INCH ALLAH SI TELL EST TA VOLONTE JE TRANSMETS Je viens de vous - TopicsExpress



          

INCH ALLAH SI TELL EST TA VOLONTE JE TRANSMETS Je viens de vous avoir au téléphone, je me permets de vous transmettre ce dossier il y a les dates, les faits et les noms, j’ai arrêté ces investigations en 2007 peu avant la naissance de mon fils pour m’occuper de lui et de sa mère, J’avais souhaité reprendre les procès en décembre 2009, la suite vous la connaissez déjà Mes salutations. DOSSIER VIOLON SUBSTITUTION DE MON VIOLON . RESUME LITIGE VIOLON Déposé en prêt sur gage au crédit municipal de paris le 12 mai 2003 portant étiquette de Istvan KUDLIK et d’Antonio STRADIVARIUS Suite à Expertise judiciaire le mardi 7 décembre 2005 à 09h00 Lieu : Crédit Municipal de Paris Date : Mercredi 7 décembre 2005 à 09h00 Expert : Monsieur Serge BOYER Partie adverse : Madame FERRE ( Service juridique ) Monsieur SARAGOSTI ( service hôtel des ventes ) Maître GRAU Monsieur le Procureur de la République, Moi, KRAPPA DEMARQUE Tankassi Sébastien Emmanuel Je jure devant la Loi des hommes Je jure devant Dieu de dire la Vérité, toute la Vérité, rien que la Vérité. J’accuse une ou plusieurs personnes au Crédit Municipal de Paris et une ou plusieurs personnes à l’extérieur du crédit Municipal de Paris de : - Violation de la Loi Faux et d’usage de faux D’abus de confiance ’abus de faiblesse D’abus de position dominante De délits d’initiés D’abus de biens sociaux De vol avec préméditation De malversation Dans le cadre de la SUBSTITUTION MANIFESTE de mon violon déposé au crédit municipal de paris en prêt sur gage le 12 mai 2003 J’accuse Monsieur ERARD de : - Violation de la Loi ( contractuel et décret loi ) Faux et d’usage de faux ( en écriture ) D’abus de confiance D’abus de faiblesse De mensonge J’accuse Monsieur CHANCEREUL de : - Faute professionnelle grave Faux et usage de faux en écriture Mon violon porte deux étiquettes. Une de Istvan KUDLIK visible au premier coup d’œil situé juste en dessous de l’ouie ne portant pas date de fabrication. Une de Antonio STRADIVARIUS dont je n’ai jamais soupçonné l’existence et qui m’a été révélé le 5 mai 2003 par Monsieur Giles CHANCEREUL lors de l’expertise obligatoire demandée par le crédit municipal de paris. Cette étiquette se situe au fond à droite. Il faut l’utilisation d’une lampe de torche et beaucoup de persévérance ( incliner le violon selon un angle précis ) pour la voir. Elle se compose d’une partie rectangulaire et d’une autre petite partie carrée. Je ne distinguais pas les contours de l’étiquette et celle ci se confond avec le bois. ( elle est imprégnée ). Sur la plus grande partie ( elle est très longue et large ), il y avait écrit en italien Antonio stradivarius facibat cremonenfis puis di Anno I6—( le 1 en chiffre romain et le 6 en miniscule ). Les DEUX DERNIERS CHIFFRES sont ILLISIBLES. Puis il y a une mention du genre FATTO DI ANNI GO . J’ai cru à l’époque qu’il s’agissait de « OFFERT A MON AMI » c’est pourquoi j’ai toujours écris cela depuis le 6 mai 2003. Il y a ensuite un petit A et S cerclé sur une Croix. ( la croix du CHRIST ). Puis sur la deuxième partie de l’étiquette qui est petite et carrée, il y a UN DESSIN : LE CHEVAL AILEE. ( document joint en annexe et imprimée le 6 mai 2003 – le lendemain de l’expertise -à partir du site de Monsieur MARCELLO VILLA à qui j’ai du envoyé un mail le 6 mai 2003 et que j’ai sollicité par téléphone en juin 2004 et qui m’a orienté vers le cabinet VATELOT RAMPAL ). Aujourd’hui ( le 7 décembre 2005 à 09h00 ) Le crédit municipal de paris me présente un violon avec une étiquette de Antonio STRADIVARIUS qui se situe AU DESSUS et EN PLEIN MILIEU d’une étiquette de KUDLIK ISTVAN. L’étiquette de STRADIVARIUS est au moins 4 fois plus petite que celle que j’ai vu. Il n’y a plus le dessin du cheval ailée. Il Y a désormais une date de 1747 ( ou 1744 je crois…j’étais tellement écœuré que je n’ai pas retenu cela ). LA SUBSTITUTION EST MANIFESTE . Je ne savais pas pourquoi on m’avait mis sous surveillance physique ( je m’en suis rendu compte en novembre 2003 – ma concubine s’en plaignait depuis le mois de septembre et elle a disparu en avril 2004 ). Je ne savais pas pourquoi on m’a piraté mon ordinateur ( je m’en suis rendu compte en mai ou juin 2004 ). AUJOURD’HUI JE SAIS POURQUOI . INTRODUCTION GENERALE Je m’appelle KRAPPA DEMARQUE Tankassi Sébastien Emmanuel. Je suis né le 21 septembre 1970 à Abidjan en côte d’ivoire d’une mère française ( Madame DEMARQUE Evelyne – professeur de philosophie ) et d’un père Ivoirien ( Ancien Directeur National technique de la fédération de boxe ivoirienne ). J’ai commencé la musique à 6 ou 7 ans à l’école Jean Mermoz ( Abidjan ) puis le violon à 8 ou 9 ans en regardant les « frères AYNARD ». ( l’un jouait de la clarinette, l’autre du violon ). J’ai fréquenté le conservatoire national des arts et métiers à Abidjan en côte d’ivoire jusqu’en 1981 date à laquelle j’ai quitté la côte d’ivoire. Inscrits en 1982 au conservatoire de musique de valenciennes, j’ai obtenu la mention très bien à mon examen et ai été pris dans l’orchestre des élèves du conservatoire de valenciennes. Malheureusement, ma mère à été affecté à Niamey au Niger en 1982 ( 83 ). C’est avant notre départ que Monsieur BENCAK, mon professeur de violon en côte d’ivoire ( Yougoslave et tsigane ) a vendu ce violon à ma mère. J’ai joué au niger avec un professeur de musique belge. J’ai quitté le niger en 1986 ( ou 1985 ) pour étudier en françe. Ma mère m’a envoyé au Collège CEVENOL INTERNATIONAL ( situé au Chambon sur lignon ) où j’ai joué dans un groupe