Dossier PAX pour aider Xuan 1 PAX Pour aider Xuan le - TopicsExpress



          

Dossier PAX pour aider Xuan 1 PAX Pour aider Xuan le site C’est une page perso sur wanadoo créée en 1996 et qui est le moment fondateur de notre action. Il faut lire le document relatif à notre rencontre, celle de Xuan, celle du frère Dominicain, Jean Houlmann. Lettre de P.A.X 1 historique de l’association pour ceux qui ne la connaissent pas encore L’idée de créer cette association vient de loin, de très loin, de Saïgon, Ho Chi Minh Ville, sud du Viet Nam Au cours d’un séjour de quelques mois sur place, je me suis promené dans le centre de la ville. C’est là que j’ai fait la connaissance des « poussières de vie », comme on les nomme « là bas ». Enfants de tous âges, laissés pour compte, abandonnés à eux mêmes, régulièrement ramassés, régulièrement revenus. Les quelques Dongs quotidiens ou hebdomadaires suffisent à leurs survies. Il y a les touristes, la prostitution, la drogue, et parfois des chaussures à cirer ... Shoe shine mister please...Mal nourri, mal habillé, mal aimé...Tout juste toléré. Parmi eux, j’ai rencontré Xuan. Tout un symbole. Orphelin de père, mère invisible, vivant sous une toile en plein centre de Saigon, à quelques pas des hôtels à 200 $ la nuit. Occidental, instituteur, laïque à 15 $ la chambre, j’ai essayé de lui donner un petit coup de pouce. Le faire manger régulièrement, l’habiller. Et puis pourquoi pas lui trouver une école. A 14 ans beaucoup de choses sont possibles encore. Nicole et quelques autres ont pris le relais. J’ai vu au cours de mes nombreuses recherches, différents centres, les « love school », de nombreuses personnes, j’ai rencontré un frère dominicain, M Houlman qui « ramasse » ces poussières dans les rues et dirige le centre de Cau Kho. 2 description du centre de Cau kho Ancien prêtre ouvrier de chez Peugeot, il gère le centre de Cau kho, entre autres, s’occupe d’ethnies minoritaires délaissées des hauts plateaux et « fabrique des villages « avec ses propres fonds. Le centre est financé par une importante association française, «Enfants du Mékong . Une trentaine d’enfants y sont internes. Ils sont nourris, logés, éduqués, scolarisés. Les résultats sont probants, certains arrivent au BEPC, D’autres au BAC, 1 en polytechnique, tous en ressortent avec au moins un métier. Pax finance directement et sans intermédiaire l’hébergement, la nourriture et la scolarité de 8 enfants en plus. Les enfants viennent parfois spontanément au centre mais le plus souvent, ce sont les « anciens » élèves qui leur indiquent l’adresse. J’y ai emmené Xuan. plusieurs fois, mais il a préféré « shoe shine ». 3 ce que nous faisons de l’argent reçu L’argent que nous récoltons est versé directement et entièrement au centre de Cau Kho. Depuis la création de Pax nous avons récolté 8230 euroset 8230 euros ont été versés. Peut-être bien peu, mais surtout efficace. Les membres fondateurs de l’association se sont engagés à ce quaucun frais de gestion, de timbres, de téléphone ou autres ne soient pris sur les dons des adhérents. Chaque euro versé par les adhérents est donc reversé intégralement au centre de Cau Kho. Les frais éventuels de fonctionnement sont pris en charge par Laurent, et quelques autres. 4 notre proposition: aider les enfants, « poussière de vie » d’Ho Chi Minh Ville Notre proposition est simple. Il faut 1$ par jour et par enfant pour qu’il soit hébergé dans le centre, et avoir l’espoir d’en sortir avec au moins une qualification et un métier. Cest pourquoi nous faisons de nouveau appel à vous pour cette année. Pour avoir des renseignements complémentaires n’hésitez surtout pas à nous contacter. tel 02 37 31 90 34 Fax répondeur 02 37 31 65 52 email [email protected] notre site web: perso.wanadoo.fr/laurent.perche laurent.perche.pagesperso-orange.fr/ 2 une page de notre vie, rencontre avec Xuan Juste un petit moment de la vie d’un instituteur un peu perdu dans cette ville tentaculaire et qui souhaitait juste apporter un peu d’instruction et de