Cette élection, aussi fragile soit-elle, est aussi une bonne nouvelle pour la France et ses alliés africains qui étaient intervenus militairement en janvier pour stopper l’avancée des islamistes en direction de la capitale. Même si l’on peut regretter la solitude française dans sa décision d’engagement et l’incapacité des États africains à protéger seuls la stabilité régionale, l’intervention trouvera sa pleine justification si la concorde et la démocratie s’installent durablement. En se rendant à l’investiture du nouveau président, en septembre, François Hollande ne manquera pas d’en goûter le bénéfice.
Posted on: Tue, 13 Aug 2013 17:01:25 +0000