Cher amis, Révérence parler, c’est peut-être là un discours qui rejoint celui de Winston Churchill qui, seul contre tous, sans l’Europe continentale et sans le soutien américain, posa, dès avant Juin 1940 les bases d’une position de principe qui était encore loin de faire l’unanimité en Angleterre même ! C’est d’Angleterre – et oui ! – que la parole du courage identitaire se fait solennellement entendre une nouvelle fois. Il s’agit désormais d’une résistance de survie pure et simple avec cette composante nouvelle qu’une colonisation de peuplement agressive et radicale se retrouve massivement entre les murs mêmes de la maison Europe, du Cap Nord à Algésiras, de Beyrouth aux Iles Féroé, de l’Irlande aux extrémités de la Russie. Ce discours est sans doute historique car il pose les bases d’une riposte fondamentale aux forces d’Occupation en mettant formellement en cause les Collaborateurs de cette Occupation. Cette désignation permet à cet Anglais de désigner nommément le Cheval de Troie par lequel le Remplacement de la Population européenne s’opère et cette arme de destruction massive s’appelle le Racisme. Ou l’antiracisme. De sorte qu’il met en lumière ce fait extraordinaire que les peuples d’Europe qui accueillent des millions de migrants musulmans, offensifs et sans vergogne, programmateurs ici des mêmes châtiments qu’ils s’infligent chez eux, se retrouvent frappés de la damnation éternelle du crime de racisme s’il leur vient seulement l’idée de songer à réclamer pour eux-mêmes un Ghandi, un Ben Bella, un Ho Chi Minh, un Bourguiba, un Makarios, un Mohamed V ... L’Anglais n’insiste pas suffisamment sur les conséquences judiciaires gravissimes qu’endossent les responsables de l’Occupation musulmane, dans leurs biens et dans leur existence elle-même, dans la mesure où ils prennent la responsabilité de pénaliser la Résistance organisée de toute l’Europe à nouveau coalisée pour sa survie - avec un Londres qui installerait demain ses bases en Russie peut-être ? – et dans la mesure honteuse et piteusement prudente où ces politiciens de l’Invasion ont dépénalisé la trahison et abrogé la peine de mort contre les criminels. Notre Résistance est désormais urgente parce qu’elle est vitale. Sa légitimité ne peut s’établir que sur un acte d’accusation semblable à celui que les Résistances européennes réunies à Londres à partir de 1940 dressèrent contre les camps résolument décidés à accepter la tutelle nazie. Et la justice passa partout où les nations recouvrèrent leur identité, leur indépendance et leur liberté. Michel Carage, Compagnon de la Libération, écrivait dans Le Figaro, en 1998, que la situation était beaucoup plus dramatique – voici donc 16 ans ! – qu’en 1792, 1914 et 1940 ! Paroles d’orfèvre. Avec toute ma sympathie. VITUS
Posted on: Fri, 29 Nov 2013 08:04:03 +0000
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