Comme d’habitude, les socialistes font oeuvre de totalitarisme. Ils n’admettent pas la contradiction et donc l’opposition. Ceux qui n’ont pas les mêmes idées qu’eux sont taxés de fascisme et sont montrés du doigt comme de dangereux liberticides et comme des intolérants. La preuve en est : Un jeune militant de la manif pour tous écope de deux mois fermes pour avoir refusé de donner son ADN; alors que nous savons tous que les jeunes de son âge qui commettent des actes d’agression envers les personnes ne subissent pas de telle peine et que la justice se montre bienveillante à leur égard. Désormais il n’est pas envisageable de venir manifester son mécontentement lors du passage du Président de la République sans être immédiatement entouré d’une horde de CRS. Les grands communicants de l’Elysée se demandent comment gérer le défilé du 14 juillet ! C’est simple : ne laissez passer que les militants du PS ; et encore ! probablement que des sympathisants du FN se cachent parmi eux ; puisque c’est maintenant avéré les nouveaux électeurs du FN se recrutent au sein du PS et du front de gauche alors que les socialistes essayaient de nous faire croire qu’ils sont issus de nos rangs. François Hollande que tout le monde prenait pour « simplet » a en fait montré son vrai visage, celui d’une bête de parti qui est arrivé là où il est grâce à sa méthode largement usitée pendant des années dans les antichambres et les couloirs du PS : l’élimination des opposants. Et c’est cette même méthode qu’il utilise désormais à sa place de Président de la République : dézinguer les opposants pour se faire réélire plutôt que de mettre en oeuvre des réformes courageuses qui s’avèrent nécessaires. Entouré de sa garde rapprochée, la fameuse promotion Voltaire, et aidé par les médias complaisants, il dénonce les millions de Français opposé au mariage pour tous comme appuyés par groupes d’extrême droite et les accuse d’actes d’homophobie. Il vient de faire révoquer la seule ministre écolo qui osait lui tenir tête. Mais il sait que son plus grand ennemi est Nicolas Sarkozy ; il sait que malgré l’attitude de l’ancien Président qui a souvent agacé les Français, ceux-ci reconnaissent qu’il était un Président courageux et tenace et qui savait tenir le cap au moment où le pays faisait face à des épreuves difficiles (comme la terrible crise financière de 2008). Donc en bon adepte du totalitarisme François Hollande a décidé de lancer ses magistrats tels des pit-bulls à l’encontre de Nicolas Sarkozy : Affaire Bettencourt, affaire des comptes de campagne de Balladur, affaire Tapie et désormais le rejet des comptes de campagne. François Hollande sait que Sarkozy est un danger pour lui. Il se dit qu’en l’éliminant et si possible en éliminant l’UMP, seule vrai parti d’opposition, il aura une chance de vaincre le FN à la présidentielle. Le Conseil Constitutionnel est en fait un comité où les personnes présentes peuvent prendre toute décision que bon leur semble puisque leurs décisions sont sans recours ! Et qui avons nous au Conseil Constitutionnel ? outre Giscard et Debré (ce dernier étant le président du Conseil Constitutionnel) qui ne portent pas Sarkozy dans leur coeur, les autres sont désignés par le Président socialiste et les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat (eux aussi socialistes !). Donc on a conseil constitutionnel composé de socialistes et d’ennemis de Nicolas Sarkozy dont les décisions sont sans recours. Staline n’aurait pas fait mieux ! Ils ont décidé selon leur propre interprétation que le meeting de Toulon devait être imputé aux comptes de campagne du candidat (soit 400 000 Euros) et que de ce fait les comptes de campagne avaient dépassé le seuil requis ; du coup ils prononcent leur sanction : un rejet total des comptes soit une ardoise de 11 000 000 Euros. Voilà un règlement de compte au niveau national et constitutionnel ! et que disent les médias : rien ! En fait l’UMP est déjà lourdement endetté et cette somme supplémentaire pourrait bien mettre le parti à genoux. Déjà il est envisagé de ne plus faire de manifestations ou de conventions à l’extérieur du siège social, donc de réduire sa possibilité de diffuser ses idées et de recruter des militants. Même si le parti ne tombe pas en faillite il n’a plus les moyens de ses ambitions, qui sont les nôtres ! Ne nous laissons pas museler par les socialistes, ne les laissons pas décider de qui doit être notre leader, faisons barrage au totalitarisme en aidant notre parti et ses dirigeants à combattre les socialistes : faisons un don au parti. Allez sur le site de l’UMP et souscrivez à un don ; c’est ce qu’on appelle l’effort de guerre !
Posted on: Tue, 09 Jul 2013 13:23:27 +0000
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