Dernier chef de guerre Les vœux de Djotodia à vau-l’eau Le - TopicsExpress



          

Dernier chef de guerre Les vœux de Djotodia à vau-l’eau Le président Djotodia aura beau se prévaloir d’être le dernier chef de guerre en Centrafrique sans compter avec les exactions de ses éléments de la Séléka. Un souhait certes accueilli favorablement par la population et une partie de la communauté internationale. Malheureusement, ce qui se passe sous les cieux de Centrafrique démentent la volonté du chef de l’Etat de transition de mettre définitivement à la spirale de violences qui paralyse le pays. En définitive, Djotodia est allé vite en besogne en annonçant ce type d’information qui ressemble à un véritable canular. S’il est parvenu par les armes, ceux qu’il a déboulonnés ne réalisent pas qu’ils ont perdu le pouvoir. Ils sont visiblement sur leurs dents et n’attendent que l’occasion de l’insécurité créée par le pouvoir pour refaire surface. En effet, une importante partie des soldats des Forces Armées Centrafricaines (FACA) sous l’impulsion du capitaine Joachim Kokaté qui a récemment appelé à un soulèvement de l’armée contre Djotodia et ses hommes qui sèment la terreur. Aussi, il ya de l’autre coté les mouvements rebelles crées par ses proches notamment Sani Yalo, Levy Yakété et ceux de la diaspora ralliés en masse pour la cause de Bozizé. A qui la faute ? Maintenant, il est possible de parler de la démagogie et d’une politique des narcissiques en voulant montre patte blanche. Que dira-t-il au peuple si son pouvoir venait à être renversé dans les tout prochains jours par cette constellation de mouvements rebelles qui commencent à prendre des villes à l’exemple de Bossangoa située à 305 km de Bangui ? La situation devient de plus en plus inquiétante à tel point que personne bne croit plus à Djotodia qui ne cesse de dire que ce qui est arrivé à la RCA n’est qu’une goute d’eau dans la mer. Il a fait allusion aux pays de la sous région de l’Afrique centrale qui ont connu plusieurs années de guerre. Il pouvait bien tenir son pari si les éléments de la coalition Séléka se sont comportés en hommes responsables c’est-à-dire ne pas terroriser la population civile. De ce point de vue, les rebelles se donnent toutes les raisons de reprendre les armes. A qui la faute ? Le Pays
Posted on: Tue, 10 Sep 2013 10:38:16 +0000

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