Dosso Charles Rodel parle aux choses ivoiriennes Vous avez lancé - TopicsExpress



          

Dosso Charles Rodel parle aux choses ivoiriennes Vous avez lancé récemment une opération «Osons pour sauver notre patrie». Où en êtes-vous? - L’opération avance de façon admirable. La population réagit agréablement bien. Les affichages de l’appel se font un peu partout. Nous en sommes heureux. Toutefois, il en faut plus. L’affichage marque d’une part et notre détermination à sortir de la servitude dans laquelle l’Extérieur et ses sbires ivoiriens nous plongent par la peur. D’autre part, nous contribuons à annoncer avec conviction et certitude que l’Eternel, depuis son trône, s’est levé pour nous délivrer. C’est un acte prophétique simple. Nous gardons l’assurance de ce que les Ivoiriens, dans une concurrence utile continueront d’apporter leurs pierres à l’édifice de notre délivrance. Quels en sont les enjeux ? - Au-delà de la dimension prophétique, proclamer l’avènement imminent de l’Eternel dans notre nation, c’est une campagne de sensibilisation et de mobilisation. Elle vise d’une part à prévenir la nation ivoirienne des risques de sa disparition prochaine du fait de la gouvernance de Ouattara et d’autre part, inviter l’Ivoirien à se battre pour parer à cette éventualité. Car, si nous ne faisons rien, nous aurons accepté de mettre notre nation sous domination, et admis de faire de notre pays le réservoir de richesse de la France et de ses bras séculiers africains pendant que l’Ivoirien ploie sous le poids de la pauvreté. Notre détermination à mener ce combat est d’autant plus nécessaire qu’avant même de nous engloutir totalement par la naturalisation collective à venir, l’annexion de nos terres et de nos exploitations agricoles, objets de convoitise des multinationales et des Burkinabè, choque et interpelle l’Ivoirien. Ni au PDCI, ni au FPI, ni à l’UDPCI, ni au RDR, ni aux Forces Nouvelles (ex-rébellion armée), etc., aucun Ivoirien ne peut et ne doit l’accepter. De plus, par cette campagne, nous voulons inviter la population à se déterminer pourqu’ensemble, nous mettions fin aux martyrs dont nous sommes collectivement victimes. Ce, au-delà de tout clivage, idéologique et ethnique car il s’agit de sauver la Côte d’Ivoire sans laquelle aucun intérêt ivoirien ne peut s’exprimer. La bataille sera âpre. Mais, la bonne nouvelle est que Dieu nous fait grâce de la victoire. Qu’est-ce que cela sous-entend ? - Cela veut dire tout simplement que la victoire est acquise dans le spirituel, car Dieu a déjà vaincu l’ennemi à notre profit. Il veut maintenant matérialiser physiquement cette victoire, mais avec l’apport de chacun de nous, heureux bénéficiaires. Aussi Dieu s’est-il disposé à nous donner un signe. Un signal fort, tangible et irréfutable pour nous donner l’assurance de cette victoire afin d’aller courageusement audevant de l’ennemi.Dans l’attente de ce signal, sanctifions-nous, fortifions-nous, armons-nous de courage et soyons debout, en éveil. Dieu dans sa grande miséricorde a entendu nos pleurs, et dans sa fureur a décidé de nous délivrer. Toutefois, les circonstances et le temps de la délivrance Lui appartiennent. Préparons-nous de sorte à ne pas être surpris. Dans cette bataille, aucun compromis avec la France n’est possible, nous sommes à la porte de notre indépendance véritable. Il faut y croire. Pourquoi dites-vous qu’il ne peut y avoir aucun compromis avec la France? - La nouvelle Côte d’Ivoire promise par l’Eternel en Esaïe 2 est une nation de référence pour les autres nations où chacune viendra s’instruire et non