Cest Mitterrand et le PS qui ont financé le Front National ! Plus - TopicsExpress



          

Cest Mitterrand et le PS qui ont financé le Front National ! Plus de 5 millions de francs en 1983 ! le conseiller du président, François de Grossouvre (...) dit : « De toute façon, ce nest pas perdu pour tout le monde, la commission, on va la filer à Le Pen. On va financer le Front national. » Et il raconte tranquillement ce quont imaginé les socialistes pour lancer Jean-Marie Le Pen. » revolisationactu.blogspot.fr/2013/10/cest-mitterrand-et-le-ps-qui-ont.html En Tunisie, le parti socialofasciste de Ben Ali, le RCD assumait publiquement et en même temps les tâches du PS et celles du Front National. Rabatteur de la formoisie arriviste et outil fasciste. En France, il y avait deux vitrines différentes. En tout cas à lintérieur des frontières de la France (Le PS en Afrique a toujours été un parti socialofasciste soutien des dictatures franceàfric et organisateur du crime esclavagiste des salaires à 1/20° du SMIC.) Mais ces deux vitrines - PS et FN - François Mitterrand les gérait en même temps. MITTERRAND VERITABLE CHEF DES DEUX AGENCES FASCISTES PS-FN en France Mitterrand utilisait pour surveiller et protéger sa maîtresse Bernard de Courcelle, chef du service dordre de Le Pen. (Dans Noir Silence François Xavier Verschave fit cette révélation) Mitterrand imposa, en juin 1983, aux radio-télévisions de tendre le micro à Le Pen. Mitterrand modifia la loi électorale pour permettre au Front National davoir des députés en 1986. Pendant ce temps, il amusait la galerie avec son complice Julien Dray, lui-même marionnettiste de Harlem Désir et rabatteur de la jeunesse naïve et.... anti-fasciste Ce quon ignorait encore - bien quon le soupçonnait - cétait le financement direct du Front National par le chef des socialofascistes. Ce financement, on vient de commencer à entendre les premières preuves. Il a fallu trente ans pour que les aveux de lassassiné de lElysée - Grossouvre - parviennent au public. Le 7 avril 1994, peu avant 20 h, son garde du corps, un gendarme du GIGN, le retrouve mort, dune balle dans la tête, dans son bureau du palais de lÉlysée, situé au premier étage de laile Ouest. On peut comprendre que dans un milieu de criminel, lomerta ait duré aussi longtemps. Cest Didier Schuller qui témoigne dans French Corruption, le livre récent des journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme. CETAIT AU MOINS 5 MILLIONS DE FRANCS En 1983, à Beyrouth, Didier Schuller est le témoin dune scène étonnante, lors dun dîner organisé à lambassade de France. Outre lambassadeur, un ami de Mitterrand, il y avait le patron de la DAEI, René Loubert, le conseiller du président, François de Grossouvre, et moi. Le dîner est très arrosé et Grossouvre, qui était en pleine forme, balance au milieu du repas quil vient de refourguer des chars Patton, du matériel réformé de lArmée française, aux Phalanges libanaises. Et dun seul coup, il dit : « De toute façon, ce nest pas perdu pour tout le monde, la commission, on va la filer à Le Pen. On va financer le Front national. » Et il raconte tranquillement ce quont imaginé les socialistes pour lancer Jean-Marie Le Pen. » Quelques mois plus tard, le leader dextrême-droite va obtenir 10;95% des voix aux élections européennes, provoquant à travers l’Hexagone un choc dans lopinion. « Je ne me rappelle pas du montant exact de la commission, mais cétait au moins 5 millions de francs. Jignore sil sagissait dune vente darmes officielle ou pas. (extrait de French Corruption par Gérard Davet et Fabrice Lhomme.) Il faut préciser ici que Grossouvre, celui que Mitterrand fera suicider en 1994 pour lempêcher de dénoncer lorganisation du génocide par le chef socialofasciste, est lancien chef du réseau Gladio en France. À la Libération, il sera établi quil était infiltré au SOL en tant quagent de lORA. Sous le nom de code de « Monsieur Leduc », il devient le chef du réseau stay-behind « Arc-en-ciel », installé par lOTAN en France, dans le cadre de lopération Gladio. Ce réseau français est le jumeau du réseau qui organisa tous les attentats fascistes en Italie à la même époque. Les explosifs de la Piazza Fontana (Banque de lAgriculture) provenait des stocks Gladio italien. Grossouvre nest pas un agent de liaison vers lextrême-droite. Il en est un membre. Le Gladio est un réseau fasciste ! : Gladio (« Glaive » en italien) désigne le réseau italien des stay-behind, une structure créée dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour parer à une menace dinvasion soviétique. On désigne couramment par ce nom lensemble des armées secrètes européennes, dont lexistence a été révélée publiquement le 24 octobre 1990par le Premier