DOSSIER ESPAGNOL À BAS LES RÉFORMES CAPITALISTES DU DROIT DU - TopicsExpress



          

DOSSIER ESPAGNOL À BAS LES RÉFORMES CAPITALISTES DU DROIT DU TRAVAIL ET ANTIRETRAITE DE M. ZAPATERO APPUYÉS PAR M. RAJOY ! Dans cette grande lutte qui s’ouvre, la présence de notre partie du coté des prolétaires est d’une importance historique pour la victoire des masses et de la révolution espagnole qui monte. D’autant qu’on assiste à une relance de la xénophobie antiespagnole et du racisme par l’Europe capitaliste et vaticane aux bottes de l’impérialisme yankee. Dans tous les pays du nord de l’Europe (France, Allemagne, Angleterre et Scandinavie), les requins de la bourse, de la banque, du patronat et de la hiérarchie catholique rangent l’Espagne dans les PIGS (Portugal, Irlande, Grèce et Spain) qui veut dire en anglais : cochons ou porcs. Alors que ce sont eux, et surtout les yankees de Wall Street et les subprimes, qui sont responsables de la crise économique actuelle qui est l’expression de la crise finale du capitalisme, ils rejettent avec mépris et cynisme toutes leurs responsabilités sur les espagnols surnommés PIGS. Tout leur est prétexte pour accuser les espagnols. Ils vivent trop bien, au-dessus de leurs moyens et ne font aucun effort. Ils ne pensent qu’à faire la fête, qu’à aller aux corridas ou aux matchs de football. Ils sont cigales alors qu’ils devaient être fourmis. Ils devraient être moins payés, travailler plus et plus longtemps. Bref, ils sont accusés de ne pas se sacrifier pour les intérêts et la plus-value des capitalistes. C’est le même type d’accusation que formulèrent les négriers sudistes yankees pour justifier l’esclavage. La campagne xénophobe antiespagnole puise ses racines dans la croisade raciste menée par l’impérialisme yankee et M. Obabush avec ses guerres colonialistes en Irak, Afghanistan et Pakistan. De la même façon que l’Etat monarchiste-franquiste s’engage dans une politique de destruction sociale, il envoie des soldats espagnols en Afghanistan, auxiliaires des yankees. Il participe de la montée en Europe et dans le monde, de la xénophobie et du racisme. On ne peut combattre les réformes capitalistes de destruction sociale que si on combat aussi la guerre raciste en Afghanistan, en Irak et au Pakistan. C’est pourquoi, nous exigeons : Troupes espagnoles, françaises et US hors d’Afghanistan, d’Irak et du Pakistan ! Pas un euro, pas un soldat, pas une arme espagnole pour les yankees ! A bas la croisade raciste mondiale de MM. Obabush, SarkoBush, du roi et M. Zapatero ! Certains vont nous rétorquer : que vient faire cette question internationale alors que c’est le peuple espagnol qui est stigmatisé ? Nous leur répondons : aveugles que vous êtes ! Ouvrez les yeux et soyez intelligents ! C’est le prix Nobel capitaliste yankee, Paul Krugman, sur ordre de Wall Street et de M. Obabush, qui a stigmatisé le prolétariat espagnol en ses termes : « Le problème de l’Europe et du monde, ce n’est pas la Grèce mais l’Espagne avec sa folie économique, ses déficits abyssaux, sa vie facile et son absence d’efforts au travail ». C’est l’impérialisme yankee qui a donné le départ et le ton de la campagne contre l’Espagne. Si aujourd’hui, le capital et le gouvernement de M. Zapatero attaquent les droits et conquêtes sociales des masses espagnoles, c’est parce que l’impérialisme yankee en a donné l’ordre. C’est ce qu’appellent peureusement M. Ignacio Fernandez Toxo des CCOO « Les marchés financiers » et M. Mendez de l’UGT « Le cheval au milieu du gué ». Il faut dire la vérité, hier comme aujourd’hui, les requins de la bourse, des banques et du patronat international et surtout yankee sont les ennemis des masses espagnoles. Cela montre à quel point les leçons de la Révolution Espagnole de 1936 sont actuelles. Ce qui justifie pleinement le combat pour la mémoire historique. Notre démarche n’est pas passéiste mais tournée victorieusement vers l’avenir en tirant les leçons du passé. Face à la monarchie mise en place par le monstre M. Franco, les capitalistes et la hiérarchie catholique, face à la crise finale du capitalisme, la lutte pour instaurer la République Socialiste Espagnole est nécessaire et va devenir de plus en plus d’actualité. Est-il normal que le roi-fainéant et sa famille de rongeurs de fonds, biens et domaines publics, se