Dimitri Payet : «Je suis un affectif» Depuis son lieu de - TopicsExpress



          

Dimitri Payet : «Je suis un affectif» Depuis son lieu de vacances, le nouvel attaquant olympien a accordé sa première interview à OM.net. En vacances à Petite-Ile, au sud de la Réunion, à l’heure où le jour décline sur l’Océan Indien, Dimitri Payet reçoit la nouvelle attendue depuis plusieurs jours : sous réserve de la visite médicale, il est Olympien. La nuit est déjà installée, mais dans la voix du nouvel attaquant olympien on perçoit un rayon de soleil. Dimitri, tout est enfin en ordre : bienvenue à l’OM. Je ressens une grande satisfaction. Quand on est au cœur d’une période de mutation, les négociations, les discussions plongent un homme dans l’attente. Le temps est toujours long, mais vous parler signifie que ces moments sont terminés. Un transfert perturbe les vacances. On a toujours le téléphone à la main. Dans la rue, à la maison, on attend le coup de fil, mais rassurez-vous on arrive aussi à décompresser pour profiter. L’OM est une étape incontournable pour un international français ? L’histoire parle. L’OM a un passé, une histoire chargée de titres, d’émotions. Le club est un monument du sport français. "J’ai ressenti après chaque mot la volonté d’avancer ensemble" A un an de la coupe du monde au Brésil, rester en France était-il important pour vous ? L’équipe de France, la perspective du Mondial 2014 ont été des éléments déterminants dans ma réflexion, mais pas seulement. Je voulais rester en France. Tout au long de ma carrière, j’ai toujours privilégié le choix sportif. Penser à 2014, c’est bien, mais l’OM c’est aussi vivre la Ligue des champions, évoluer dans un groupe de qualité et atteindre des objectifs élevés en championnat. Le challenge est relevé, il est déjà passionnant. A vous entendre, vos objectifs sont multiples ? Mes premières préoccupations sont d’évoluer dans un club ambitieux : en premier lieu, réussir en championnat, même si la concurrence sera relevée ; participer à la Ligue des champions avec la volonté de sortir de la phase de poules : je n‘ai jamais eu ce privilège. Une saison est une aventure sportive, mais aussi humaine. Elle s’annonce extraordinaire. Vous parlez d’aventure humaine… Je suis un affectif. La relation humaine revêt une importance considérable à mes yeux. Le foot est assez compliqué. Quand on vit au quotidien avec un groupe, toutes les conditions doivent être réunies pour avancer main dans la main avec chacun. Ces derniers jours, dans les discours de Vincent Labrune, de José Anigo et d’Elie Baup, j’ai ressenti après chaque mot la volonté d’avancer ensemble. C’est bon à entendre. Cela fixe la ligne de conduite.
Posted on: Thu, 27 Jun 2013 19:15:58 +0000

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