DRAMANE POUR QUOI CHEZ TOI TUER EST DEVENUE UN TIC NERVEUX - TopicsExpress



          

DRAMANE POUR QUOI CHEZ TOI TUER EST DEVENUE UN TIC NERVEUX EN TOI????????????? COTE D’IVOIRE : LE RDR ET SON CORTEGE DE MORTS ---------------------------------- Combien sont-ils les Ivoiriens qui ont perdu la vie du fait de la violence du Rdr ? Combien sont-ils ceux qui ont eu le sang versé du fait de la violence et barbarie du RDR ? Difficile de faire la comptabilité. Du nord au sud, de l’ouest à l’est en passant par le centre, ce parti a semé et continue de causer la mort. Sa violence gratuite a fait des orphelins, des veuves et des veufs dans ce pays. Pour mémoire, Silué Nambégué, président du Comité des sages du Fpi à Korhogo, a été fusillé au quartier Sinistré en 2001. Alors qu’il se rendait à la mosquée pour la prière de 5h, il a été fusillé par la nuque et son œil a sauté. Devenu très actif dans son militantisme au FPI, il était devenu gênant pour le Rdr au début du mandat de Laurent Gbagbo. Ce vieux menuisier de profession a été éliminé par des mains obscures du RDR. En campagne pour le conseil général de Ferké en juillet 2002 à Kong, Dr. Safiatou Nanié et une délégation du Fpi ont été prises à parti par les militants du Rdr à Kong. Ces derniers, qui sortaient de la mosquée, un vendredi, ont mis un pneu au cou de Safiatou Nanié en menaçant de la brûler. Une intervention rapide du peloton mobile de la gendarmerie de Ferké a pu éviter le drame à cette délégation. Dr Safiatou peut témoigner. Toujours au Nord, Diabaté Bêh, militant du FPI a frôlé la mort à Boundiali d’où il est originaire. Il a été copieusement battu par des militants du RDR. Le président Gbagbo a affrété un hélicoptère pour le ramener à Abidjan. Diabaté Bêh est encore vivant, donc ce que nous écrivons peut se vérifier. Laurent Donan Fologo en route pour les obsèques de son frère à Péguékaha à Sinématiali a été refoulé par les rebelles et les militants du RDR. Simplement parce qu’il s’est mis du côté de la République quand les rebelles ont attaqué en 2002. C’est un fait vécu qui témoigne de la méchanceté du RDR et ses bandes armées. A Sinfra, Ibrahim Bakayoko, vice-président du Conseil général de cette localité et militant du Fpi, a été assassiné par le RDR dans la crise post-électorale. A Kouamssi, Tibet Légré Marcel, un employé Refondation travaillant à l’imprimerie du groupe de presse La Refondation (société éditrice de Notre Voie) a été tué au début de la crise dite post électorale. Rentré du boulot, il était allé boire du café dans un kiosque non loin de son domicile à Koumassi. Des militants du RDR l’ont rejoint pour l’assassiner froidement. Ses bourreaux ont même tenté de le brûler et se sont attaqué à la police qui était allé voir le corps. Comble d’intolérance ! Ce crime n’émane pas du FPI ni de Gbagbo. Dans la ville d’Issia, un agent de la mairie, Séri Paul, originaire du village de Bobréguhé, par ailleurs militant du FPI, a été égorgé par des militants du RDR à l’hôpital de la ville. Les faits se sont passés le 3 décembre 2010 et il a été inhumé le samedi 9 juillet 2011. Pendant la crise postélectorale, les militants du RDR se sont soulevés contre ceux du FPI et les autochtones dans la ville d’Issia. Ils ont incendié plusieurs maisons et tué au quartier Fraziguia. A cette même occasion, ils ont blessé Séri Paul qui a été transféré à l’hôpital. Un médecin militant du Rdr qui s’y trouvait a appelé ses camarades militants pour leur dire que la personne qu’ils ont blessée se trouve à l’hôpital. Ils l’y ont rejoint et l’ont égorgé. Ce médecin, en poste à Issia, a été présenté par le RDR aux dernières législatives et a été élu. Il est décédé de maladie après sans avoir siégé. C’est son décès qui a suscité les élections partielles à Issia. Au cours de cette crise post-électorale, le RDR a tué 12 militants du FPI à Issia. Les corps se trouvaient encore à la morgue quand Gbagbo a été renversé par l’armée française. Dans la commune d’Abobo, le village d’Anokoua-Kouté a été attaqué par le commando invisible qui a sauvagement tué et incendié des maisons. Bien avant la rébellion, un agent des impôts à été égorgé par le RDR dans la commune de Treichville. Dr. Balla Kéita, compagnon de Robert Guéi, a eu sa maison pillée à Korhogo au quartier Banafôro. Suite à ce fait, il n’est plus revenu dans la ville jusqu’à son assassinat au Burkina. Balla Kéita a été tué par le Rdr parce qu’il était devenu gênant. Il savait beaucoup de choses sur la vie de Ouattara. Il est devenu la cible du Rdr quand, sous Robert Guéi, la candidature de Ouattara a été rejetée. Dans la même période, l’hôtel « Les Avocatiers » appartenant à Tia Koné au quartier industriel à Korhogo a été littéralement pillé parce que l’ex-président de la Cour suprême avait eu à rejeter la candidature de Ouattara. L’hôtel Sian appartenant à un entrepreneur, M. Sian, situé en face du Chr de Korhogo, a été incendié par le Rdr parce qu’il est de la même ethnie que Robert Guéi qui, dans l’esprit du Rdr, a fait rejeter la candidature de Ouattara en 2000. Dans un tel contexte, qui avait plus intérêt à éliminer Robert Guéi ? C’est sûrement le Rdr. Et à l’avènement de la rébellion, les localités de Guitrozon, Petit Duékoué, Duékoué, Bangolo, Bloléquin, Siégouékou, Broudoumé (Ouragahio), Toulepleu, Bouaké, Djébonoua, Sakassou, Monokozohi, Pélézi et ailleurs ont vécu des atrocités commises par le RDR et sa rébellion armée. Toujours à l’actif de cette rébellion menée pour le compte de Ouattara, des gendarmes ont été égorgés à Bouaké par des dozos. Qui ont fait des rituelles autour des corps de leurs victimes. Le confrère de la télévision ivoirienne, Serges Koléa, son père gendarme et son frère aîné, footballeur ont été tués par les rebelles à Bouaké. De nombreux Ivoiriens, à Korhogo, ont trouvé la mort par asphyxie dans un conteneur où ils ont été placés par le chef de guerre, com’zone Fofié Kouakou. B.K. ------------------------- Source : Notre Voie / 20-07-2013
Posted on: Sat, 20 Jul 2013 17:46:38 +0000

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