GUÉRIR DE LA SOLITUDE Le « Grand Livre de la Guérison » qui - TopicsExpress



          

GUÉRIR DE LA SOLITUDE Le « Grand Livre de la Guérison » qui fera bientôt suite à « Et l’Univers Fut » et en sera l’application, met en lumière ce processus de réalisation de soi et les freins qui y font obstacle. Le principe est simple : l’impossibilité du Néant conduit à toutes les limitations par rapport à l’infini inaccessible, on l’a largement expliqué ici, et ces limitations sont à l’origine de tous les mal-êtres. Aussi longtemps que c’est au niveau de l’ego qu’ils sont vécus. Car s’ils sont vécus avec la foi, tout change. La gratitude supplante la douloureuse résistance aux apparences qui a pour effet de les reproduire et de les prolonger. « Ce à quoi on résiste persiste », dit-on. Evidemment, tout ce que je n’aime pas, tout ce que je n’intègre pas en tant que passé créé et béni, redevient un besoin spirituel, et donc je le recrée. Le besoin spirituel s’éteint lorsque la leçon est intégrée. Et donc on cesse de créer cela. Normal dans ces conditions que ce que je n’aime pas perdure, et que je perde ce que j’aime. Pas systématiquement mais souvent. L’Omniscient fait son boulot, l’ego est là comme instrument. Plus tôt il accepte ce rôle, mieux c’est pour lui. Cette identification à l’Omniscient, toujours partielle évidemment, et non plus à l’ego, constitue la clef de toute guérison. On pourrait dire aussi que cela consiste à « s’extraire du contexte pour le dominer, le relativiser, le voir d’en haut ». Je ne suis plus celui qui subit, je suis Celui qui sait et qui organise sans vouloir. Voilà qui peut nous donner une indication précieuse sur la démarche à suivre dans toute situation de crise : l’ego, c’est une vibration parmi d’autres. Le Soi, c’est le Principe de la Vibration lui-même. L’ego c’est ce que je vis, le Soi c’est la vie. C’est le fait de résister à la vie qui fait la maladie. Pourquoi donc résisterais-je à la vie ? Parce que ce faisant, je maintiens mon ego dans des limites, au lieu de « m’infinitiser ». C’est le rôle du mental de maintenir et défendre les limites de l’ego. Je suis cette vibration et je la reste. Evidemment, mon infinité potentielle tire en avant, et voudrait bien que je progresse vers la Totalité. C’est cette résistance à la volonté inconsciente qui, de temps en temps, produit des déboires douloureux. Quand quelque aspect de nous-même résiste trop. Quand nous restons trop attaché à un passé, à une mémoire émotionnelle qui nous définit, quand le changement nous appelle mais que nous préférons avoir raison. Pourtant, la guérison passe par la transformation. Toujours et partout des chenilles et des papillons. Le papillon en nous pousse, mais la chenille résiste et ça lui fait mal. Si on fait taire les symptômes avec des médicaments, le soulagement viendra peut-être, mais ce sera reculer pour mieux sauter d’une autre façon. La transformation ne consiste pas à tout intégrer tout de suite. On ne sera pas infini. Mais elle consiste à intégrer au moins quelques nouvelles dimensions auxquelles il est urgent de s’ouvrir. En fonction de mon état actuel, il y a des choses que j’ai besoin d’intégrer, pour d’autres ce n’est pas d’actualité, et quelques vibrations complémentaires suffiront à ma guérison. Ce qu’on entend par « vibration » c’est un niveau d’intention entre séparation et unité. Un rapport de force entre ces deux aspects de l’Etre, entre répulsion et attraction, entre « Yin » et « Yang ». On a par exemple expliqué précédemment que les effets de la radioactivité, extrême du Yin, peuvent être compensés par l’extrême du Yang : le magnétisme naturel planétaire. Par rapport à chaque niveau de limitation correspond un niveau complémentaire dont on a besoin à un moment donné. Certains de nos lecteurs ont appris à utiliser par exemple les longueurs d’onde des couleurs pour cela. On pourrait utiliser aussi les sons, ou les odeurs, ou autre chose, mais c’est plus compliqué. Avec les couleurs c’est très facile et très efficace. La nouvelle Radiesthésie vibratoire permet de savoir quelle est sa couleur vibratoire, et quelles couleurs vont compenser le problème, très précisément, et permet aussi de l’émettre et de l’intégrer. C’est une technique simple et extrêmement utile tant sur le plan physique que psychologique. Eugénie Rosec l’enseigne en France. D’une façon plus générale, on peut dire que c’est l’ouverture de l’ego à l’esprit universel qui est source de toute guérison. Ainsi si je me définis comme une couleur ou une combinaison de couleurs, la guérison absolue consistera à être tout l’arc-en-ciel. D’intégrer les autres vibrations. Car être le Soi c’est être tout, l’ego est toujours en manque. Si je me définis selon une lettre hébraïque, qui est une vibration active, parce que ma psychologie est tournée vers un mode de fonctionnement et non un autre, alors ma