G nonsiane, rendez-vous au Mondial, en Serbie ! « Avec plaisir. Je suis très heureuse. Un championnat du monde, tout le monde en rêve. Je sais que je suis une jeune joueuse dans cette équipe mais je vais tout faire pour être là en décembre. J’adore vivre ces émotions. » • Avez-vous facilement trouvé votre place dans le collectif ? « Franchement, oui ! Les filles m’ont mis à l’aise. La consigne n’était pas d’essayer des nouveautés sur un match comme celui-ci mais d’appliquer les consignes. Je sais ce qu’Olivier Krumbholz attend de moi. J’essaye de répondre à ses attentes. C’est bien d’être en équipe de France mais c’est mieux si je peux lui être utile. » « Nul n’est indispensable » • Olivier Krumbholz vante vos mérites. Rassurant, non ? « Lors du premier match, à Montbéliard (18-18) , j’étais hésitante. En Croatie, je me suis lâchée. Je n’ai plus peur de mal faire. » • Au point de prendre des tirs risqués, comme quand les arbitres ont le bras levé. Culottée, non ? « Je le sentais bien alors j’ai saisi ma chance. Tant mieux si j’ai participé à la fête. Nul n’est indispensable dans notre équipe. Les gauchères vont donner des coups de mains à gauche, les ailières montent à l’arrière. Le coach croate, lui, était limité. Il ne pouvait compter uniquement que sur son sept majeur. » • Vous n’étiez pas aux Jeux Olympiques (la France avait été éliminée en quarts de finale et a mis du temps à s’en remettre) mais on sent que c’est un nouveau groupe qui vient de naître… « Je le souhaite. Comme Marie (Prudhomme) et Béatrice (Edwige) , j’arrive seulement en équipe de France. Mais j’espère déjà lui apporter. Des maillons forts sont partis, d’autres arrivent. On reconstruit sur des bases solides ! » M. B.
Posted on: Mon, 10 Jun 2013 04:37:23 +0000