de l’école. C’est cette année que mon violon a été cassé ( un copain s’est assis dessus sans le voir ). Je l’ai envoyé à ma mère qui l’a confié à réparer à Monsieur PANHANLEU. C’est LA SEULE et UNIQUE fois où j’ai confié ce violon à un luthier avant que Monsieur CHANCEREUL ne l’expertise à la demande du Crédit Municipal de Paris le 5 mai 2003 dans le cadre d’un prêt sur gage que je sollicitais. LES FAITS Arrivé sur Paris le 2 ou 3 mai 2003 avec seulement 300 euros, sans travail et sans logement, je décide le 5 mai 2003 de me séparer de mon violon. Je me présente donc le 5 mai 2003 au crédit municipal de paris. On me demande d’expertiser ce violon pour en donner une estimation et on m’oriente vers Monsieur Gîles CHANCEREUL. Je me présente le même jour chez l’expert. Expertisé avant dépôt par Monsieur Gilles CHANCEREUL le 5 mai 2003 « Le violon présenté à mon examen, est un violon, fait en Hongrie, par Itsvan KUDLIK, dont il porte étiquette ainsi qu’une étiquette apocryphe d’Antonio Stradivarius. L’instrument est accompagné d’un archet réparé, ainsi que d’un étui Bam. L’ensemble présente en nos ateliers une valeur de 2 250 €. » J’ai attendu dans les locaux de l’expert. Il a pris mon violon et ai descendu en bas. Il est remonté accompagné d’un jeune homme. Il m’a posé plusieurs questions : ou, quand, qui, a combien avez vous eu ce violon. Puis il m’a lu son expertise et a marqué un temps d’arrêt avant de dire « ainsi qu’une étiquette apocryphe d’Antonio STRADIVARIUS ». J’ai eu des frissons dans tout le corps. J’ai pris mon violon et je me suis précipité chez moi. J’ai dis à la personne chez qui je vivais qu’il y avait une étiquette d’antonio stradivarius dans mon violon. J’ai cherché, je n’ai rien vu. Je lui ai demandé si il avait une lampe de torche, il m’a répondu non et m’a proposé de demander une lampe de torche à son voisin. J’ai vu, il a vu, le voisin a vu cette étiquette de Antonio STRADIVARIUS et l’un d’entre eux que j’ai pu rencontrer qui ne souhaite pas témoigner se rappelle parfaitement du DESSIN, des deux derniers chiffres de la date qui sont illisibles et du fait que cette étiquette se situe au fond à droite et non pas sur celle de KUDLIK et aussi de la mention « offert à mon ami ». ON NE PEUT PAS OUBLIER CE GENRE DE DETAILS. Le 6 mai 2003, j’ai effectué des recherches sur internet et ai écrit à Monsieur Marcello VILLA. ( documents joints ) Pourquoi ? Parce que j’ai vu sur son site un violon avec le même dessin ( le cheval ailée ) qu’il y a dans mon violon. Je lui ai écris le 6 mai 2003 que mon violon portait deux étiquettes : une de istvan KUDLIK et une autre de Antonio STRADIVARIUS. J’ai écris en anglais que les deux derniers chiffres étaient illisibles, qu’il y avait une mention « offert à mon ami » et qu’il y avait ce dessin ( le cheval ailée ). Je n’ai pas eu de réponse. Je me suis présenté à 5 ou 7 luthiers vers la rue de rome à paris et leur ai demandé à combien ils estimaient mon violon. Les réponses furent variable 5.000 à 30.000. Je leur ai demandé de quand datait ce violon. Ils m’ont répondu 150 – 200 ans d’origine allemande. J’ai ensuite téléphoner à un luthier qui m’a répondu : monsieur, des violons portant des étiquettes d’antonio stradivarius il y en a plein. J’ai alors arrêté mes recherches. Pour quelles raisons aurais je eu un véritable STRADIVARIUS dans les mains ? Déposé par mes soins le 12 mai 2003 au Crédit Municipal de Paris. Il m’a été établi un contrat de prêt sur nantissement. Je n’avais plus d’argent sur moi et j’étais tellement content d’avoir 1100 euros que je n’ai pas lu le contrat de prêt sur nantissement qui m’a été établi et plus particulièrement la désignation des objets mis en gage. A cette date, à mes yeux, il s’agissait d’une étiquette apocryphe d’Antonio STRADIVARIUS donc sans valeur ( financière ). C’est après que j’eu déposé ce violon au crédit municipal de Paris que ma vie va devenir un véritable enfer. En septembre 2003, mon amie ( Madame RATOVONDRAHONA Patricia ) avec laquelle je vivais depuis plus de 4 ans ( à Toulouse puis à paris dès que j’ai trouvé mon appartement à la queue en brie ) s’est plainte à de multiples reprises d’une SURVEILLANCE PHYSIQUE. J’ai CONSTATE en effet quelques temps plus tard ( en novembre 2003 ) que mon amie était dans le vrai mais je n’ai pas voulu à ce moment là l’inquiéter. Tout mes déplacements sur paris étaient sous surveillance et au début on me prenait régulièrement en photo. Je ne SAVAIS PAS pour quelles raisons et mon anxiété m’a conduit quelques mois plus tard à subir un MALAISE CARDIAQUE. ( j’ai été emmené à l’hôpital par le SAMU ) A partir de novembre 2003, les ASSEDIC m’ont COUPE TOUTES MES RESSOURCES. ( motif : présenter nous un avis de non imposition. J’avais présenter la photocopie de mes déclarations certifiés conformes ). J’ai vécu plus de 6 mois sans travail et sans allocations. Mon amie ( Patricia ) est rentré un soir de avril 2004 et elle m’a dit : « Tan, j’ai peur, je n’ai pas envie de mourir, je m’en vais ». JE NE L’AI PLUS JAMAIS REVU DEPUIS CE SOIR LA. Elle pensait que les problèmes venaient de l’Armée française que j’ai servis de 1991 à 1997 en qualité d’Instructeur des élèves officiers du personnel navigant au sol ( Pilote et navigateur ) sous le matricule NIA : AH 27785 D. Et de mon origine Ivoirienne. ( la guerre en côte d’ivoire ). Le 10 février 2004 ( quelques mois avant son départ ), j’obtiens un rendez vous avec un avocat à la maison de la justice ( 6 rue bardinet – Mértro plaisance - 0145452223 ) parce que : 1) je n’avais plus de ressources pour vivre 2) on m’avait mis sous