Devenu secrétaire d’Etat dans le cadre de l’ameublement partisan qui a prévalu lors de la désignation du gouvernement Sellal, il ne commet rien qui pourrait lui valoir des remontrances. Présidant ce matin une rencontre à l’intitulé fort pompeux, le rôle de la femme en politique, Sahli, pensant rester dans l’estime de ceux qui ont organisé et rendu possible sa promotion politique, a tranché net : « il n’y a aucune raison politique pour une élection présidentielle anticipée », a-t-il clamé. Autrement compris, pour lui, tout va pour le mieux qu’il ne faille pas réfléchir à des scénarii qui sortent de l’ordinaire de la république. Pourtant, l’absence prolongée du chef de l’Etat pour cause de maladie convalescente en premier chef, invite au chamboulement du calendrier électoral.
Posted on: Sun, 09 Jun 2013 19:02:07 +0000