pavanent dans un luxe insolent de milliardaire alors que les jeunes et ouvriers sont dans une situation de plus en plus difficile et dure ? Qui sont les défenseurs de la monarchie franquiste ? Les riches capitalistes, la hiérarchie catholique, tous les privilégiés, l’armée, la guardia civil, la police et la majorité des hauts fonctionnaires, tous les bureaucrates et lèche-bottes. Bref, toute la vieille société sclérosée et conservatrice. Exactement, les mêmes forces qui ont propulsé le coup d’Etat de M. Franco en 1936. Qui sont les partisans de la République véritablement socialiste espagnole ? Ce sont les centaines de milliers de jeunes et d’ouvriers qui ont manifesté, à l’appel de l’UGT et de CCOO, pour défendre le droit au travail et les retraites. Ce sont les millions de familles qui souffrent pour payer leurs fins de mois angoissées par le chômage. Ce sont les millions de jeunes « milleuristes » qui sont soumis aux contrats pourris ou au chômage et qui n’ont pas d’avenir. Le roi-parasite comme son héritier et les capitalistes préconisent la réforme du droit du travail et des retraites comme les capitalistes patrons, il se prononce pour la flexibilité, la précarité et les licenciements, mais pour lui et son fils héritier, c’est un bail qu’il veut ad vitam aeternam sur le trône d’Espagne pour sucer, tel un vampire, la sueur, le sang des masses espagnoles. Il est comme les politiciens bourgeois qui disent une chose et en font une autre. C’est le double langage entre les paroles et actes. Pour ceux qui ont étudié Marx et savent discerner l’avenir, il est évident que la crise économique finale du capitalisme qui affecte aussi l’Espagne n’en est qu’à ses débuts et va, dans les mois et années qui viennent, être dévastatrice. La monarchie franquiste et les capitalistes espagnols mènent le pays à la catastrophe. Le gouvernement de M. Zapatero en prenant à son compte les réformes, en s’alignant sur la croisade raciste mondiale de M. Obabush ouvrent la voie au retour de la réaction fasciste, au parti populaire franquiste qui lui aggravera la situation des masses. Le devoir de mémoire historique nous apprend que les antagonismes de classes augmentent et qu’en Espagne, (qu’on le veuille ou non, mais les lois de l’histoire sont plus fortes que tout), la révolution pour la République Socialiste Espagnole et l’instauration du Véritable Socialisme Internationale sont à l’ordre du jour. III – LES NOUVELLES PERSPECTIVES QUI S’OUVRENT : Qui a plongé l’Espagne dans la crise et le malheur ? On a voulu bercer la population avec le soi-disant « miracle espagnol » qui n’était que mensonges, spéculations, corruptions et manipulations politiques renforçant la domination des exploiteurs, du grand capital international et de la monarchie franquiste. Aujourd’hui, les terribles conséquences dévastatrices se font sentir pour les masses laborieuses avec la vie chère, les salaires de misère et le chômage ; avec une jeunesse sacrifiée (le chômage des jeunes atteint les 50%) et sans avenir. La paupérisation des masses s’accélère. Les capitalistes et leur état monarco-franquiste mènent l’Espagne à l’abîme. Il faut être clair et dire toute la vérité. Les masses espagnoles ne peuvent être sauvées de la déchéance, de la misère et de l’abîme qu’en luttant : CONTRE LA MONARCHIE FRANQUISTE, POUR EN FINIR AVEC ELLE POUR INSTAURER LA RÉPUBLIQUE SOCIALISTE ESPAGNOLE. En finir avec la monarchie, c’est porter le coup le plus efficace au grand capital. C’est ouvrir la voie au véritable socialisme en Espagne, en Europe et dans le monde. Malheureusement, M. Zapatero, les dirigeants du PSOE et d’Izquierda Unida ne veulent pas rompre avec la monarchie, le capitalisme et l’ententisme qui en découle. Ils ne mettent pas au centre de leurs programmes le combat pour en finir avec la monarchie ainsi que le combat pour instaurer la République Socialiste. M. Zapatero reprend à son compte la même « thérapie de choc » contre les jeunes et les ouvriers au profit des capitalistes que MM. SarkoBush en France ou le « socialiste » M. Papandreou en Grèce. « La thérapie de choc », c’est les salaires de misère, la vie chère, les contrats de travail pourris, le chômage généralisé et la pauvreté de masse afin d’élever la plus-value des capitalistes. Mais l’Espagne n’en est qu’au début de la