ministre italien Giulio Andreotti. Gladio a été mis en place sous légide de la CIA et du MI6, comme structure de lOTAN répondant directement au SHAPE. Cette structure avait comme fonction de « rester derrière » en cas dinvasion soviétique, afin de mener une guerre de partisans. Dans cet objectif, des caches darmes étaient disposées un peu partout. Ces réseaux fonctionnaient le plus souvent sans que les gouvernements nationaux en aient connaissance1. Pour plusieurs auteurs, Gladio est impliqué dans différentes actions violentes des années de plomb italiennes2,3, mais lampleur de son implication faisait encore en 2005 lobjet de débats. La nature secrète des activités de lorganisation, et le fait que les archives de lOTAN ne sont pas accessibles aux chercheurs, font du réseau un sujet controversé. Lidée selon laquelle, sous la direction de la CIA, Gladio aurait tenté dinfluencer la politique italienne, est soutenue par des historiens4 et des journalistes5,6,7. Il faut lire les propos de Grossouvre - ce qui suit - en intégrant ces données : En tout cas, de Grossouvre était à Beyrouth pour ça, pour cette vente. Il venait rencontrer Amine Gemayel, qui était à la fois président de la république et patron des Phalanges. Ça mavait profondément choqué. Je me suis engueulé avec Loubert à cause de ça. Quand jai vu le résultat des élections en juin 1984, jétais à Paris, je suis monté dans le bureau de Loubert, et je lui ai dit ; « Eh bien, bravo les mecs ! Brillant ! » Et il ma répondu en riant : « Ah ah ah ! Écoutez, on nallait pas se faire prier. Vous la droite, vous nous avez fait chier pendant vingt-cinq ans en expliquant que si on votait pour nous, on votait pour les communistes, eh bien maintenant, on va vous renvoyer lascenseur. Amusez-vous avec le Front national aux élections. » » Convié à réagir à ces déclarations, Jean-Marie Le Pen na pas donné suite à nos sollicitations. René Loubert est décédé, tout comme lancien ambassadeur au Liban, Paul-Marc Henry. Charles Pasqua, de son côté, juge lanecdote rapportée par Didier Schuller « tout à fait crédible ». « Il est probable que François Mitterrand (p. 98) ait donné financièrement un coup de main de FN. Avec les fonds secrets, cétait très facile. Mitterrand a incontestablement une grande responsabilité dans lémergence du Front national. » « Ce qui est intéressant aussi, conclut Schuller, cest que Grossouvre, avant de se « suicider », passait ses journées avec le journaliste Jean Montaldo, qui est loin de représenter lextrême-gauche ! Grossouvre faisait le lien entre Mitterrand et lextrême-droite. Cest grâce à ça que, selon moi, Mitterrand a tenu le coup et a pu rester quatorze ans au pouvoir. » (extrait de French Corruption par Gérard Davet et Fabrice Lhomme.) Les naïfs qui ne comprennent pas que Hollande et Valls continuent la politique de Sarkozy en prenant prétexte de ne pas faire grossir le Front national nont rien compris. Les 5 principaux partis colonialistes sont 5 agences fascistes qui perpétuent lesclavage à 50 euros par mois des Africains. Si des juges voyous ont condamné lauteur de ces lignes à payer 310000 euros pour un délit de presse politique (dénoncer le putsch contre le président Gbagbo) en atteinte à la vie privée dun barbouze ONUCI cest parce que le pouvoir FASCISTE HOLLANDE-VALLS leur a donné le feu vert ! Pour organiser le crime esclavagiste il faut maintenant importer en France le fascisme anti-africain. Cest à cela que servent les persécutions racistes contre les Roms. Rien na changé ! LIRE AUSSI WIKIPEDIA Le 7 avril 1994, peu avant 20 h, son garde du corps, un gendarme du GIGN, le retrouve mort, dune balle dans la tête, dans son bureau du palais de lÉlysée, situé au premier étage de laile Ouest. La version de lassassinat [ modifier | modifier le code ] Le pamphlétaire Jean Montaldo, dans la presse, puis dans son livre Mitterrand et les 40 voleurs, et le capitaine Paul Barril tenteront daccréditer lidée dun assassinat de François de Grossouvre. Dans son livre Guerres secrètes à lÉlysée (qui lui valut dêtre condamné le 27 mai 1997 par le tribunal correctionnel de Paris parce quil diffamait Gilles Ménage, ex-directeur adjoint de cabinet du président François Mitterrand, et Michel Charasse), Paul Barril suggère la thèse de lassassinat. Des éléments précis étayent cette version : labsence denquête sérieuse, notamment auprès des personnes présentes ce soir-là à lÉlysée ; la disparition de la totalité de ses notes au Président de la République, de nombreuses autres archives et surtout du manuscrit de « souvenirs » que François de Grossouvre rédigeait ; la luxation de lépaule gauche de la victime, découverte lors de lautopsie, qui pourrait être due au fait quil aurait été