... Du côté religieux, je pense nêtre ni chrétien ni même - TopicsExpress



          

... Du côté religieux, je pense nêtre ni chrétien ni même musulman. Au début, même, je ne croyais pas en dieu. Ce début dont il est question date depuis que jeus reconnu lesprit contemplatif, la faculté, quoique primitive, destimer les choses ou de les sous-estimer, de dire non au cours même quasi-naturel des choses, à des évidences. faute de compréhension, l’on dirait: cest de la contrariété presque absolue! ...., une sorte dopiniâtreté inexprimée! Aurait-on tort de dire non quand les autres disent oui, ou oui, sils disent non, simplement de les avoir contrariés?. Je me suis aperçu, depuis belle lurette, que le peuple- je désigne par le peuple, cette majorité qui ,delle même, jalonne le cours qui devient habituel des choses et des idées, façonnent la mentalité rituelle, précise la manière générale de penser, dénote lesprit qui serait publique, de-là, les us et les coutumes- navait toujours pas raison, plutôt ,rarement quavait-il raison. Sinon, comment expliquerait-on, les guerres, les guérillas, les tueries, les exterminations inexorables que lhumanité savait, sans cesse, inventé? Auto-suicide de démence! Comment aurait-on expliqué que toute une nation soit guidée par une seule personne: un dictateur qui gère selon une seule volonté: sa fantaisie; et que son peuple sy résigne? Pourquoi HITLER avait-il bien pu dominer le monde? Pourquoi il a condamné les juifs, et les a exécutés? . Est parce que lui eut raison, que eux eurent tort? Ainsi, je me vois dire non à HITLER, mais aussi, dire non au peuple allemand qui eut dit oui au grand dictateur. Je me trouve oppositaire à tout peuple qui se soumit à la folie du plus fort, alors quil se dresse contre la sagesse du plus faible. Et, si le peuple allemand eut tort, tout peuple leût aussi.. Lerreur est, donc, partout, générale, peut être au pluriel comme au singulier; la raison sans drapeau. Et ce nest pas la majorité qui y ait droit, que minorité ny ait pas. De cette part, ce nest pas pour que le peuple est dune opinion, voire, d’une religion, que je dois lêtre. Cette idée ainsi bâtie, je me suis trouvé lavoir déjà oubliée, quoique la question de la religion fût toujours une obsession publique, soit humaine, et -sans mentir- me desserte parfois, avec la première impression de mavoir gagné. Ceci quand je me suis laissée ,sans résistance, au cours des idées innées; alors quau sain de la méditation, je présume que, dabord, conventionnellement la religion ne peut être que lislam -- cest conventionnel selon notre société islamique-- sinon, je ne connais aucune autre religion que je doit prévaloir au dépend de celle-ci, et donc ensuite, rester partiel, observateur, sans avis à la faveur ou au détriment, soit la meilleure partie à prendre, au moins, en loccurrence. Aussi, dieu, dans toute religion, en tient le centre. Dans lislam il en tient la porte. Pour finir à la religion, il faut passer par dieu .Mais en revanche, on ne va, obligatoirement, pas arriver, de dieu, à lislam. Ce nest pas auto passant. Pourtant, l’islam prêche dieu, y ramène, même, par force, les athées, même ceux qui croient en dieu, il faut les islamiser, les convertir, forcés, ainsi soit -il. Alors que je nadmets, aucunement, être mené, par force, même au paradis, et que jaille, même, à lenfer bon gré. Et, de la sorte, lidée de croire en dieu, mest devenue repoussante; dieu, donc, une idole dicté, envers quoi j’ai beau gagné daversion. Je ne réfutais, totalement, pas la thèse de dieu, mais jy avais une telle réticence, une résistance inexprimée. Jeus gravi les échelons scolaires avec, pourtant, une nuance divine, car, diviniser est une nécessité presque humaine; mais nayant plus fait de prière- je parle de la prière physique-. Je me suis laisser, le plus souvent, loin de la vie religieuse; seulement, il maffligeait encore trop, quelques comportements inopinés des islamistes, par exemple, leur hypocrisie, leur double face, leurs mensonges, ou la dureté de leur cœur; et ceci me fit leur avoir, d’avantage, une certaine humiliation interne, riveraine de haine, pas moins pour leurs croyance, haine qui reste inhumée jusqualors. Pendant que jeus déjà omis tout ce qui est religieux, je fus arrivé au baccalauréat, je me suis bien aperçu dune façon de penser aussi plus méditative que naguère, plus sage encore quauparavant, sans ,pourtant, que je men fusse rendu compte; ceci ayant eu, encore, lâge dadolescent. Ainsi, jeus donné plus dintérêt aux matières scientifiques, étant plus sages, plus logiques; et eus aimai leur style danalyser les phénomènes, leur méthode de les mettre en évidence,sus,de les démontrer. La physique, qui en est une, se métait adressée toute conseils, franche et directe; et vous voilà des leçons de suspens: la dynamique, la thermodynamique, l’énergie cinétique, l’énergie potentielle, mécanique,...etc.; à en couper le souffle. Et jen raffolai la physique. Pas moins, les maths, pas moins les sciences naturelles et les sciences humaine; somme toute, toute une encyclopédie de savoir, et qui vous fait secouer les idées. Javais appris des maths, comment choisir le chemin le plus court, mesurer la hauteur dun arbre sans le gravir, savoir des probabilités le cas le plus favori. Javais su de la physique comment sallume une lampe électrique, comment se fabriquer une boussole. Des sciences naturelles, ce