confort à ces jeunes de la rue que l’on appelle « poussières de vie ». A lire : Xuan, la rencontre, extrait d’un livre Cétait un de ces soirs où je navais pas grand chose à faire, Maÿlis dort à Phu San, je sais quelle est entre de bonnes mains, Mme Sinh veille sur elle et je sais quelle a fait passer la consigne, cest la fille du père de Thomas, code secret qui assure une surveillance supplémentaire, les autres bébés sont surveillés, ma fille, je sais quelle est couvée. Jai une confiance totale dans le personnel de cette maternité, du chef de service à la fille de salle, il y a peu de moyen mais je sais que tout est fait pour le mieux pour ma fille comme pour tous les autres. Le soir les bureaux sont fermés, il ny a quà attendre, il ny a rien dutile à faire, les dossiers sont dans des tiroirs, ils attendent le lendemain et les nuits sont longues, très longues. Mon rythme souple deuropéen ne se fait que difficilement à cette vie, à 17 heures tout sarrête et le reste cest du temps libre. Autant pour mon premier voyage je me suis renfermé dans mon bordel dès cette heure, à penser et ressasser le temps qui passait, autant pour la deuxième fournée, jai fait le maximum pour découvrir cette ville et la vie de son peuple. Je prenais mes repas du soir dans nimporte quel petit restaurant de la rue, seul le plus souvent, jaimais bien, et je terminais souvent par des promenades pédestres sans fin et sans but précis dans les rues de Ho Chi Minh Ville. Je nétais le plus souvent quà quelques kilomètres de mon repère. Souvent le soir, enfin presque le soir, vers 20 heures, chez moi je ne me couche que rarement avant que les deux aiguilles aient passé le haut du cadran, je me suis promené dans les rues perpétuellement vivantes de cette cité. Quel plaisir de découvrir une autre partie de la ville, la nuit est une autre vie, les passants du jour font places aux gens de la nuit. La police débonnaire et corrompue fait place aux militaires stricts et corrompus. Les prix sont un peu plus élevés, pour tout le monde. Les enfants sont les mêmes. Les mêmes petits garçons qui vendent leurs cartes postales aux touristes de plus en plus rare, les mêmes qui proposent de cirer les chaussures, les même filles, petites et un peu plus grandes, plus quelques autres, proposent les mêmes charmes aux citadins. Les Touristes sont au lit, au restaurant, en boite de nuit, ils ne sont plus là, les habitants de la ville reprennent le pavé, et chaque soir est une fête pour eux, chaque soir, les ballons, les pétards, la vie, prennent le pas sur une journée de travail. Ils sont quatre, plus que les suggestions obligatoires gouvernementales, ils sont les parents et leurs deux enfants, le niveau de la vie ne semble pas permettre plus de folie. Ils sont cinq, la mopette, les parents et les deux enfants, ils sont jeunes, les enfants aussi, et chacun se fait un petit plaisir sur cette place, rassemblement, mais pourquoi, le plaisir dêtre ensemble ? Et moi, désolé de cet égocentrisme, mais jétais le seul européen, ce soir là sur cette place. Je savourais le plaisir de la solitude parmi la foule, je fumais une de ces cigarettes à la marque connue, les seules qui pouvaient remplacer les gitanes de chez nous. Seul et tranquille je suis noyé dans la foule, je suis bien, je viens de prendre une dernière bière au Givral, je repose sur un de ces bancs en pierre. Jécoute et je regarde cette autre ville qui vit. La nuit est à moi, je nai rien dautre à faire et personne ne mattend, cest bien. Jobserve ce petit bout de chou de trois ans qui se fait tancer par sa mère car elle na pas réussi à me vendre un souvenir pour touriste, que puis je faire de plus. Je négocie une noix de coco à un petit garçon qui devrait être au lit depuis longtemps. Je refuse les nombreuses avances des filles jeunes, très jeunes, assez vieille, de joie qui toutes avec le même sourire me propose des nuits inoubliables, elle lest déjà inoubliable cette nuit, il nest pas nécessaire dy ajouter quoique ce soit. Et ce petit garçon de 12 ou 