maintenu de force sur son fauteuil lors du « suicide » ; le bruit de la détonation de larme qui na pas été entendu : il aurait pu être masqué pour éviter que le garde du corps, demeurant à proximité, nintervienne trop vite ; la dégradation continue des relations entre la victime et François Mitterrand rapportée par des familiers ; des remarques de François de Grossouvre vers la fin de sa vie affirmant quil se sentait menacé : « ils vont me tuer... » ; les suicides en série : Pierre Bérégovoy, le capitaine Pierre-Yves Guézou11. Plusieurs des enfants de François de Grossouvre ayant commencé des recherches sur la mort de leur père, ont reçu des menaces anonymes et deux ont même été mis en garde directement par François Mitterrand qui les a, peu après la mort de leur père, en avril 1994, découragés dentreprendre des « recherches inutiles ». Les derniers mois de sa vie, François de Grossouvre invitait régulièrement des journalistes pour leur faire des confidences sur les dérives du pouvoir mitterrandien, et il rédigeait des mémoires. Selon Frédéric Laurent, Dominique Venner et François dOrcival, après avoir quitté ses fonctions officielles en 1985, il continuait à être chargé par le président de la République française de missions de diplomatie parallèle dans des pays sensibles (Golfe, Maroc, Liban, deux Corée, Pakistan) et continuait aussi à être un personnage clé du système Stay-behind, et cela jusquà la fin de sa vie. Selon Jean Lacouture, Pierre Favier et Michel Martin-Roland, François de Grossouvre noccupait plus aucune fonction, et navait dailleurs joué quun rôle marginal entre 1981 et 1985 alors que François de Grossouvre a joué un rôle important de coordination des services de renseignements et de missions de diplomatie secrètes confiées par François Mitterrand. François de Grossouvre était jusquà la fin de sa vie officiellement président du comité des chasses présidentielles où étaient régulièrement invités des chefs dÉtats, des diplomates, et des responsables gouvernementaux. Un autre mobile évoqué un temps a été sa connaissance supposée des relations entre la France et de nombreux pays africains, particulièrement le Rwanda, en raison de la coïncidence de sa mort (le lendemain) avec lattentat du 6 avril 1994 contre le président rwandais. La journaliste Colette Braeckman, spécialiste des affaires africaines du journal Le Soirde Bruxelles (qui a soutenu que la France pourrait être mêlée à lattentat), affirme que lune des dernières paroles de Grossouvre aurait été « Les cons, ils nont pas fait ça ». Le rapport sur le génocide au Rwanda, Aucun témoin ne doit survivre, réalisé conjointement par La Fédération internationale des droits de lhomme et Human Rights Watch (dont la branche africaine est qualifiée par Filip Reyntjens, Bernard Lugan etPierre Péan dofficine FPR), évoque dès 1998 dans sa version anglaise, le rôle de François de Grossouvre à deux reprises, et souligne cette coïncidence de dates. De mars 2004 à 2011 la version de lenquête du juge Jean-Louis Bruguière, celle du journaliste Pierre Péan et celle de lancien lieutenant de la branche armée du FPR A. J. Ruzibiza concluaient que cest le FPR qui aurait commandité cet assassinat. Depuis 2012, lenquête approfondie par le juge Marc Trévidic, successeur du juge Bruguière, après notamment son déplacement à la tête dune équipe denquêteurs au Rwanda et une enquête balistique, a remis en cause cette version française en désignant le camp militaire des Forces armées rwandaises, soutenues par la France, comme lieu de tir le plus probable. Des questions sur une implication française ont également été relancée à partir dun faux certificat de genre de mort dorigine militaire de deux gendarmes français au Rwanda juste après lattentat et dune perquisition effectuée au domicile dePaul Barril dans le cadre de lenquête française12. Le journaliste Éric Reynaud, dans Suicide dÉtat à lÉlysée, la mort incroyable de François de Grossouvre (sorti le 12 mars 2009), est convaincu que François de Grossouvre a été assassiné. Sur Mediapart CEST MITTERRAND ET LE PS QUI ONT FINANCÉ LE FRONT NATIONAL ! PLUS DE 5 MILLIONS DE FRANCS EN 1983 ! 30 OCTOBRE 2013 | PAR YANICK TOUTAIN le conseiller du président, François de Grossouvre (...) dit : « De toute façon, ce nest pas perdu pour tout le monde, la commission, on va la filer à Le PUBLIÉ PAR YANICK TOUTAIN À 10/30/2013 11:47:00 AM LIBELLÉS : BERNARD COURCELLE, FASCISME, FRANÇOIS MITTERRAND, FRONT NATIONAL, GLADIO, JEAN-MARIE LE PEN, PARTI SOCIALISTE, YANICK TOUTAIN, ZINE EL-ABIDINE BEN ALI revolisationactu.blogspot.fr/2013/10/cest-mitterrand-et-le-ps-qui-ont.html
Posted on: Thu, 31 Oct 2013 10:37:50 +0000

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