Je t’invites donc à te repentir car quoi que tu fasse, Allah est très Miséricordieux, plus miséricordieux que la mère envers son fils. Ceci n’est qu’un rappel pour celui qui craint, que son oeil témoigne le jour du rassemblement. je demande à Allah de nous préserver de la fornication du regard, de l’insouciance, de préserver nos soeurs et de préserver leur habit de valeur ( Jilbab ) ou leurs couronnes ( Niqab ). De faire comprendre à celle qui ne le porte pas, l’impact sur la société et sur la foi de leurs frères. Qu’Allah fasse que notre mort ne se termine pas sur le péché.. Un frère parmi tant d’autres. Merci à BarakaCity de faire partager un petit bout de ma vie, une histoire qui j’espère servira de leçon et d’enseignements.
Posted on: Sun, 24 Nov 2013 10:44:23 +0000
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