guérison passera par l’intégration de toutes les lettres hébraïques, dont la totalité couvre tout le spectre universel à partir du IOD : le Soi. Dont toutes les autres caractéristiques personnelles ou cosmiques sont des aspects partiels qui en découlent. Evidemment cela n’a pas de sens pour tout le monde d’intégrer des lettres hébraïques. Il y a des gens pour qui cela ne signifie rien. Elles doivent utiliser d’autres techniques. Mais le principe est le même. Si je suis tout l’alphabet, je suis libre. Si je suis une partie de l’alphabet (un « nom », une combinaison de lettres qui correspond à une création puisque c’est le Verbe créateur qui est contenu dans ces lettres, « nommer » signifiant « créer » en Hébreu), alors il est normal qu’à un moment où un autre la Totalité revendique et engendre des dysfonctionnements si j’y résiste. Et bien sûr on a toujours tendance à résister aux événements, à ne pas tout accepter. Rappelons qu’accepter ne veut pas dire se soumettre, se résigner, ou ne pas réagir. Pas du tout. Accepter ne s’applique QU’AU PASSE, et signifie simplement qu’on se reconnaît CRÉATEUR de ce passé. On en a parlé dans notre précédente chronique. Il n’y a rien à accepter qui ne soit passé. A tout instant, tout est libre, il y a juste à décider, à prier, à imaginer. Par contre le passé n’a plus aucun pouvoir à tout instant, et ce que je perçois est toujours nécessairement du passé, puis qu’issu d’une création. Il n’a du pouvoir que si je le repousse en le croyant objectif, extérieur, présent. Ce qu’il n’est pas. Le « Principe de réalité » inventé par les manipulateurs et les matérialistes, n’a strictement aucune réalité. Ce n’est qu’en donnant du pouvoir à ce que je perçois que je m’y soumets. Si j’en nie la réalité, sachant que c’est illusion (« intérieur à l’esprit » et déjà passé) et tourne mon attention présente vers ce que je ne vois pas (réalité de l’Omniscient), alors je me libère, je guéris, je deviens moi-même. Si j’argumente pour mon passé je le renforce. Si je crois à l’invisible, je laisse le But agir, je ne lui oppose pas de résistance, je suis en harmonie avec l’Absolu. Tout va mieux. Et je suis invulnérable. C’est l’histoire du Roi David qui s’accroche à son rocher (le Soi) dans la tourmente. Au milieu des nuées de flèches, « Que mille tombent à ton côté et dix-mille à ta droite, toi tu restes hors d’atteinte ». Il n’y a pas que les lettres hébraïques et les couleurs. Le même principe vaut pour les nombres. Un nombre, on a expliqué pourquoi dans ces colonnes, c’est une vibration, une énergie, et pas du tout une abstraction sans vie. Cela n’a rien de mental. Je peux aussi me définir comme nombre ou combinaison de nombres. Il y a donc un grand choix d’autre nombres ou combinaisons de nombres pour compenser les problèmes liés à ces limitations. Grabovoï est spécialiste de cela. Mais plus simplement avec la Nouvelle Radiesthésie vibratoire, on peut aussi trouver et utiliser les nombres dont on a besoin. Enfin, dernier exemple, nous nous définissons tous comme un signe astrologique ou une combinaison de configurations astrologiques. La configuration parfaite serait la combinaison de toutes les combinaisons possibles, ce qui est impossible. Mais plutôt que de défendre mes limites, je peux aussi les transcender et intégrer la vibration d’autres signes ou d’autres configurations. C’est ainsi que certains ont « dépassé » leur thème astrologique et ont atteint un niveau de liberté qui fait qu’on ne peut plus rien prévoir pour eux. Cela est un état normal. Je ne suis pas là pour rester ce que j’étais et subir les circonstances. Une fois que j’ai compris que c’est moi qui crée les circonstances pour confirmer ce que je crois être, il ne me reste plus qu’à reprendre en mains ces circonstances, et les créer sciemment en ensemençant mon inconscient des vibrations dont j’ai besoin, ce qui en fait consiste simplement à en prendre conscience, car on ne peut rien ajouter à l’Omniscient, on ne lui insuffle rien, on ne le force à rien créer. La seule chose qu’on peut faire, c’est prendre conscience de notre potentiel infini, reconnaître que tel ou tel potentiel est en nous alors qu’on l’ignorait, et comme dirait un quantique, même si le quantique restera toujours de la Physique et jamais de la Métaphysique : « c’est l’acte d’observer qui engendre la particule ». Alors attention à ne pas observer ce dont on n’a pas envie. Car de hasard il n’y a pas. Ou bien je crois au passé, l’observe, et donc je le recrée, ou bien je l’accepte comme passé, cesse de le voir et de lui donner du pouvoir, et alors l’amour laisse place à du nouveau. Etre créateur, c’est ne jamais être quelque chose. C’est la seule guérison. « Si tu défends tes limites, à coup sûr ce sont les tiennes » (Richard Bach)
Posted on: Mon, 14 Oct 2013 08:36:29 +0000

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