Et vlan... du tac au tac : commentaire dune lectrice prénommée Athéna : En attendant, les femmes du Québec sont bien plus libres que celles de nombreux pays du monde arabe qui imposent le voile là où il n’était que peu porté il y a quarante ans à peine, comme l’Afghanistan et l’Iran. Les assassins des femmes du Québec sont poursuivis et, lorsque attrapés, sont jugés et emprisonnés. Dans plusieurs pays musulmans, leur assassin paie le « prix du sang » et s’en retourne chez lui. Les femmes du Québec peuvent voter depuis 1940. En Afghanistan, les talibans menacent les femmes qui vont au bureau de vote. Les femmes du Québec ont le droit d’ouvrir un compte de banque et de conserver leur salaire. Dans plusieurs pays du Moyen-Orient, les femmes n’ont pas le droit de travailler, alors elles se prostituent sous leur burqa, phénomène encore peu connu. Les femmes du Québec ont accès à l’avortement libre et gratuit. Les femmes du Québec ont accès à l’éducation jusqu’aux études supérieures, contrairement aux Afghanes, aux postes de juges et aux postes élus, sans être filles d’un politicien connu comme l’a été Benazir Bhutto. Au Québec, les viols sont pris au sérieux, contrairement à l’Égypte où une journaliste américaine s’est fait voiler dans l’indifférence générale, et en Inde, où l’Islam et l’hindouisme, deux religions machistes, ont longtemps perpétué l’indifférence devant les viols collectifs. Et comment les Québécoises ont-elles obtenu ces libertés? En luttant contre la religion et les préjugés misogynes qu’elle entretient. Et comment commence l’islamisation ailleurs? Par l’imposition du hijab au femmes, comme le vivent actuellement les Maghrébines dans tous les pays où les islamistes ont pris le pouvoir. Alors que des Québécoises musulmanes le portent tant qu’elles veulent dans leurs temps libres; mais pas pendant qu’elles travaillent rémunérées par les taxes et impôts de la population québécoise, qui n’a pas à tolérer ce « simple bout de tissu » instrumentalisé politiquement.
Posted on: Thu, 17 Oct 2013 12:13:41 +0000