13 ans qui vient se frotter contre moi et innocent, moi qui ne comprends pas ce quil veut, quelques moments de flottement avant de comprendre que ce jeune adolescent me propose la botte. Surprise, et refus un peu brusque, je veux bien goûter aux charmes de lorient, mais celui ci ne fait pas partie de mes fantasmes. Ce nest pas une question de limite mais je ne suis pas là pour ça, je suis là pour maÿlis et dans les temps qui me restent découvrir ce pays. Je change de banc Je ne souhaite nêtre quun voyeur des mœurs de cette place, sans plus. Une cigarette de plus et un jeune ado se penche à mes pieds, mes baskets nont nul besoin de nettoyage, je lui fait comprendre, mais il sincruste, un beau sourire et pas darrières pensées je, nous, nous causons, cest un plus compliqué quand aucun des deux ne possède une langue commune , mais par gestes et par quelques mots danglais on arrive parfois à se comprendre. Quelques minutes plus tard, une autre de ces poussières de vie, vient se greffer à notre discussion, celui parle aussi bien américain que moi, à deux cétait un peu complexe, à trois cest pire. Et le troisième arrive. Cest Xuan. Je me retrouve devant ma classe. Ils sont trois, ils ne parlent pas le Français, ils ne me comprennent pas, ils parlent un anglais que je ne comprends pas, un parle un peu le russe, cest une étrange mayonnaise. Moi qui nen aie jamais réussi, celle là elle prend. Je suis sur le banc et ces trois rigolos mécoutent, ils sabreuvent de mes paroles et de mes gestes, je mabreuve de leurs paroles et de leurs gestes. Nous avons passé une bonne partie de la nuit à démêler nos vies, sur ce banc. Jai noté sur une feuille égarée leurs prénoms, je ne me souviens que de Xuan. Tous orphelins, tous poussières de vie de ces rues de la ville, jai essayé de leur expliquer le pourquoi de ma présence ici, ils mont dit leurs nécessités de vivre ici. Une heure plus tard, il ny avait plus de français, plus de vietnamiens, plus de poussière, uniquement 4 personnes qui discutaient ensemble. Et chacun de montrer une partie de sa vie, et chacun de montrer une partie de sa recherche, sur les trois je nai retrouvé que Xuan le lendemain, petit cireur de chaussures du quartier 1. En quête de paternité, je trouve un petit bout de garçon de 12 ans, qui vit seul sous une tente avec sa mère, il ne sait pas lire, ni écrire, il ne va pas à lécole, le cirage des chaussures des touristes russes lui, prend tout son temps. Jimagine thom sans moi, jimagine tout pour ce petit bonhomme, comment expliquer les affects qui passent, comment savoir que celui-ci je ne veux pas le laisser dans la rue, comment dire que ma conscience de français nanti peut supporter cette misère. Rien nest simple comme dit jacques, je suis là, jai de largent, le dossier de Maÿlis suit son cour, il me reste du temps et je ne sais quoi en faire, si un seul est sauvé, ce sera celui-là Il est shoe shine au Givral. Chaque midi je le vois avec sa boite de cireur, il ma reconnu, il savance, il est rejeté par les serveurs, Petit bonhomme de pas grand chose . Par signes, je linvite à manger…Ce petit garçon dans ce restaurant, les serveurs, sauf le vieux , sont horrifiés. Je suis obligé dinsister la première fois pour quils lacceptent à ma table. Ce sera maintenant une histoire damitié entre nous, et cest encore ce vieux st Exupéry qui est là. Il devient une rose et je me sens responsable de ma rose, Il veut venir avec moi en France, il comprend rapidement que ce nest pas dans le domaine du possible et il lui faut profiter de moi, le plus possible durant ma présence ici. Et moi je veux tout pour lui. Histoire sans fin, je le recherche encore, mais ici et maintenant il sera sous mon aile protectrice, il ne devra manquer de rien, en échange, est-ce vraiment un échange, il ne me devra rien de plus que savoir recevoir. Je nai jamais voulu lui donner dargent, cest une chose quil a compris, comme il a compris aussi que je pouvais lui être dune quelconque aide. A notre première rencontre ce fameux soir, je lui