DECLARATION Où va AKBOU ? Le RCD d’Akbou s’indigne du degré de déliquescence atteint, dans la gestion des affaires courantes de notre commune, au vu et au su de l’administration et des pouvoirs publics restés muets durant toutes ces longues années. Il invite les élus de l’exécutif à un exercice de conscience élevé et à privilégier l’intérêt général bien compris, loin de toute considération personnelle et mesquine ; et exhorte de ce fait les élus de l’opposition à honorer, autant que faire se peut, leur engagement pour une gestion transparente et solidaire des affaires de la Cité. En effet depuis 1997 à nos jours, il y a bien des élus qui ont vu leurs premières rides au siège de l’APC. Cette longévité et cette stabilité additionnées à l’aisance financière dont jouit notre collectivité, au lieu de constituer un facteur de constance dans l’effort de développement, a laminé tout espoir de voir s’améliorer les conditions de vie des citoyens. Aujourd’hui, les Akbouciennes et Akbouciens constatent, la mort dans l’âme, et après tant d’années sacrifiées sur l’autel du ballotement d’humeurs de l’actuel P/APC, l’étendue des dégâts causés par une approche de gestion archaïque caractérisée par : - L’absence d’une évaluation-bilan objective de la période allant de 1997 a nos jours que seul le P/APC en exercice est habilité à dresser. - L’incapacité de mettre en œuvre une feuille de route pour sortir Akbou de la situation de retard dans la réalisation des opérations inscrites depuis l’exercice 2008, voire 2007, car un tel travail ne saurait être réalisé sans compétences, volonté de se surpasser et dévouement sans faille à la chose publique, trois impératifs contre lesquels l’exécutif actuel est soigneusement immunisé. - La paralysie dans le lancement des nouveaux projets, tels le dédoublement de la RN26, la nouvelle gare routière, les différentes pistes et routes, salles de sports, les nouvelles salles de classes et cantines scolaires ; et le manque de vue pour les défis de la gestion des déchets ménagers et le cimetière communal, essentiellement dus à l’anarchie totale dans le fonctionnement des services de l’APC, le chevauchement de prérogatives ainsi que l’absence d’un secrétaire générale et ce, en dépit de la mise en place d’un organigramme. - L’absence d’une prise en charge effective des doléances des citoyens se traduisant par des réactions de protestation populaire, à savoir la fermeture du siège de l’APC par les citoyens du village « Colonel Amirouche » (Ex-Riquet), les sinistrés du quartier Sidi-Ali et les transporteurs ; la fermeture de la RN26 par les citoyens de la cité GMS à plusieurs reprises. L’espoir mort-né le lendemain de l’élection municipale de novembre 2012, n’a fait qu’assombrir davantage les horizons du devenir de notre collectivité, en effet et à l’inverse de toute attente, des tractations sournoises ont propulsé une alliance contre nature aux commandes. Une coalition d’hommes « fatigués » que plus rien au monde ne peut unir, si ce n’est les intérêts étroitement personnels. C’était le prélude d’un nouvel épisode de la série kafkaïenne « où va Akbou ? ». Force est de constater qu’en l’espace de huit mois de ce mariage contre nature et à quelque jours de la rentrée sociale, des conflits personnels éclatent au grand jour, et de graves accusations entre les membres de la même liste sont portés sur la place publique, donnant froid au dos à tout un chacun, provoquant ainsi une insoutenable hantise de revivre les mêmes scènes de blocage dont seul le citoyen continue de payer les frais. En raison de toutes ces considérations, le RCD lance un appel pressant à la société civile et en particulier la majorité silencieuse, à réagir et se prendre en main en s’impliquant activement dans la vie politique de notre commune d’AKBOU car le devenir de nos enfants risque à jamais d’être compromis. La section RCD d’AKBOU. Akbou le : 24/08/2013
Posted on: Sat, 24 Aug 2013 21:45:55 +0000
Recently Viewed Topics
© 2015