quest un microbe; le chlorophylle dune feuille darbre, et la manière dont elle sen sert pour acquérir sa verdeur. Des sciences humains, la façon de réfléchir e concevoir les idées,- malheureusement- aussi à se poser des questions, et de grandes questions, qui resteront; je le verrai; du genre inaliénable, suspendues. Une fois, seul, loin de toute perturbation diurne, j’en avais des distractions nocturnes. ne fois la lumière éteinte, les yeux tantôt clos, tantôt éparpillées dans le vide du noir, je nageais dans un cosmos illimité, tel un vaisseau spatial, mais, sans gouvernails, et quun vent quelconque fait tanguer sans destination. Seulement, cette fois, pour des étoiles brillantes, des planètes sombres, javais des choses bizarres, des machins non identifiables, parfois, en métamorphose, parfois figés; et qui flottaient, tous, dans le noir du vide. De ces planètes virtuelles, souvent, je reconnaissais des unes; et voici une machine à vapeur qui va bon train, une turbine ,toute, en verre, à voir ses pistons dans leur va -et- vient pressé que incesse; sa bougie en feu, son bruit qui la fait tout vibrer; avec une auréole autour, une auréole de chiffres et déquations mécaniques qui paraissent en expliquer le fonctionnement; et voilà une ruche de microbes et qui se pullulent façon des boules de savon; je discernais leur noyau comme sils, aussi, étaient du verre. La nuit toujours, mes idées sont les plus claires de jamais. La nuit, elles germent, elles fleurissent, comme des coquelicots en plein printemps. La nuit, dans le calme delà nuit, j’avais habitude de résoudre les exercices, physiques ou mathématiques, les plus délicat; je ne sais avec quelle facilité je jugulais des équations, je les maniais comme des choses, je sentais comme leur odeur, apercevais leur couleur; toutefois, je ne me bornais pas là, à force de men servir, je men faisais dautres aussi adéquates, de simplifier ou de remplacer. je me rappelle encore dune bonne nuit, où, comme les précédentes, je fis plongé dans mes méditations, gisé comme un cadavre, immobile dans son cercueil, le regard perdu dans le noir; cette nuit là-- il faisait déjà minuit dun hiver-- je naviguais précisément dans le monde des phénomènes physiques; enfin, je me trouvais à interpréter les données et les résultats dun exercice venu dans le cahier que javais fermé déjà une heure. Dans lexercice, l’on parlait dun cerceau métallique, dont le contour est filé dans une boule dacier. La boule sans frottement considérés, va glisser sur le contour du cerceau. Il est, maintenant, question de mettre le cerceau, tel que laxe qui traverse perpendiculairement son centre soit parallèle au vertical. la boule va donc faire, cas de mouvement circulaire, son trajet de deux phases; une, de vitesse uniformément accélérée: la descente; l autre, de vitesse uniformément retardée: la montée. maintenant, si lon laisse la boule glisser, sans vitesse initiale, le long du cercle, mes remarques nocturnes furent que jamais, quelque soient, le poids de la boule, sa masse volumique, le diamètre du cercle, qui resterait toujours vertical, et quoique le travail, des frottements de résistance, soit nul; la boule, jamais, n’arriverait à son point de départ. Toute fois, il lui y manquerait quelques millimètres, voire, micromètres au point dont elle fut repartie. Pour quelle y arrive, lui faut-il, dans chaque cas, intervention dune force extérieure, la poussée dune main, par exemple, avant ou après la chute. Je me demandai tout de suite, si la boule avait pu arriver à son point de départ, même sans intervention dune force extérieure, même sans inertie- c’est-à-dire, sans avoir poussé la bille - que se serait-il produit? Quel effet aurait-on?.Simplement, si la bille arrive à ce point de départ pour la première, elle y arrivera pour la seconde,... et la nième fois: une bille qui tournera continuellement, sans besoin daucune énergie; la boule servira donc de moteur électrique, sans dépense dune autre forme dénergie, aussi même, d’un moteur mécanique quelconque. Or, c’est absurde! Bonne conclusion! celle qui puit être appliquée sur dautres phénomènes physiques. Ma méditation, m’engagea, de nouveau dans de nombreuses application, dont jaurais à citer un seul exemple. Assimilons, la boule, grosso modo, à une masse, d’une centaine de décalitres deau, que lon va lui creuser une tranchée, semblable au cerceau, d’un diamètre dune dizaine de décamètres. La tranchée est pratiquée dans un terrain, plus ou moins, en pente, d’une inclinaison de quelques degrés. Maintenant, on va verser dun, seul coup, cette masse d’eau, comme pour en faire un fleuve, au point le plus élevé du fossé. L’eau va couler le long de la fosse, prendre une descente, puis une pente, descendre et remonter, mais jamais elle narrivera au point où elle avait été déversée; sinon, on aurait eu un fleuve de flot, incessamment, tournant; de-là, en faire, par exemple, un manège gratuit. aussi, ceci est-il absurde! A l’interprétation de ces conclusions, une nouvelle déduction se présente, consistant en que la nature ait des lois strictes et infaillibles. Ces lois,date depuis la nuit des temps, et continuera dans linfini. Si dieu devait existait, cest lui que serait cette loi, ou par lui, elle sera… ! . La littérature contemporaine marocaine anônyme. 2008
Posted on: Sat, 23 Nov 2013 03:55:31 +0000

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