ai donné quelques Dongs qui traînaient dans ma poche, et par curiosité je lai suivi, pour voir ce quil en faisait. Avec ma bonne conscience deuropéen sortant du restaurant, jétais à moitié persuadé quil irait soffrir une soupe aux nombreuses échoppes. Non il sest précipité dans cette vieille galerie marchande où trône les jeux vidéo en lignes, et il sest payé une partie. Plus jamais dargent je ne donnerais, pour quil finisse dans des jeux darcades. Dès le lendemain, je lui ai dit quil ny aurait plus dhistoire de dollar entre nous, je pense quil la admit, et nous ne sommes plus jamais revenus sur ce sujet. Que voulait-il vraiment, il navait pas besoin dargent pour se nourrir, ni pour faire manger sa pseudo vieille mère qui devait croupir dans un des quartiers du port. Alors, moi, je lui ai offert ce que javais sur moi, mon amitié dinstituteur, mon seul but devint de scolariser Xuan, de lui donner la chance supplémentaire quil navait jamais eu et pour ce faire il fallait dabord lapprivoiser, Jy ai mis tout le temps qui me restait. Jai commencé par le faire manger chaque midi, doucement, son estomac nétait pas habitué à ce genre dagapes, jai continué par lhabiller un peu plus correctement et cétait à chaque fois un combat et de longues palabres. Un jour les chaussures, un autre le pantalon, quil me reproche trop cher et pas assez solide, et une autre fois encore, cest le maillot, emporté de haute lutte dans ce marché couvert où nous avons faillit nous faire écharper par toutes ces mégères excitées par le touriste. Que nont-elles pu imaginer ces femelles vendeuses en voyant ce petit homme à mes cotés ? Cest là que jai douté de moi et de la propreté vue de mon intervention. Dans nos têtes il ny avait aucun quiproquo possible, mais dans les leurs jai senti des effluves qui remontaient de leurs égouts. Il ne fallait pas être sali, Maÿlis mattendait, Thomas aussi. Un jour où nous nous promenions dans ce vaste marché, Xuan a voulu me prendre la main, petit bonhomme de 14 ans qui en paraissait 10 je ne pense pas quil y avait la moindre ambiguïté possible, et je me suis rappelé le regard de ces harpies du marché et je lai repoussé. Jai essayé de lui expliquer pourquoi je ne pouvais pas lui prendre la main, mais dans son parler vietnamien coloré danglicisme et dans mon français maculé daméricain, ce nétait pas une tache facile, je ne pense pas quil ait compris ce refus. Habillé et nourri régulièrement, apprivoisé, il me fallait maintenant lui offrir ce pour quoi je suis né, une éducation et une formation professionnelle. Comment convaincre un enfant des rues de Saigon, une poussière de vie quand celui ci préfère voir des dessins animés américains dans léquivalent des Mac do et se bâfrer de pizzas plutôt que de sinscrire dans une école tous frais payés. Jai, nous, tous les deux et plus tard avec Nicole, visité un nombre décoles conséquent. Chaque love school du quartier, chaque possibilité pour lui davoir un minimum dinstruction. Je, Nicole également, étais prêt à pourvoir à tous les frais, les directrices étaient prêtes à tous les aménagements horaires possibles. Il voulait gagner de largent et faire shoe shine pour assurer la subsistance du reste de sa famille, tout était possible. Nicole et moi avons réussi à lui faire visiter une école dans le centre ville à quelques encablures de son repaire, après de nombreuses tergiversations, nous avons réussi à obtenir un rendez-vous avec la Directrice. Nous avons visité chaque classe, nous lui avons promis lachat de chaque crayon et de chaque cahier, laffaire était conclue, il acceptait dy revenir chaque jour, jen avais les larmes aux yeux, et pourtant je pensais être plus imperméable que ça à la souffrance du monde. Il y est allé une fois seulement… Rétrospectivement pour qui nous prenaient-elles toutes ces créatures directrices, pour des étrangers en mal damour filial, ou pour dautres qui auraient eu des penchants damour pour de jeunes garçons. Je ne me suis jamais senti très à laise dans ces écoles. Je lui ai fait