crise. Le pire est à venir. Monarchie, capitalistes et hiérarchie catholique, veulent faire descendre marche après marche l’escalier de l’enfer sur terre aux masses laborieuses. Ils veulent tout détruire, ils dévastent tout et sèment le malheur et la mort. Mais c’est de là aussi que partent les perspectives. Les manifestations de masse contre les réformes antipopulaires de M. Zapatero témoignent de la renaissance du mouvement ouvrier. La lutte de classe est de retour. Il faut être aveugle pour ne pas voir les grandes luttes révolutionnaires qui vont surgir en Espagne. Les masses espagnoles vont renouer avec leurs meilleures traditions de l’insurrection des Asturies en 1934 (Hermanos Proletarios Unidos) et de la révolution espagnole de 1936 mais cette fois-ci pour en assurer la victoire grâce à la construction du parti ouvrier révolutionnaire trotskyste. Car le retour de la lutte de classe ouvrière en Espagne s’accompagne du retour du véritable trotskysme, qui a tant manqué en 1936, il est lui aussi de retour via la récupération de sa nationalité espagnole par le camarade Omar. Trotsky avait tout tenté pour venir en Espagne en 1936 pour mener, comme en 1917 en Russie, la révolution à la victoire. Mais les éléments bourgeois du Frente popular et les staliniens du PCE s’y étaient opposés. Aujourd’hui, le retour du trotskysme, notre retour permet de donner une tête consciente au prolétariat espagnol. Notre programme d’action est différent de tous les programmes ententistes de la gauche et de l’extrême-gauche espagnoles. Qu’on en juge ! Notre organisation se bat pour le Front Unique Ouvrier (ou l’unité d’action de tous les syndicats et partis ouvriers) et revendique : Non aux réformes de la « thérapie de choc » du roi-fainéant et de M. Zapatero ! A bas la monarchie franquiste capitaliste vampire du peuple espagnol ! A bas le capitalisme des requins de la bourse, des banquiers rapaces et des patrons ! Vive la Républica Socialista Española pour sauver le prolétariat espagnol et l’humanité ! A partir de ces revendications indispensables pour sortir l’Espagne du cycle infernal de la crise d’agonie du capitalisme, nous disons que la bataille pour que Vérité-Vengeance-Justice rendue à notre camarade, c’est la lutte contre la clé de voute centrale de tout le régime mis en place par le maudit général golpiste fasciste M. Franco, cautionné par le pacte de la Moncloa, que nous mettons en cause dans l’intérêt vital des masses. Pour nous : Vérité, cela veut dire la légitimité, hier comme aujourd’hui, du combat légal sur tous les plans et terrains, pour en finir avec la monarchie franquiste et pour la Republica Socialista Española. Vengeance, ce n’est pas la vengeance individuelle ou le duel, mais la vengeance historique contre une minorité militaire golpiste et la classe capitaliste renversant la République légale. C’est vouer à la malédiction pour l’éternité, les généraux fascistes criminels et cette monarchie cléricale parasitaire. C’est d’agir pour que la République soit de nouveau le régime politique et social en Espagne. Justice : cela signifie que la monarchie bâtarde, fille du coup d’Etat criminel franquiste, injustifiée historiquement, doit être éliminée pour être remplacée par la seule forme légitime de régime politique : la République Socialiste Espagnole. Qu’il est indispensable d’en finir avec cette parodie que sont les Cortès monarchiques pour y substituer les Cortès républicains et socialistes. Premier pas vers l’expropriation des détenteurs des grands moyens de production pour y substituer les juntas ouvrières afin d’avancer réellement vers une Espagne véritablement libre et indépendante de l’impérialisme yankee, de l’Europe capitaliste et du Vatican, une Espagne républicaine et réellement socialiste qui retrouve toute sa place dans le monde comme fer de lance du progrès et du socialisme. Jeunes et ouvriers d’Espagne, n’hésitez pas à rompre les chaînes de la maudite monarchie franquiste. Ensemble, unis et résolument tournées vers l’avenir, luttons pour votre bonheur sur terre en construisant le parti révolutionnaire pour instaurer La véritable République Socialiste Espagnole. Et ainsi sauver l’Espagne et le monde de la barbarie capitaliste !
Posted on: Thu, 27 Jun 2013 01:49:41 +0000

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