Cette formation à l’intention des ouvriers agricoles formés à l’EPAB, apprend-on du quotidien gouvernemental Cameroon Tribune, porte sur l’agriculture familiale et l’utilisation de résidus pour la production de biofertilisants. «Les jeunes doivent être formés pour éviter l’exode rurale. Depuis quelques années au Brésil, les jeunes quittent les villes pour les villages. Nous voulons partager cette expérience avec le Cameroun, pays avec lequel nous avons les mêmes types de climat et de sol», a confié au journal à capitaux publics, Cinira Fernandes, l’un des formateurs brésiliens. L’EPAB, qui forme une centaine de jeunes aux techniques agricoles et d’élevage dispose de 118 ha de terrain extensibles, sur lesquels le maïs est cultivé sur 25 ha, le bananier plantain sur 10 ha, des arbres fruitiers sur 6 ha. 35 000 poulets de chair sont également élevés par cette école de formation, qui s’essaye aussi dans la production du riz pluvial.
Posted on: Thu, 26 Sep 2013 16:42:42 +0000
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