une nation à la remorque d’une puissance colonisatrice. La Côte d’Ivoire nouvelle ne continuera pas d’enrichir l’occident pendant qu’elle-même s’appauvrit et que ses enfants meurent de misère. Dieu nous promet une Côte d’Ivoire totalement libre à la fin de nos souffrances, une nation prospère jouissant de toutes ses richesses au profit de ses enfants. C’est une grâce divine. Elle seule nous suffit. Aussi, n’avons-nous pas besoin de modèle dès lors que Dieu nous en fait la promesse. Ne demandons pas comment y parvenir du fait de notre faiblesse. C’est à notre faiblesse que Dieu prend plaisir. C’est en elle qu’Il se glorifie (2 CO 12-9). Dieu n’exécute pas sa parole en partie et ce n’est pas dans notre nation qu’il le commencera. Depuis le 11 avril 2011 que cette crise sévit avec acuité, que l’humiliation est à son comble, Dieu a-t-il manifesté sa puissance dans la crise ? Si oui, même s’Il n’a pas encore achevé, accompli parfaitement sa promesse, on peut s’assurer qu’Il le fera. Dans le cas contraire, l’Eternel des armées, le Dieu tout puissant aura menti. Pour se faire, faisons la rétrospective des événements depuis cette date. Et, observons la présence ou non de Dieu dans le combat. Soyez plus explicite. - Le 11 avril 2011, le Président Laurent Gbagbo et les siens sortent vivants des cendres de sa résidence totalement détruite par les bombes de l’armée française. Nulle intelligence ne pourra s’approprier cela. C’est un miracle divin. Même les athées n’ont pas manqué de le confesser. Depuis cette date jusqu’au jour d’aujourd’hui, la providence divine se manifeste sans compter. Et M. Ouattara devrait en être l’ineffable témoin. Sans l’aide d’aucune main, Ouattara perd ses indécrottables soutiens dans la tragédie ivoirienne les uns après les autres. Wade parti le 25 mars 2012, Sarkozy le 6 mai 2012 et Jean Ping le 15 juillet 2012.Chacun, face à des imprévus. Nul ne peut s’attribuer la gloire de ces changements inattendus, si ce n’est que l’Eternel des armées qui les avait prédits. Mieux encore, aux élections du 07 décembre 2012, le soutien de M. Dramane Alassane Ouattara à Nana Akuffo Addo en vu d’avoir la peau des refugiés politiques au Ghana s’est également soldé par un échec inimaginable pour le commun des humains. Sa gestion scabreuse de l’Etat a mis à découvert le mythe Ouattara dans toute sa laideur, sous le regard désillusionné de ses inconditionnels soutiens. Les flagorneries de l’homme du 11 avril ont désormais de la peine à masquer ses insuffisances. Addo ghanéen en un coup sec. Gloire à l’Eternel Dieu qui préservait ainsi ses enfants de la foudre qui s’amoncelait sur leur tête. Par ailleurs, l’échec de Ouattara est totalement établi. Pendant que son impopularité prend l’ascenseur, la présence du président Laurent Gbagbo à La Haye semble de plus en plus préjudiciable à Ouattara et ses courtisans. Pourtant, l’on se souvient comme si c’était hier que son transfèrement à La Haye le 29 novembre 2011 a suscité une liesse populaire de ses partisans. Même le conseil des ministres du 30 novembre 2011 n’a pas dissimulé sa joie devant ce qui devrait être perçu comme le malheur d’un concitoyen. Aujourd’hui, la CPI, complice de Ouattara, est dans une confusion sans précédent. Mieux, alors que la décision rendue par les juges le 03 juin semble renfermer des controverses qui font le chou gras des polémistes juridico-politiques, la touche de l’Eternel Dieu est imparable. Il a établi l’innocence de son serviteur et l’a maintenu loin de la poudrière ivoirienne. Le temps de Sa justice. Ainsi d’avril 2011 jusqu’au jour