Essayer “Présent”, c’est l’adopter ! ALAIN SANDERS Cet - TopicsExpress



          

Essayer “Présent”, c’est l’adopter ! ALAIN SANDERS Cet été, j’ai passé quelques jours avec des amis que j’aime beaucoup. Et qui, à tous égards, ont le profil type – si tant est qu’il y en ait un – de lecteurs de Présent. Curieusement, s’ils connaissaient bien notre journal, auquel nombre de leurs proches sont abonnés depuis des lustres, ils n’étaient pas eux-mêmes abonnés. Pour dix raisons. La première étant que, comme beaucoup de Français (et particulièrement les familles nombreuses, comme c’est leur cas), ils sont contraints à des acrobaties d’économies ménagères. Et puis voilà : ils ont été abonnés – dans le cadre de nos abonnements-cadeaux – par un de leurs amis qui, anonymement, leur a fait ce présent de Présent. Cet été, au moment de notre rencontre, mes amis recevaient donc le journal depuis quatre mois. Et alors ? Alors ils n’ont pas caché leur plaisir : — Comment avons-nous pu rester des années sans nous abonner ? Impensable ! Quel temps perdu ! La lecture quotidienne de Présent nous est devenue plus que nécessaire : vitale. Essayer Présent, c’est l’adopter ! Inutile de vous dire qu’au terme de cet abonnement-cadeau nous allons nous réabonner pour un an. Et inciter d’autres personnes à suivre notre exemple. Nous avons souvent eu l’occasion de le dire : les meilleurs ambassadeurs de Présent, outre ses journalistes qui se battent et se débattent dans une pauvreté digne, c’est vous. Caroline Parmentier et Jeanne Smits vous l’ont dit et répété lors de notre campagne des « 300 ». Mais il ne faut pas se lasser de le répéter. D’autant que si ces 300 nouveaux abonnements (304, en fait) engrangés vont nous permettre d’arriver à Noël, nous sommes toujours dans l’œil du cyclone. La crise de la presse quotidienne – qui s’ajoute à la crise générale – c’est aussi pour Présent. Sauf que nous, à la différence des autres quotidiens que l’on gave pour les maintenir à flots, nous ne pouvons compter que sur nos lecteurs. Pas de mécènes, pas de sponsors, pas de mannes salvatrices, pas de potes au gouvernement. Rien, nada, nicht, niente, nothing, ouallou… Présent, c’est une formidable aventure. Une sorte de petit « miracle » quotidien qui dure depuis plus de trente ans. C’est l’héritage de Jean Madiran. Plus de trente ans alors que, dès le premier mois de notre apparition, nos ennemis, ce qui est normal, mais aussi nos « bons amis », ce qui l’est moins, prédisaient notre disparition pour la semaine suivante… Reste que nous sommes très fragiles quand, au regard des événements et du rôle unique que joue Présent dans un univers politico-médiatique politiquement correct, conformiste et, à bien des égards, destructeur de notre patrie, nous devrions être portés par une vague enthousiaste. Oui : essayer Présent, c’est l’adopter ! Encore faut-il l’essayer… Et c’est là que vous, amis lecteurs, vous entrez en jeu. Ce qu’on a appelé le « Printemps français » a été porteur de formidables espérances. Encore faut-il donner à ce vaste mouvement « instinctif », qui a transformé des centaines de milliers de braves gens en gens braves, une colonne vertébrale. Présent, c’est des munitions « en plus ». C’est un supplément d’âme. Une conspiration à ciel ouvert. Un club. Alors, comme on disait naguère (1) à l’heure des plus graves dangers : « Engagez-vous, rengagez-vous ! » (1) Et encore, récemment, Jeanne Smits dans son article « C’est la guerre ! »
Posted on: Fri, 27 Sep 2013 06:38:14 +0000

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