surveillance physique J’ai finalement annulé ce rendez vous avec Monsieur VERGEZ. J’ai eu peur des conséquences ( je pensais qu’il s’agissait de Maître VERGEZ ) et surtout je n’avais à ce moment précis pas compris d’où venait CE PROBLEME. J’ai appelé ce monsieur aujourd’hui, il s’agit d’un homonyme, je lui ai demandé si il avait trace de mon rendez vous avec lui, il m’a dit que non, il supprime les rendez vous chaque année. J’ai écrit au Directeur de la DDTEFP, au Directeur du centre des impôts à toulouse et au Ministre des affaires étrangères en mars ou avril 2004. On m’a enfin redonner mes allocations deux semaines plus tard. Pendant cette période et même après, j’ai survécu en faisant passer des annonces dans Paris Panam : Dépannage informatique à domicile – Toujours sous surveillance, je me suis présenté en avril 2004 dans 3 Gendarmeries différentes et un commissariat de police pour déposer une main courante. REFUS DE PRENDRE MA MAIN COURANTE, on m’a orienté vers le procureur de la république de Créteil. J’ai encore eu peur des conséquences et n’ai jamais écris au Procureur de la république. Fin mai 2004 Le contrat stipule : « A l’échéance, à défaut de dégagement ou de renouvellement, les objets seront vendus aux enchères publiques sans préavis ni mise en demeure, sur simple décision du directeur du C.M.P rendue exécutoire par le Président du Tribunal de Grande Instance. Des frais de préparation à la vente de 15 %…etc.. » En conséquence, en juin 2004, je téléphone au Crédit municipal de Paris pour leur demander si le violon a été vendu. On me répond non et on me demande de venir « signer un acte de vente ». PROBLEME : POURQUOI ? C’est à ce moment précis que je réalise ( en juin 2004 ) que le contrat de prêt sur nantissement qui m’a été établit le 12 mai 2003 n’est pas conforme à l’écrit de Monsieur Gilles CHANCEREUL. Le contrat stipule : « Il a été consenti un prêt de MILLE CENT EUROS sur : - 1 violon hongrois par Istvan KUDLIK avec un archet un étui rigide et une expertise de Mr CHANCEREUL en date du 5 mai 2003 Parties rayées tachées usagées restaurations . » Plus AUCUNE mention n’est faite de l’étiquette d’Antonio STRADIVARIUS. Je demande donc : 1) Une modification de l’écrit en juin 2004 à Madame TAUPIN ( chargé de clientèle service art et patrimoine ) pour y faire mention de « Etiquette apocryphe d’Antonio STRADIVARIUS ». REFUS du Crédit Municipal de Paris. JE DECIDE DONC D’APPROFONDIR MES RECHERCHES SUR ISTVAN KUDLIK et ANTONIO STRADIVARIUS. Je téléphone à Monsieur MARCELLO VILLA en Italie par l’intermédiaire d’un italien en France. Au vu des éléments que je lui ai communiqué ( le 1 en chiffre romain, le 6 en lettre manuscrite, le cheval ailée et la mention de « offert à mon ami », Monsieur MARCELLO VILLA m’a conseillé de téléphoner au cabinet VATELOT RAMPAL. J’ai appelé ce cabinet le même jour de la même cabine téléphonique. La dame qui m’a répondu et qui m’a mis plus de 5 ou 6 fois en attente ( je suppose qu’elle transmettait les informations que je lui communiquai à l’expert ) m’a dit ceci : « Monsieur KRAPPA, vous pensez avoir un STRADIVARIUS au crédit municiapl de Paris au vu des recherches que vous avez faite et vous souhaiteriez que l’expert se déplace gratuitement pour expertiser ce violon dans le cadre d’une expertise auquelle vous avez droit au renouvellement du contrat. » J’ai dit oui, c’est exact Madame. Elle a répondu : « D’accord, il se déplacera, on ne sait jamais….. ». Je paie les intérêts le 7 juillet 2004 et je demande une : 2) Nouvelle estimation de mon violon comme stipulé sur les conditions générales du contrat de prêt sur nantissement « A l’échéance et sans préjudice des dispositions prévues dans la clause « EFFETS DE LA GARANTIE », il peut être renouvelé sous réserve de l’accord du CREDIT MUNICIPAL DE PARIS ( C.M.P ) et du paiement des intérêts et frais échus. Le renouvellement aura lieu aux conditions générales notamment de durée, et financières en vigueur au jour du renouvellement. Il sera procédé à une nouvelle estimation du gage… ». REFUS du Crédit municipal de Paris Je précise que le Monsieur qui m’a répondu m’a dit ceci : « Monsieur KRAPPA, vous avez déjà rencontré Madame TAUPIN il y a 15 jours et elle vous a dit que ce n’était pas possible ». Je lui ai dis qu’en effet, j’avais demandé une modification de l’écrit et une autre estimation avant la vente de mon violon aux enchères et que Madame TAUPIN me l’avait refusé. Je lui ai fait remarqué que la situation n’était plus la même et que cette fois ci, j’avais DROIT à cette nouvelle estimation de mon violon puisque CONTRACTUEL. Ce Monsieur A RAJOUTE CECI : « Le responsable du service vous a dit que la nouvelle estimation n’était possible qu’à la condition que la valeur du bien dépasse un certain montant » FAUX, rien ne stipule cela sur le contrat et puis JE N’AI JAMAIS RENCONTRE CE MONSIEUR. De qui parlait il à ce moment précis ? Du responsable du service art et patrimoine Monsieur ERARD ? J’ai payé les intérêts le 12 juillet 2004 et pensait me rendre au cabinet VATELOT RAMPAL plus tard pour convenir d’un rendez vous pour expertiser mon violon. FIN JUILLET 2004 Je me rends au Cabinet VATELOT RAMPAL et là surprise : La dame me dit ceci : « Qui avez vous eu au téléphone ? on ne vous a jamais dis que l’on se déplacerait pour expertiser votre violon. Personne ne vous a eu au téléphone et de rajouter…..Monsieur CHANCEREUL est également expert près la cour d’appel de Paris et…vous devez être un expert en stradivarius maintenant. » DEGOUTE, je suis partis, avec la CONVICTION qu’il POUVAIT VERITABLEMENT S’agir d’un