Il paraît évident que le règlement publié dans la Gazette officielle le 29 mai a été taillé sur mesure pour permettre à Pétrolia d’effectuer des forages sur la quasi-totalité de la superficie du territoire de l’île. Malgré les obligations imposées aux entreprises, il est également clair que la fracturation comportera un risque pour l’environnement. Il est parfaitement légitime de s’opposer à toute exploitation, peu importe le degré de risque et les avantages économiques que le Québec pourrait en tirer. « La merveilleuse et patrimoniale île d’Anticosti ne peut pas devenir un dépotoir minier », a lancé Françoise David jeudi à l’Assemblée nationale. Présenté ainsi, on peut difficilement lui donner tort. ledevoir/politique/quebec/380241/le-partenaire
Posted on: Sat, 08 Jun 2013 14:41:16 +0000