visiter le centre du Frère Houlmann, Cau Kho,, je lui ai pris la main pour chaque pièce vue, ici nous étions entre nous, Il avait toutes les possibilités de sortie, même celle daller voir sa mère chaque jour, rien ny fait il ne veut pas se faire enfermer dans quelques murs quils soient. Sa liberté na pas de prix, pour elle il renonce à toute aide, pour elle il renonce à toutes possibilités dinsertions, poussière de vie il est, poussière de vie il veut rester, qui suis-je pour ne pas respecter son choix, sil en est un. Nicole a pris le relais après mon départ, il ma écrit, je pense quil maimait bien, longtemps jai pensé que si jétais resté quelques mois ou quelques années de plus jaurais pu lui faire profiter de quelque chose. Cest un échec pour moi, pas forcément pour lui, des amis adoptants quelques années plus tard mont ramené des photos dun Xuan radieux, pris en photo avec sa sœur dont il ne mavait jamais parlé, mais est-ce sa sœur, il semble heureux. Et moi je suis heureux de le voir sur cette photo, heureux. Il se souvenait de moi. De retour en France il ma semblé indispensable de perdurer cette relation devenue virtuelle, jai créé une association pour essayer daider les poussières de vie des rues de Ho Chi Minh Ville avec dans lespoir futile de laider lui. Aucune nouvelle, aucun renseignement, Xuan sest dissout dans cette ville, et il en reste beaucoup dautres comme lui, jessaierais dans la mesure de mes petits moyens de faire un peu plus pour eux. Je compte beaucoup sur ce Dominicain, gestionnaire dun centre qui recueille les poussières de vie pour devenir le vecteur de mes intentions. Sa photo demeure sur mon bureau, son image ne me quitte pas. Il est là devant le Givral entre Pham le vendeur de journaux et cette petite fille à la tête penchée, qui quêtait quelques gâteaux. 3 histoire d’un bouchon, En partant de Ho chi Minh ville en y laissant quelques dollars, et de retour en France , je me suis demandé comment récolter de l’argent pour aider toutes ces poussières de vie laissées pour compte dans cette mégapole, et, en regardant la télévision je suis tombé sur cette organisation de récupération de petits bouchons, « un bouchons, un sourire », qui un à un devenait des dizaines d’Euros. Nous avons commencé tout petit, bouchons par bouchons et depuis nous avons réussi à en récolter des tonnes, que nous avons vendues à l’usine de Voves. 4 partenaire de l’IME de Champhol, Projet « H », comme « humanitaire. De la même façon que l’équipe c’était impliquée dans la récupération de livre pour le Cameroun, nous avons monté un projet pédagogique, éducatif et professionnel avec l’IME de Champhol. Les jeunes et les professionnels s’y sont impliqués largement. 5 décès de Jean Houlman. Il est décédé et nous n’avions plus de contact fiable vers qui nous tourner. 6 rencontre avec Patrick Désir et poussières de vie, et puis un jour grâce au contact de Yves henry, nous avons rencontré cet informaticien franco-vietnamien, qui poursuivait les mêmes buts que nous. Nous nous sommes rencontrés dans la banlieue de Paris, et nous avons décidé de continuer notre action : trouver des fonds pour aider les poussières de vie de la ville de Ho Chi Min Ville. Son site :.poussieresdevie.org/fr/ 7 Usine de Voves. C’est un autre humaniste, qui consacre une partie de son activité industrielle de recyclage de plastics. A coté de son activité industrielle de recyclage, il garde une part de son activité au recyclage des bouchons. Il rémunère les associations humanitaires qui lui amène des bouchons, 310 euros la tonne en ce moment, 8 Liens avec les écoles et collèges du département. L’association « PAX » est en lien avec de nombreuses écoles du département. De nombreuses écoles et collèges du département sont en liaisons avec nous, les plus célèbres sont les écoles de champhol et de Hanches qui ont été labellisées Unesco pour leurs activités positives sur le développement durable.
Posted on: Tue, 12 Nov 2013 22:15:26 +0000

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