STRADIVARIUS. J’AVAIS ENFIN COMPRIS LES RAISONS POUR LESQUELLES ON M’AVAIT MIS SOUS SURVEILLANCE PHYSIQUE. Les résultats de mes recherches documentaires sur ISTVAN KUDLIK sont édifiantes. Référencés dans au moins 6 dictionnaires universels de luthiers, Monsieur ISTVAN KUDLIK est considéré comme un REPARATEUR ESTIME et rien ne fait mention d’une quelconque FABRICATION de violon de sa part. « Né en 1908 à SABADKA, élève de son père, travailla chez MACHNITZ puis s’installa en 1943 à Nagykanisza – Belle lutherie, REPARATEUR ESTIME. » JUILLET – AOUT 2004 Je rentre en contact avec : - Madame EMMANUELLE VIDAL ( service juridique ) de la maison CHRISTIES pour obtenir des informations sur KUDLIK et sur l’étiquette de STRADIVARIUS. - Monsieur GYORGY LASZLO ( chargé de mission à l’institut hongrois de paris ) pour obtenir des archives sur KUDLIK Istvan et avoir la PREUVE IRREFUTABLE qu’il a réparé un STRADIVARIUS. - Madame Anne Marie GALLAND ( consul de France en Hongrie ) pour obtenir les numéros de téléphone des municipalités de ZABADKA et de NAGYKANISZA ainsi que des informations sur les enfants de KUDLIK si il en a eu. - Monsieur Pierre GOSSELIN ( président d’une association franco-hongroise ) pour obtenir les archives sur KUDLIK. - Madame JUTO ( CIEH Paris – centre international des études hongroises ). - le conseil des ventes aux enchères ( Paris ) pour savoir si le crédit municipal de paris relève du conseil. - Monsieur NGABANDA Philémon ( un ami professeur de mathématique sur toulouse ) pour lui demander 1200 euros pour RECUPERER mon violon. RESULTATS DE CES ENTRETIENS Monsieur NGABANDA Je l’ai sollicité en aout 2004 pour lui raconter ce qui m’arrivait et lui ai demander de m’avancer 1200 euros pour que je RECUPERE MON VIOLON. MA PREMIERE REQUETE AUPRES DE MES AMIS ET DE MA MERE A ETE DE LEUR DEMANDER L’ARGENT POUR REPCUPERER MON VIOLON. JE NE PENSAIS PAS MENER DES PROCES. J’AI D’AILLEURS SOLLICITER LA MEDIATRICE POUR INTERVENIR DANS MON DOSSIER ET FAIRE EN SORTE DE MODIFIER L’ECRIT SUR LE CONTRAT ET FAIRE L’EXPERTISE qui est CONTRACTUEL ET REGLEMENTE PAR DECRET LOI. A cette date, j’évoquais la possibilité d’une substitution de mon violon mais je n’y croyais pas et je cherchais encore une solution pour récupérer mon violon. J’ai fais parvenir à Monsieur NGABANDA trois mails dans lesquels je lui exposais la situation. Je précise que Monsieur NGABANDA m’a dit ne pas avoir reçu mes mails alors même que je les lui avait envoyé. Mon gestionnaire de courriers électronique précisait « Mail envoyé » Pour quelles raisons n’avait il pas reçu ses mails ? Je tiens à préciser que ce genre de situation s’est reproduits à de multiples reprises et que j’avais déposer une plainte à wanadoo en juillet 2004 pour PIRATAGE INFORMATIQUE A partir de l’ordinateur de Monsieur GERARD DOMIN. Institut hongrois de Paris. ( 92 rue Bonaparte Paris – 01 43 26 89 92 ) Monsieur GYORGY LASZLO que j’ai rencontré la première fois en juillet 2004 me semble t’il m’a orienté vers Monsieur ERDELY SANDOR à BUDAPEST. Monsieur Gyorgy LASZLO m’a dit un jour dans ces locaux lors d’un appel téléphonique avec l’expert Monsieur ERDELY SANDOR : « Monsieur SANDOR dit que si ce violon est un véritable STRADIVARIUS, c’est normal que l’on vous ai mis sous surveillance physique ». Je précise également que c’est à la demande de Monsieur ERDELY SANDOR que j’ai appelé plusieurs fois à Budapest que je me suis rendu à l’institut hongrois de paris pour téléphoner avec Monsieur LASZLO. Je précise que quelques semaines plus tôt, Monsieur GYORGY LASZLO m’avait dit ceci au téléphone et je PESE mes mots : « Monsieur KRAPPA, je ne peux pas m’impliquer davantage dans votre affaire, vous n’êtes pas sans savoir que nous sommes également dans les locaux du consulat de Hongrie et que je risquerais de créer un incident diplomatique ». Monsieur LASZLO que j’ai eu au téléphone le 8 décembre dernier m’a dit ceci : « Je ne peux rien faire pour vous – je suis diplomate, je serais à votre place je laisserais tomber pour reprendre une vie normale – c’est l’état français on ne peut rien faire. » Je lui ai dis : « Non, ce n’est pas l’Etat français, c’est un homme ou plusieurs simplement. » Je précise également et je joints le mail reçu de Monsieur LASZLO après son retour de Hongrie dans lequel il stipule : « croyez bien que je regrette que vous n’ayiez pas encore réussi à récupérer votre stradivarius…..mais dans ces circonstances….. » Je n’ai jamais dis à Monsieur LASZLO que mon violon est un stradivarius. Je lui ai toujours dis qu’il porte deux étiquettes : une de KUDLIK et une de STRADIVARIUS et que ma conviction est que ce violon a été réparé par KUDLIK et qu’il a été fabriqué par STRADIVARIUS mais je n’en suis pas sur à 100 % C’est pour CETTE RAISON que je souhaite OBTENIR LES ARCHIVES SUR KUDLIK. CHRISTIES J’ai sollicité CHRISTIES en juin ou juillet 2004 et me suis entretenu avec Madame Rebecca TITCOMBE l’assistante de JAMY BUCHANAN à Londres Tél : 00 44 20 77 52 33 65. ’est cette dame qui m’a orienté vers Madame VIDAL sur Paris au 01 40 76 83 63. Je n’ai appelé Madame VIDAL qu’en septembre 2004 et ai laissé un message sur son répondeur. Suite à cet appel téléphonique, Madame VIDAL m’a laissé un message sur mon téléphone que j’ai retranscrits et que je vous rapporte noir sur blanc. « Bonjour Monsieur KRAPPA – Emmanuelle VIDAL de la maison CHRISTIES à l’appareil. Vous avez cherché à me joindre, je suis désolé j’étais absente du bureau, donc si si vous voulez je vous rappelle . on peut se parler ce soir ou même ce week end si si c’est urgent. Je vous laisse mon numéro