En Egypte, l’armée prend les rênes du pays, au dam de la légitimité, Morsi se trouve coincé dans une situation Cornélienne. Les médias versent, en plus, de l’huile sur le feu. Et le volcan se remue déjà. Les évènements se poursuivent crescendo dramatique et l’Egypte se met en face de la gueule du loup. Une dictature, douce comme une vipère, est en cours d’imposer sa loi sur le pays. Un nouveau Pharaon va, en détriment de la légitimité, scander : « Je suis votre Dieu suprême ». Aujourd’hui, ils sont trois à être heureux : D’abord, l’armée qui se peut jubiler d’être remise en scène, Ensuite El Baradâi, l’enfant prodige des USA et enfin l’ennemi éternel dont se dirigeant peuvent programmer des vacances tranquilles ; les arabes se tuent pas eux-mêmes. Quant aux manifestants qui siègent à la place « Tahrir », pris pourtant par une joie euphorique peuvent se comparer aux moutons de Panurge qui se jette dans l’eau. « A bas Morsi » « Irhal » dégage en arabe servira-t-elle a influencé le plan satanique de l’armée entièrement soumise aux sbires de l’ancien régime ? Vous pouvez toujours espérer.
Posted on: Wed, 03 Jul 2013 22:33:12 +0000
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