d’aujourd’hui, tout se passe, comme si Dieu s’est attelé à déboulonner ou ébranler les appuis extérieurs de l’homme du 11 avril avant de s’attaquer à lui-même. Par conséquent, la parole annoncée est lentement mais sûrement en accomplissement. Qu’en sera-t-il de la suite des choses? - Face à cette évidence désormais perceptible du commun des mortels, les intelligences qui n’ont cru en rien hier, dans un scepticisme, une incrédulité digne d’une défiance à l’Eternel, s’interrogent maintenant sur l’attitude de la France face au bouleversement à venir. Pis, ils s’imaginent des scénarii avec la France comme pivot. Je veux une fois de plus rappeler que la parole de Dieu ne s’exécutera pas en partie. Dieu a décidé de nous délivrer de toutes tutelles, nous rendre libre, véritablement et totalement. La France n’aura pas un meilleur sort dans le conflit ivoirien que son paravent dans la reconquête de notre nation. Il revient à la population d’ouvrir grandement les yeux afin qu’elle ne se laisse pas abuser par des pions de la France au jour de notre délivrance. Il n’y pas d’intelligence qui tienne. Les jeux politiques ont montré leurs limites. Dieu nous tend une délivrance totale. Il suffit simplement d’y croire et marcher vers elle le temps venu. Même la France n’y pourra rien. L’Eternel des armées n’est-il pas souverain ? Avec ce que vous relatez ou décrivez, vous n’avez pas peur d’être taxé de déstabilisateur ? - Nous n’avons jamais été nourris aux mamelons de la violence. Ni politique, ni armée. Nous avons été plutôt enseignés à nous battre par l’usage du verbe et des arguments démocratiques et populaires. Ouattara fait toujours l’effort de coller aux autres sa nature guerrière. La Côte d’Ivoire, jusqu’à preuve de contraire, admet la pluralité d’expression. Nous ne sommes pas d’accord qu’on nous enterre pendant que nous sommes encore vivants. Nous refusons qu’on enterre notre nation, qu’on mette fin à l’existence de la Côte d’Ivoire avec notre complicité. Nous avons décidé de lutter. Même si nous devons en mourir, nous irons vers l’au-delà avec l’assurance et la fierté d’avoir tout essayé pour sauver notre mère patrie. C’est à ce combat que nous invitons les ivoiriens sans exclusion. La Côte d’Ivoire appartient aussi bien au FPI qu’au PDCI, autant au RDR qu’à l’UDPCI et aux forces nouvelles (ex-rébellion) qu’à quelque autre parti que ce soit. Elle est la mère nourricière de l’ensemble des Ivoiriens et c’est ensemble que nous devons la défendre. Dans notre diversité nous devons faire barrage à l’assassinat programmé de notre nation. Tel est notre engagement. Si c’est cela être déstabilisateur, je suis fier de l’être. Pour le reste, suivons le mouvement de l’Esprit de Dieu et donnons-nous la main en dehors de toutes considérations politiques et ethniques pour sauver ensemble notre nation. A l’ensemble des Ivoiriens. Dieu s’est résolu à nous libérer par sa grâce. Côte d’Ivoire, ton Dieu marche vers toi pour te relever de tes meurtrissures. Sanctifie-toi, purifie-toi pour le recevoir. L’Eternel ton Dieu après avoir vaincu l’ennemi dans le spirituel, s’est résolu à matérialiser ta victoire avec ta contribution. Lève-toi, arme-toi de courage et attends son signe. Un signal fort, tangible et irréfutable. A ce signal, en dehors de tout clivage, tu avanceras pour matérialiser ta victoire. Seule notre spontanéité sera notre salut.Union, Foi, Courage, nos leitmotive. Que Dieu nous bénisse. Le Nouveau Courrier N° 825 Du Jeudi 11 Juillet 2013
Posted on: Tue, 16 Jul 2013 17:48:32 +0000

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