de portable qui est le 06 77 85 16 81. Je pense, vous m’avez dis que vous avez des questions légales donc je pense avoir une idée du genre de question que vous allez me poser et j’ai déjà commencé à faire des recherches pour vous pour pouvoir vous donner une meilleur réponse donc n’hésitez pas à reprendre contact avec moi directement sur mon portable. » Nous nous sommes également échangé 2 mails et puis deux semaines plus tard lorsque je l’appelle elle me dit ceci : « Monsieur KRAPPA, nous ne pouvons pas nous impliquer dans les affaires internes du crédit municipal de paris et puis on risquerait de griller une personne qui travaille pour nous et qui est là bas…… » Je l’ai appelé le 8 décembre 2005 et elle me dit : on ne peut rien faire, arrêtez de m’appeler tout les 6 mois » CONSULAT DE France EN HONGRIE Madame Anne Marie GALLAND m’a appelé suite à un fax que je leur ai adressé et m’a communiqué les numéros de téléphones de la municipalité de NAGYKANISZA et de ZABADKA. Elle m’a appris que ZABADKA ne se trouvait pas en Hongrie mais en serbie. Monsieur PIERRE GOSSELIN : AMIS DU JUMELAGE ARAGNY – KOMLO Ce Monsieur à qui j’avais simplement demandé des archives sur KUDLIK car propriétaire d’un violon portant son nom m’a dit la première fois que je l’ai appelé : « Comptez 3 semaines et vous aurez les documents » Trois mois s’écoulent, il m’appelle et me dit ceci : « Monsieur, mauvaise nouvelle, la responsable des affaires culturelles à la municipalité de Nagykanisza ne comprend pas, IL N’Y A RIEN SUR ISTVAN KUDLIK ». Madame JUTO – Centre international des études hongroise M’écrit par mail : « je ne peux pas vous aider ». LE CONSEIL DES VENTES AUX ENCHERES M’écrit par mail : « Le crédit municipal de paris ne relève pas de la compétence du conseil » et oralement me dit : « nous transmettons votre dossier à Monsieur Serge ARMAND – le commissaire du gouvernement près le conseil. » SEPTEMBRE 2004 Je demande donc 3) Un accès physique au violon en septembre 2004 auprès de Madame FERRE ( service juridique C.M.P ) pour faire des photos sur les conseils de la maison CHRISTIES. REFUS du crédit municipal de paris ( j’ai appelé plus de 200 fois et me suis déplacé 2 fois ) je pourrais faire citer une personne qui vous dira que j’appelais tous les jours. Cette personne était gérante d’un cybercafé et d’un point phone. C’est dans ses locaux ( à CHATILLON – ville dans laquelle j’étais domicilié en mai 2003 ) que j’ai envoyé le 6 mai 2003, soit un jour après l’expertise de Monsieur CHANCEREUL un mail à un expert. Il me semble que j’ai envoyé ce mail à Monsieur MARCELLO VILLA sinon pour quelles raisons aurais je imprimer et conserver la page sur laquelle il y a le cheval ailée, le même dessin qu’il y a dans mon violon sur l’étiquette ? JANVIER 2005 Je décide donc en janvier 2005 d’exprimer mes requêtes par écrit et j’adresse donc mes requêtes au Directeur général du Crédit municipal de paris, Monsieur ERARD ( Directeur du service art et patrimoine jusqu’en janvier 2005 ). A ma connaissance, pas de réponse écrite. Je saisis Madame le Médiateur de la ville de Paris, Madame Frédérique CALANDRA, en janvier 2005 pour intervenir dans ce litige. PAS DE SUITE. LA MEDIATION N’A PAS ABOUTIT. Je négocie, je téléphone, je me déplace au crédit municipal de paris de juin 2004 à mai 2005 et finalement : FEVRIER 2005 Je saisis le Tribunal Administratif de Paris le 18 février 2005 sur le fondement de l’article R 521-2 du code de justice administrative pour un référé liberté. Je pensais à l’époque que le Crédit Municipal de Paris relevait du Code Administratif. REPONSE du Tribunal administratif de paris le 21 février 2005 : Requête rejetée comme « porté devant une juridiction incompétente pour en connaître » . JUIN 2005 Je saisis donc le Juge des référés au Tribunal de grande instance et assigne le crédit municipal de paris le jeudi 16 juin à 09h00 pour une expertise judiciaire. Madame FERRE ( Responsable juridique du C.M.P ) sort de son chapeau la réponse datant du 3 février 2005 écrite par Monsieur ERARD ( Directeur général du C.M.P – ancien Directeur Art et patrimoine ) et me la fais parvenir par fax le lundi 13 juin 2005. Monsieur ERARD affirme que : - « les prêts consentis par le Crédit municipal de Paris ne sont pas régis par le code civil mais par une réglementation spéciale : le décret loi du 30 décembre 1936. » - « Toute opération ( expertise, photo, exposition, restauration…) sur gage, pendant la durée du prêt, est donc soumise à l’accord des deux parties sans qu’aucunes ne puisse contraindre l’autre en dehors de l’exécution du contrat ou d’une décision de justice ». - « Par ailleurs, il ressort de l’observation de votre instrument, que l’étiquette apocryphe d’A. Stradivarius est collée en partie sur celle de I. Kudlik. » - « Au surplus, les ouïes en forme de « f » de ce violon sont à l’évidence en copie d’un modèle de Guarneri, lequel est postérieur à son illustre confrère italien. » L’AVOCAT DE MONSIEUR ERAD AFFIRME QUE LE VIOLON N’A JAMAIS ETE DESCELLE DEPUIS LE 5 MAI 2003. MOI JE DIS QUE MONSIEUR ERARD MENT ET QUE C’EST UN VOLEUR. SACHEZ Monsieur le Procureur de la République que si j’ai le courage et la force de vous écrire cela c’est uniquement parce que j’ai confiance en la justice des hommes et que je ne crains pas la justice de DIEU. Je prie Saint YVES tous les jours, le patron des avocats, le défenseurs des faibles, des pauvres et des nécessiteux. Mon violon porte en effet étiquette de Istvan KUDLIK. Ce luthier reconnu puisque répertorié dans les dictionnaires universels de luthiers aurait donc fait un violon