Inda, lui, (il), songea à ses migrations. Celles de ses troncs, - TopicsExpress



          

Inda, lui, (il), songea à ses migrations. Celles de ses troncs, ses bouches et ses visages se reflétant dans les héros du passé, des rois francs, des carolingiens à moitié allumés, et des femmes peintres, sculpteurs, des sujets pleins, sur-bourrés d’elles-mêmes, comme des peaux. Inda aussi, lui, (il), se remémora, des lieux et des petites durées, la 34ième heure de la chaumière, la fournaise dans laquelle il perçu (comme un chasseur caché dans son buisson) tel sujet étrange (une biche, un daim), sujet assis sur une chaise et comme surpris dans un état de combustion, une chose vraiment inconcevable. Ca lui rappela comme, il, lui Inda, était petit en cette vie complexe, celle-là même qui lui imposait tant de réveils en pagaille. Aussi Inda avait vu comment Dayz pouvait peindre un(e) jour. Ces oranges, ces hauteurs et ces êtres chantants, des génies de l’Ancien Monde. C’était là quelque chose vers la vie et vers le temps. Inda ne voyait rien dans la connaissance qui lui disoit vraiment quelque chose. L’absence de raisonnement dans la perception étoit pour lui, un puits d’angoisse. Il vouloit re-respirer mais hillas se sentoit mort et se sentoit perdu. Raté de partout au pourtour. Trop d’alentour pour Indatriste. Tout autour aussi. Vouloit, lui (il), tous, (les livres), jeter ! Difficulté de l’artiste. Seul et man-œuvre de grand péril. Tout ici dans ce qu’Inda donne, peut à chaque moment tout le perdre lui (je) et pas les autres ! Un grand inquisiteur, un roi cruel, un irascible, un tyran-nique, un dieu massif pour le (lui) détenir, pour le (je) détruire. Ca veut l’éloigner de Syracuse, veut sa perte. C’est Neptune l’orageux ! Son trident et ses algues. Son disque, tout formé dans des plâtres puissants. Neptune le fou. Oh ses dimensions beiges et ses humeurs ! Et son ciel affreux et oh armé de ses profonds vides ! Neptune contre notre Indalysse en son vague à vogue ! Et les déesses complices et amourhaineuses ! Calypso et ses dentelles, sa peaux verte et grise… Et le Six-Clopes, le cher enfant des océans ! Tous sont contre l’Indadésir de lui, ce « je » marin du poisson frais, ce « moi » navigateur candide, poète sous le grand chêne. I see a light and a shadow From my window… The white place is like A depredation of love into my heart I see a man waking up at 3.33 am Its retine is like a love water Sleeping in a ghosts air. Its arms are lost, and seems to be guns dancing in times I see me, the good man, Calling the moon of perdition and Motivating warriors, here and far away. And making them so acids, for the world of hate They are jags of universality ! I see a woman, furious into waters She’s a tall woman Sending orders to creatures and more, And opening its arm in spaces. An angel of glory La vie est pleine d’échecs naïfs. Mais l’art, lui, peut tout nous reprendre à chaque instant. C’est ce qu’il fait toujours, d’ailleurs inlassablement, lové dans ce terrifiant vouloir. De quoi vit-on ? …. terriblement … Qu’est ce qu’il nous donne, lui, le grand avare, le grand engloutissement, le grand menteur ? Et pourquoi - l’homme a t-il voulu se rompre de fatigue -1- pour l’éviter -2- pour le connaître - ce « diable », lui et ses (leurs) manœuvres, ses (leurs) manipulations, ses (leurs) stratégies, sa malice ? Inda se posait toutes ses réponses en vric à vrac. Tronche d’Inda, trognon mignon, le visage brûlé d’humour. Une légère couche de cire et de sel pour le conserver au milieu des violents courants de matière. Cet arabe américain menait une fausse guerre de carton pâte comme un bel indien au beau milieux des yankees ! Dog is at left ! The all house is now divorced and I live therefore. All around me, are the Faces Moon bright, Black block of kitchen for an old man White strom of chocolate. This is my life ! To live and be detached, To stay cool with dad, each year. To think small things near waves and Near our windy summer This is love again, yeah, Painting life, taxes and fees In the accurate love. Fight again, you, lucky man O yeah, using your Numbers and your Faces Indaspirale dans le ciel. Engouffle nous, ô Inda, toi l’unique roi de l’occident ! L’indigo pointera la terre dans une série, oui une longue série de confiance en ton dinguo-dingue ! Ni nul personne ne viendra, non, Inda pour toi, là où tu sied ! Aux toilettes, dans le divan, par delà les monts brumeux et bien au delà des villages, vers la matière tendre que tu leur suggéras. C’est en vain, hillias ! Immense vérité immense.
Posted on: Fri, 19 Jul 2013 08:01:46 +0000

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