En réalité, le problème est beaucoup plus complexe, a fait savoir Hocine Malti d’après lequel si on sait aujourd’hui que Chakib Khelil, l’ancien ministre de l’Energie, »était visiblement celui qui orchestrait » le versement des pots-de-vin de la compagnie italienne Saipem à des dirigeants algériens, il y a aussi un autre personnage »au-dessus de lui », ce que Hocine Malti appelle le « parrain », à savoir celui qui garantit à Chakib Khalil une « certaine immunité et qui profite bien entendu également de la situation ». Mais qui est-ce ce parrain ? Hocine Malti se garde bien de le nommer et se contente d’indiquer qu’il est « très haut, au sommet de l’Etat » ! -
Posted on: Mon, 08 Jul 2013 22:11:00 +0000