dont les ouïes sont « à l’évidence » ( selon Mr ERARD ) dans le style Guarneri MAIS il a apposé une étiquette non de GUARNERI mais de STRADIVARIUS. Par ailleurs, si sa propre étiquette est une étiquette de fabrication, pourquoi n’y a t’il pas mention de la date ? On peut se demander si KUDLIK n’est pas simplement intervenu pour réparation. ( les dictionnaires universels de luthiers stipulent que KUDLIK est un réparateur estimé – Il n’y a rien qui mentionne une quelconque production de sa part. ) Le plus grave, c’est que Monsieur ERARD affirme que « l’étiquette apocryphe de Stradivarius est en partie sur celle de KUDLIK » alors que j’ai joué 23 ans avec ce violon et que je n’ai jamais vu l’étiquette de STRADIVARIUS ( je l’ai vu la première fois le 5 mai 2003 après l’estimation de Mr CHANCEREUL ). J’affirme que l’étiquette de KUDLIK se situe au milieu du violon juste en dessous de l’ouie. Cette étiquette semble récente et est visible au premier coup d’œil sans lampe torche. Elle ne porte pas date de fabrication. Quand à l’étiquette de STRADIVARIUS, il faut l’usage d’une lampe torche et beaucoup de persévérance pour la découvrir au fond du violon, si ancienne qu’elle est à peine visible. C’est la raison pour laquelle je n’en avais pas soupçonné l’existence. Elle se compose en deux partie. La première est rectangulaire et porte les mentions Antonius stradivarius facibat Cremonenfis puis il y a di Anno et deux chiffres : I6 Le 1 en chiffre romain et le 6 en lettre manuscrite. les deux derniers chiffres étaient illisibles et je m’en souviens parfaitement. Il y avait ensuite une mention du genre Fatto di Anni avec autre chose. J’ai cru à l’époque qu’il était écrit « offert à mon ami » et c’est pour cette raison que j’ai toujours dis et écrit depuis mai 2003 que c’était écrit offert à mon ami. C’est plus tard que j’ai compris que c’était écrit « fait dans ma xème année ». ( en lisant le livre de Monsieur Etienne VATELOT en avril 2005 à la bibliothèque francois MITTERAND Il y avait sur l’autre morceau d’étiquette ( collée sous la première et elle ne faisait qu’une ensemble ) : LE DESSIN DU CHEVAL AILEE. ( le symbole de pégase qu’Antonio utilisera pour décorer certains de ces violons ). DEPUIS MAI 2003 ( avant que je donne ce violon au crédit municipal de paris ) et puis en juin 2004, j’ai écrits à plusieurs personnes : « l’étiquette de antonio stradivari se situe au fond à droite, elle est si ancienne et imprégné dans le bois qu’elle est à peine visible. Il y a les mentions classiques et SURTOUT on n’arrive pas lire les deux derniers chiffres. On ne voit que le 16. Par ailleurs il y a également une mention offert à mon ami en italien et il il y a le cheval ailée. DEPUIS LE DEBUT JE L’AI DIS ET JE L’AI ECRIS. Ces questions qui suivent je me mes posaient avant de voir le violon le 7 décembre 2005 suite à l’expertise que j’ai obtenu près le tribunal de grande instance sur une ordonnance en date du 23 juin 2005. On m’accuse aujourd’hui d’incohérence et on me demande pourquoi j’ai déposé le violon au Crédit municipal de paris si j’en soupçonnais la valeur ; Je réponds que c’est l’attitude du C.M.P. qui a crée le soupçon : - Pourquoi le contrat de prêt sur nantissement n’est il pas conforme à la description faite par l’expert ( CHANCEREUL ) ?> - Pourquoi m’a t’on refusé la modification de l’écrit en juin 2004 ? - Pourquoi m’a ton demandé en juin 2004 de signer un acte de vente ? - Pourquoi m’a t’on refusé une nouvelle estimation au paiement des intérêts en juillet 2004 ? - Pourquoi m’a t’on refusé l’accès physique au violon en septembre 2004 pour faire des photos ? - Pourquoi me révèle t’on le 13 juin 2005 seulement, un courrier que Mr ERARD m’a envoyé en février 2005 ? Je n’ai pourtant jamais cessé de relancer les différents services du C.M.P par téléphone ou directement en me présentant dans leurs locaux. - Pourquoi Monsieur ERARD affirme t’il MAINTENANT ( le 13 juin 2005 ) que l’étiquette de Stradivarius est en partie sur celle de Kudlik, détail que je CONTESTE FORMELLEMENT. - Pourquoi le Tribunal administratif de paris a rejeté ma requête comme portée devant une juridiction incompétente alors que Mr ERARD affirme que les activités de prêt sur gage du crédit municipal de paris ne sont pas régis par le code civil ? - Pourquoi Mr ERARD écrit il que la loi sur les ventes volontaires n’est pas applicable alors même que sur les conditions générales du contrat le C.M.P dispose que : « L’emprunteur, après un délai de trois mois, à compter de la date d’engagement peut requérir la vente de son bien, avant même l’échéance de son contrat ». Concernant ce violon, je vous invite à vous poser ces questions : - Pourquoi KUDLIK qui est considéré comme un réparateur estimé dans les dictionnaires universels aurait fabriqué un violon avec des ouies en modèle de GUARNERI et aurait apposé au dessus de son étiquette de fabrication une étiquette d’Antonio Sradivarius ? - Pourquoi est ce qu’aucuns dictionnaires ne mentionnent une quelconque réalisation de KUDLIK ? - Pourquoi alors même que KUDLIK, élève de Machnitz qui travaillait sur le modèle du Stradivari vernis jaune ou rouge aurait il fait un violon avec des ouies en modèles de Guarneri ? - Pourquoi KUDLIK, alors même que Machnitz et ses prédécesseurs n’ont jamais fait de copies d’antonio stradivarius mais travaillaient sur le modèle du stradivari et qui mettaient des étiquettes de fabrication à leur nom en précisant la date de fabrication, a t’il omis de mentionner la date de fabrication sur son étiquette qu’il a mis en dessous de celle de Stradivarius ? PENSEZ VOUS UN