Faits vécus par deux petites filles : « Enfance volée, - TopicsExpress



          

Faits vécus par deux petites filles : « Enfance volée, violée… D’un côté, une petite fille de 6 ans, trouve les mots pour expliquer à sa maman que son papa lui fait des « guiliks » à sa nénette. Cela lui fait mal, sa maman lui demande mais pourquoi papa fait cela ? La petite fille répond : « pour mettre à sa bouche ». Sa maman, horrifiée, le cœur bat à 140, envie de vomir. « Mon Dieu » pense la maman, elle remet les cases à place et comprend pourquoi 3 jours avant chaque départ en week-end chez le papa, sa fille ainée pleure, vomit, ne veut pas aller chez lui, arrivant même à être fiévreuse le jour du départ. Comprend les paroles tels : « papa veut te tuer maman, tuer ma sœur, tuer « x » (compagnon de la maman), tuer mon chien, et me tuer » ou encore « papa dit que je ne suis pas belle mais qu’il m’aime quand même » ou pire « si tu le dis, la police va venir chercher papa et je t’aime moi » ou même « je vais faire du mal à ton copain « y » …. Scène d’horreur pour la maman. Mais qu’a-t-il fait d’autre que mes filles n’osent me dire ? Faut être vigilant car il boit, il est violent, … faut pas qu’il s’en prenne à nos enfants… Une longue procédure commence. Pas de chance, une procédure pour non-paiement de pension alimentaire est également introduite en même temps. Pfft ! Le papa s’amuse à dire que c’est pour les non-paiements des pensions alimentaires que l’on l’accuse de faits de mœurs et de violence. La Justice bloque. La maman ne met plus les enfants chez leur papa. Elle les protège. La Justice ne prend aucune disposition de protection. Les psychologues, n’en parlons pas, ils sont guère mieux. Les enfants ont peur. Les psys se voilent la face comme la Justice. C’est tellement plus facile… Le papa a un grave accident, est immobilise plusieurs mois. Les enfants se sentant plus en sécurité parlent à la maman par morceau. La plus jeune parle de « pic pic », de coups à la tête, d’infirmier, de clinique, de policiers… De l’autre, le papa se positionne dorénavant en victime suite à son accident. On inverse les rôles. Et les enfants, on les oublie,… Les 2 enfants continuent à parler à leur maman de « pipi sur la tête, cela collait. On les lavait après » ou encore « elles dormaient à la cave, on leur donnait de temps en temps un jus d’orange »… Plainte sur plainte sont faites dans un premier dans un canton après faut changer, le 1er canton se moque de la maman, l’envoie d’une police à l’autre. La maman se rend ailleurs pour être entendue respectueusement, déménage également pour être en sécurité. La Justice se voile toujours la face. « Tantôt, les enfants mentent, plus tard, c’est à cause du compagnon de la maman, ou encore la maman est aliénante » c’est les nouveaux termes que les psychologues voire la Justice aiment utilisés. Tout pour enfin décider après expertise d’une psychologue qui dit après avoir vu 2 fois seulement les enfants : « Il y une certaine angoisse, peur, vis-à-vis du papa. L’ainée a demandé qu’on la protège de son papa. Il y a un conflit de parentification… Les tests ne révèlent rien hormis quelques angoisses…. » Cela fait 4 ans qu’elles ne voient plus leur papa. Une protection que la maman avec sa famille a réalisée pour que ses 2 filles se sentent mieux. Un travail énorme pour redonner confiance aux petites filles grâce d’une part des institutrices mis dans la confidence, une logopède d’exception, une association qui aide des enfants en difficultés divers, … Tout un univers que la maman a mis en place pour leur bien-être. Tout ce que la Justice ne met pas et de vrais experts, des personnes qui connaissent bien les enfants et qu’on n’a pas même pas interrogés… Et vous savez quoi : « la Justice a décidé que les 2 petites filles devaient revoir dans un premier temps leur père dans un centre » (faut bien s’imaginer que dans ce centre, le papa fera le gentil, ne les touchera pas, ilse montrera attentionné, sournois), a sous-entendu que la fille ainée avait extrapolé (voire aliénation). La plus petite, on n’en parle pas, elle n’existe pas. ET le pauvre papa reste « une victime ». POURQUOI UNE TELLE DECISION : LES ABUS EXAGERES DE CERTAINS PARENTS SUITE A L’AFFAIRE DUTROUX. Merci la Justice. Merci la Belgique. Pour que Justice soit faite : il faut beaucoup de « SANG » quand il est trop tard !!! La Justice c’est le patron de la maman. Une maman qui ne sait plus travailler, dégouté par celle-ci. Et pourtant, elle a travaillé de longues années pour mériter cette place… La maman c’est MOI. « Et je ne dis qu’une infime partie de tous ce qui s’est passé... » J’espère que le magistrat dort bien. SL
Posted on: Sun, 09 Jun 2013 21:07:02 +0000

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