ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE Diabolic, LE PPRD SUPPORTE MAL - TopicsExpress



          

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE Diabolic, LE PPRD SUPPORTE MAL LE SUCCES MOISE Jean-Claude MUYAMBO KYASSA Après avoir loupé leur coup fourré du lundi 16 septembre 2013 projeté dans un restaurant de Gombe, Me Muyambo et ses compères ne se sont pas avoués vaincus. Ils se sont vite rabattus sur les concertations nationales où ils ont allés déposer un chou-rave comme document dans lequel ils prétendaient « dénoncer » la mauvaise gouvernance du gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi Chapwe. Mal leur en a pris, car ils ont été éconduits comme des importuns par les participants au groupe thématique « Gouvernance politique et finances ». « Errare humanum est, perseverare diabolicum ». Cette expression latine peut être traduite par ceci : « l’erreur est humaine, persévérer est diabolique ». Si au début les attaques dirigées par Me Muyambo Kyassa et consorts contre Moïse Katumbi Chapwe étaient mises sur le compte d’une adversité politique, avec le temps tous les observateurs en sont arrivés à se convaincre qu’il s’agit plutôt d’une haine viscérale du premier à l’endroit du second. Et dire que les deux protagonistes sont originaires d’un même territoire au Katanga, Kasenga. Comme le dit l’adage latin, la persistance de Me Muyambo Kyassa à vouloir à tout prix casser politiquement, voire physiquement, son frère Moïse Katumbi Chapwe dépasse les limites du tolérable. C’est tout simplement satanique. Le comble est qu’il a entraîné dans son entreprise belliciste d’autres personnalités, somme toutes des opportunistes à tout crin. L’opinion se souviendra de ces nombreuses « lettres ouvertes à Moïse Katumbi Chapwe» de notre fameux avocat sans qu’aucune de ses accusations ne puisse être étayée. Il s’est contenté de les mettre sur la toile (Internet) pour amuser qui pouvait l’être. Loin de jeter l’éponge, il est revenu à la charge en se servant de la tenue des concertations nationales pour dénigrer le gouverneur du Katanga, espérant l’achever politiquement. Cela avec l’appui d’une sénatrice et un ancien dirigeant de la Banque centrale du Congo. Mon œil ! Le trio de massacreurs croyait l’occasion tout trouvée pour arriver à ses fins. Ils ont déposé un document qui, à en croire des témoins, pouvait bien être un coupe-gorge s’il était confectionné sur la base des faits vrais et vérifiables. Mal en a pris aux délateurs. Après le show devant la plénière du groupe thématique, les bonnes consciences ont été secouées par un tissu de mensonges indignes de leurs présentateurs qui, en face A sont considérés comme des personnalités respectables, alors que, en face B, ils ne sont que de simples sosies de l’élite katangaise et congolaise. En droit, il est reconnu qu’accuser ou incriminer, c’est une chose ; en fournir les preuves en est une autre. Des indiscrétions glanées dans les couloirs des concertations nationales il nous revient que la feuille de chou de Muyambo et compagnie a été balayée d’un revers de la main. Des participants dont la probité morale est à toute épreuve leur ont réservé une réplique à la mesure de leurs calomnies et autres masturbations intellectuelles. Il a été rappelé aux pêcheurs en eaux troubles par la modération de la thématique, utilisée comme tribune pour débiter des futilités, que le Forum national convoqué par le chef de l’Etat avait pour objectif la cohésion nationale et la recherche de la paix. Celui-ci ne pouvait pas être transformé en une tribune pour un règlement de comptes personnels, cependant que la nation est en danger du fait de la guerre qui prévaut dans l’Est du territoire national. Pour revenir au comploteur en chef, il s’agit d’un récidiviste invétéré concernant des attaques et autres actes de sabotage à l’endroit du gouverneur du Katanga. Des sources dignes de foi nous ont rapporté qu’il avait multiplié des réunions à Lubumbashi avant de les poursuivre à Kinshasa. A l’issue de celles-ci, il a été décidé d’animer, le lundi 16 septembre 2013 un point de presse avant de saisir le Parlement qui venait de rouvrir ses portes à la même date. Pour rappel, les Katangais et la plupart des Congolais qui ont suivi la saga du conflit Muyambo–Katumbi savent que l’ancien bâtonnier du Katanga n’a de leçon à donner à personne. Bien plus, ils se demandent ce que ce dernier pourrait brandir comme œuvre dont la population pourrait avoir un bon souvenir. Que ce soit en tant qu’avocat, député national ou encore ministre du gouvernement central en charge des Affaires sociales et actions humanitaires. Au contraire, il a fait des victimes nombreuses à Lubumbashi et à Kinshasa en se faisant passer pour l’expropriateur attitré, aussi des biens immobiliers privés que de l’Etat. Le moment venu, des dossiers en souffrance au niveau des instances judiciaires finiront par être exhumés et la vérité sur Me Muyambo et ses compères éclatera au grand jour. Pour l’instant, leur démarche sordide à l’endroit du gouverneur du Katanga est destinée à étouffer ou camoufler leurs méfaits, somme toute graves commis contre la nation congolaise. Leur agitation ne peut tromper personne. La vérité, c’est Moïse Katumbi fait ombrage à beaucoup d’apprentis sorciers politiciens. Sa montée fulgurante en affaires, sport et politique a confiné dans leurs cocons tous les amateurs qui se sont servis de biens publics pour se frayer un chemin en politique.
Posted on: Sun, 22 Sep 2013 21:38:49 +0000

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