INSTANT qu’un homme qui a consacré sa vie entière a réparé des violons, qui a travaillé chez un luthier qui a fait des violons sur le modèle du STRADIVARI, qui a travaillé chez un luthier qui apposait des étiquettes manuscrites à son nom en y mentionnant bien entendu la date de fabrication, qui fait partie d’une lignée de luthiers hongrois tous considérés comme des réparateurs estimés dont certains ont obtenu des prix d’excellence PUISSE AVOIR FABRIQUE : - un violon portant étiquette de fabrication à son nom sans avoir mentionné la date de fabrication - un violon avec des ouies en modèle de GUARNERI - un violon portant une étiquette de STRADIVARIUS alors même qu’il a fait des ouies en modèle de GUARNERI…… Tout cela est ridicule, complètement ridicule et cela n’a aucuns sens. Monsieur ERARD m’écrit : «Croyez bien que je regrette les différentes péripéties dont vous avez le sentiment d’avoir été victime ». De quelles péripéties parle t’il ? Monsieur ERARD m’écrit : « Il me semble plutôt qu’une succession de malentendus est venu troubler la relation contractuelle qui lie le C.M.P et ses clients » De quels malentendus parle t’il ? JE NE VOIS NI PERIPETIES NI MALENTENDU au faite que l’on m’est systématiquement REFUSER la modification de l’écrit, une nouvelle estimation et un accès physique au violon alors que c’est un droit incontestable. JE VOIS UNE VOLONTE MANIFESTE, DELIBEREE, CALCULEE, PLANIFIEE, INTENTIONNELLE à ces manquements aux obligations contractuelles. Je conclue par ceci que j’ai pu lire dans des livres portant sur le prêt sur gage, les ventes aux enchères, le code civil : « L’acte doit désigner les choses données en gage – cette désignation a pour but d’empêcher la fraude consistant dans la substitution de la chose primitivement engagée . Si la désignation n’est pas suffisamment précise, le droit de préférence ne pourra être exercée et surtout les mentions que doivent porter l’écrit permettent d’assurer le respect du principe de la spécialité du gage tant au regard de la créance garantie qu’au regard des biens grevés. » J’ai écris cela avant le procès le 16 juin 2005 sans me douter une seule seconde de ce qui allait se passer le 7 décembre 2005. Ils ont SUBSTITUE MON VIOLON. Le violon que j’ai vu NE CORRESPOND PLUS A MON VIOLON et C’EST FLAGRANT PUISQUE CELA CONCERNE L’ETIQUETTE DE STRADIVARI et SON POSITIONNEMENT. JE LE JURE DEVANT DIEU. Je précise que le Crédit Municipal de Paris s’est ENCORE OPPOSE A L’EXPERTISE AU COURS DE L’AUDIENCE LE 16 JUIN 2005 et que ILS ONT FAIT APPEL DE LA DECISION ORDONNANT L’EXPERTISE ET ONT LE CULOT DE ME RECLAMER DE L’ARGENT POUR PROCEDURE VEXATOIRE ! C’EST UN COMBLE. MARDI 7 DECEMBRE 2005 à 09h00 : EXPERTISE JUDICIAIRE ’allais enfin revoir mon violon….pensais je. Je vous demande maintenant de vous mettre à ma place et d’imaginer ce que j’ai pu ressentir quand on a DESCELLE l’étui dans lequel se trouvait mon violon en présence de Monsieur Serge BOYER et des trois membres du crédit municipal de paris. J’ai vu ce violon et ai dis : « Au premier coup d’œil, il ressemble physiquement à mon violon » puis ai regardé à l’intérieur dans un premier temps au fond à droite pour voir l’étiquette d’Antonio STRADIVARI avec le cheval ailée. RIEN. PLUS RIEN. J’ai regardé l’étiquette de KUDLIK et au dessus comme l’avait écrit Monsieur ERARD se trouvait une petite étiquette ou l’on lisait antonius stradivarius avec une date 1747. ( je crois pour la date, j’étais tellement dégouté….) LE PIRE m’était ARRIVE, le VIOLON ne correspondait plus à mon violon. Que penser aujourd’hui, je ne sais pas encore. Je suis tout de même resté au cours de cette expertise pour assister à cette MASCARADE. Le directeur des ventes à demandé à l’expert si le violon avait été ouvert et si il est facile de rajouter une étiquette. Réponse de l’expert : « Vous avez bien fait de me poser cette question le violon a en effet été ouvert récemment ». Deuxième question de Monsieur SARAZGOSSI : Et quand datez vous ce violon ? Réponse de l’expert : 1890 –1900. J’ai dis à l’expert, avez vous notez que j’ai dis que l’étiquette d’antonio stradivarius ne correspondait pas et que le violon ne correspondait par conséquent pas au violon que j’ai confié au CMP. L’expert m’a dit ceci : « vous avez dit que vous reconnaissez votre violon ». QUE FAIRE…je n’ai jamais dis cela. Je suis partis. Vous me demandez ce que je vais faire aujourd’hui. Je me pose plusieurs questions : - Qui a pris ce violon et pourquoi l’a t’on substitué ? N’y a t’il pas de caméra au crédit municipal de paris ? Lorsque l’expert a demandé si le violon n’avait jamais été descellée depuis mai 2003, le crédit municipal a répondu NON Alors comment Monsieur ERARD a pu t’il m’écrire « au surplus, à l’observation de votre instrument les ouies sont en forme de GUARNERI. Monsieur ERARD a donc vu ce violon Et à mon avis il l’a vu avec un luthier ou bien a t’il une véritable culture musicale pour reconnaître des ouies en forme de GUARNERI L’expert BOYER dit que le violon a été fait en 1890 – 1900 alors même que Monsieur CHANCEREUL a dit que ce violon a été fait en hongrie par KUDLIK Istvan. ( né en 1908 ) QUI pouvait savoir qu’il s’agissait d’un stradivarius s’il s’agit d’un stradivarius ? QUI A PRIS MON VIOLON ? COMMENT ? POURQUOI ? OU EST IL AUJOURD’HUI ? PERSONNE N’ETAIT AU COURANT DE CETTE AFFAIRE AU CREDIT MUNICIPAL DE PARIS A PART MONSIEUR ERARD , POURQUOI ? SI CE VIOLON N’EST PAS UN KUDLIK QUI LE SAVAIT ? COMMENT VAIS JE REUSSIR A PROUVER CE QUE JE DIS. DEVANT DIEU JE JURE DE DIRE LA VERITE. JEUDI 2 FEVRIER 2006 – 09h00 au Crédit Municipal de Paris Sur convocation de Monsieur Serge BOYER ( expert désigné par le Tribunal de Grande Instance ), je me présente au C.M.P. Monsieur BOYER a convoqué Monsieur Gîles CHANCEREUL, l’expert qui le 5 mai 2003 a expertisé mon violon comme un violon fait en hongrie par Istvan KUDLIK dont il porte étiquette et étiquette « apocryphe » d’Antonio STRADIVARIUS. Ala question de l’expert judiciaire : « Monsieur CHANCEREUL, reconnaissez vous ce violon que vous avez expertisé le 5 mai 2003 ? » Réponse de Monsieur CHANCEREUL « Oui, je le reconnais, c’est bien celui là. » A la question de l’expert judiciaire : « Vous avez expertisé ce violon comme fait en hongrie par Istvan KUDLIK alors que CE violon a été fait à une date antèrieure ….vers 1890. » Réponse de Monsieur CHANCEREUL : « Je me suis trompé, j’ai fais une ERREUR. » Je présente à Monsieur CHANCEREUL un dessin du cheval ailée, le dessin que l’on trouve sur l’étiquette de STRADIVARIUS dans mon violon, celui qu’il a vu et expertisé le 5 mai 2003 et lui demande s’il s’en souvient. Réponse de Monsieur CHANCEREUL. « Non, je ne m’en souviens pas » QUESTIONS - Comment Monsieur CHANCEREUL qui a vu mon violon une seule fois le 5 mai 2003 et qui en voit quelques milliers par an peut il se souvenir que c’était bien celui là ? Comment Monsieur CHANCEREUL peut il reconnaître s’être trompé sur l’origine du violon ? c’est un EXPERT et il engage sa responsabilité civile et pénale. Comment pourrait on aujourd’hui faire confiance à un expert qui reconnaît s’être trompé lorqu’il affirme que CE violon est le même que celui qu’il a expertisé 3 ans plus tôt ? LA QUESTION LA PLUS IMPORTANTE SUITE AU PROPOS DE MONSIEUR CHANCEREUL Le violon n’est DONC PAS FAIT PAR KUDLIK qui est né en 1908 mais par quelqu’un d’autre à une date semble t’il antèrieure ( 1890 ) COMMENT PEUT IL Y AVOIR UNE ETIQUETTE DE ISTVAN KUDLIK DANS CE VIOLON ALORS MEME QUE KUDLIK ISTVAN N’ETAIT PAS ENCORE NE ? LA QUESTION LA PLUS IMPORTANTE SUITE AU COURRIER DE MONSIEUR ERARD EN JANVIER 2004 COMMENT MONSIEUR ERARD A T’IL PU ECRIRE QUE A L’OBSERVATION DE MON VIOLON IL APPARAIT QUE LES OUIES SONT EN FORME DE GUARNERI LEQUEL LUTHIER EST POSTERIEUR A STRADIVARIUS ALORS QUE SON AVOCAT ECRIT DANS SES DIRES EN DECEMBRE 2006 QUE LE VIOLON N’A JAMAIS ETE DESCELLE DEPUIS LE 5 MAI 2003 ? CE QUE JE VAIS FAIRE AUJOURD’HUI - Récupérez les témoignages des deux personnes qui ont vu mon violon en mai 2003 ( je vivais chez le premier et le second est le voisin à qui nous avons pris la lampe de torche ) et dont l’un se souvient parfaitement du dessin ( le cheval ailée ) et du fait que la date était illisible. Il se souvient aussi que l’étiquette de STRADIVARIUS était au fond du violon et certainement pas du tout sur celle de KUDLIK. Je n’ai malheureusement pas CHOISI ces témoins et ils s’avèrent que ces deux témoins sont de nationalité étrangères et certainement en situation irrégulière. - L’autre ( le voisin à qui on a pris la lape de torche se souvient que l’étiquette était au fond et pas du tout sur celle de KUDLIK et il se souvient que je disais que c’était écrit offert à mon ami : la mention fatto di anni avec autre chose ( 2 caractères, deux chiffres me semble t’il ) Récupérez des mails que j’ai envoyé depuis mai 2003 ou je précisais que : Il y a DEUX étiquettes . Une de Istvan KUDLIK visible au premier coup d’œil et qui se situe juste en dessous de l’ouie sans date de fabrication. L’autre, celle de STRADIVARIUS se situe au fond à droite et il faut l’usage d’une lampe de torche et une certaine inclinaison du violon pour pouvoir la voir. Elle est si ancienne qu’elle est imprégnée dans le bois que l’on en distingue à peine les contours. Elle est grande et large, il y est écrit Antonius stradivarius facibat cremonenfis puis di Anno avec I6 ( le 1 en chiffre romain et le 6 en lettre normal ) et les deux derniers chiffres sont ILLISIBLES. Puis il y a sur un cercle avec une croix le A et le S. Ensuite il y a une mention FATTO DI ANNI avec autre chose ce qui explique qu’à l’époque en mai 2003 avant de donner ce violon au crédit municipal de paris et par la suite dans tout mes courriers j’ai écrit « offert à mon ami » . Ensuite en bas il y a le cheval ailée ( le dessin ) sur une forme carrée. - Récupérez des témoignages de personnes à qui je disais en 2004 être sous surveillance physique ( plusieurs personnes ) - Récupérer le témoignage d’un homme à qui en septembre 2004 j’ai demandé de l’argent pour récupérer mon violon ( je ne pensais pas que on me substituerait ce violon….) - Prendre un avocat. Depuis que je fais des recherches sur ISTVAN KUDLIK, j’ai enfin pu savoir il y a deux semaines que JULIA KUDLIK est sa fille. C’est une très grande présentatrice de télévision en Allemagne. Pourquoi ne m’a t’on pas communiquez ces informations plus tôt ? Que cache t’on ? Que Istvan KUDLIK a réparé un STRADIVARIUS qui porte une étiquette sur laquelle les deux derniers chiffres sont illisibles ( I6-- ) qu’il y a la mention fatto di anni avec deux chiffres et que il y a le cheval ailée. PEUT ETRE….je n’en sais rien du tout. Monsieur le Procureur de la République Je sais que ce que je vous demande est dur, difficile même mais vous avez choisi cette vocation, vous avez ce devoir, le recherche de la vérité et de la justice, celle des hommes et de la République française que vous servez. Je rends hommage à Madame le Vice Président – Madame Marie Claude MARTIN près le Tribunal de Grande Instance de Paris qui a eu le courage de désigner un expert.
Posted on: Thu, 26 Sep 2013 22:29:15 +0000

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