Journal Présent du 14 juin "La chronique de Camille Galic" Carnet - TopicsExpress



          

Journal Présent du 14 juin "La chronique de Camille Galic" Carnet de balles, carnet de chèques C’est vendredi prochain, 21 juin, que sera connue l’issue du procès intenté à l’initiative de la LICRA à l’auteur en 2010, dans le métro parisien, d’une agression doublée d’une explosion de « racisme antifrançais » — auteur contre lequel le Parquet avait requis le 26 avril une peine de cinq ans de prison dont quatre ans ferme. La LICRA, pyromane recyclé pompier Procès très attendu, mais pipé d’emblée. D’abord en raison de la personne même du prévenu : Arnaud Djender est doté d’une « peau claire » et « se sent français », ce qui met le tribunal face à « une difficulté intellectuelle » selon Le Monde. « Peut-on être accusé de racisme envers un Blanc si on est soi-même blanc ? », s’est donc exclamé l’avocat de la défense, Me Grégoire Etrillard. Quant à la LICRA, ses avocats n’ont cessé de répéter que le racisme antifrançais n’est qu’un « phénomène très marginal ». Pourquoi s’est-elle alors portée civile dans cette affaire ? Tout simplement pour faire oublier ses décennies de racisme antifrançais militant qui ont contribué au premier chef à la montée de la violence puisque se trouvait ainsi justifiée, et relayée par ses soins devant les tribunaux, la dénonciation par les « enfants des quartiers » des innombrables et gravissimes discriminations dont ils prétendaient être victimes. Rappelons l’axiome définitif posé dès les années 1970 de l’autre siècle par Jean Pierrre-Bloch, président historique de la LICRA cité par la journaliste Ménie Grégoire dans son livre La France et ses immigrés (éd. Carrère, 1981) : « S’il s’agit de crimes, il y a en effet deux vitesses. Quand le travailleur immigré tue un Français, il ne le tue pas parce qu’il est Français et Blanc mais parce qu’il veut le voler. Quand un Français tue un immigré, il le tue parce qu’il est Arabe ou immigré. Et c’est là le racisme. » Aussi est-ce tout naturellement que son successeur (de 1999 à 2010) Patrick Gaubert, ancien président-fondateur du mouvement DAVID (Décider et Agir avec vigilance pour Israël et la Diaspora) et tout nouvellement chargé de mission au cabinet de Charles Pasqua alors ministre de l’Intérieur, préconisa en 1994 une « répression fulgurante » contre tous les individus et organes de presse suspects de ne pas adhérer au credo de Bernard Stasi selon lequel l’immigration était « une chance pour la France ». Cependant que Me Alain Jacubowicz, actuel président de la Ligue, accédait à une enviable notoriété politique et médiatique en plaidant systématiquement contre les déviants. L’aveu de Julien Dray sur « cette haine qui n’existe pas » Mais les temps ont changé : 18 % de la « population majoritaire », comme disent les sociologues, ont été victimes du racisme antifrançais et, selon un sondage réalisé par TNS-Sofres, 56 % des Français estiment qu’un racisme anti-Blancs « se développe dans les quartiers des grandes villes ». Il faut dire qu’avec 12 millions d’enfants et d’adolescents issus de l’immigration selon l’INED, la population « majoritaire » s’effrite. La sociologue Nacira Guenif a beau jurer, sans doute pour nous rassurer, qu’« il n’y a pas d’oppression du groupe blanc » en France mais simple transformation du monde « dans lequel être blanc ne constitue plus un privilège », la fragilisation s’accentue sans cesse. A ceux qui en douteraient, on conseillera vivement la lecture de Sale Blanc !, « Chronique d’une haine qui n’existe pas » publiée deux mois avant le procès de Paris (1). Après avoir pendant des années dépouillé la presse, Gérald Pichon donne de multiples exemples de « l’importance du phénomène de la violence anti-blanche », cette violence ayant « un caractère ethnique » comme le reconnaissent deux chercheurs du CNRS, Sebastien Roché et Monique Dagnaud qui insistent sur « la surdélinquance des jeunes issus de l’immigration ». Et le député socialiste Julien Dray, pourtant cofondateur de SOS-Racisme, avoue même à propos des « incendies de voitures, rackets, viols », que « les violences prennent de préférence pour cibles les “Babtous”, c’est-à-dire les Blancs ». Ceux-ci tout à la fois méprisés et enviés, et considérés comme seuls responsables des échecs scolaires et professionnels subis par les bronzés de diverses nuances. Ancien dirigeant des Black Panthers américaines, Eldridge Cleaver ne légitimait-il pas sa recherche effrénée des « proies blanches » par le fait que « le viol était un acte d’insurrection » ? « Cela m’enchantait de défier la loi et l’ordre de l’homme blanc […] et de souiller ses femmes. » D’où la multiplication actuelle en Europe, et particulièrement en France, des « tournantes », de gamines blondes de préférence. Le pire racisme anti-Blancs : celui de l’État et des « élites » Mais au-delà de ce racisme anti-Blancs qu’on peut dire primaire, Gérald Pichon dénonce dans son livre très militant, où souffle la révolte, un phénomène tout aussi grave : le racisme antifrançais institutionnel pratiqué sous tous les gouvernements successifs, de gauche comme « de droite ». Ce sont les 80 milliards de subventions dilapidés dans les politiques de « discrimination positive », foin de l’égalité entre les citoyens ! C’est l’Education dite nationale qui conseille une « surnotation de 2,6 points » pour les « élèves allochtones du Maghreb, d’Afrique noire et de Turquie » et encourage à l’étude des « empires africains du Songhaï et du Monomotapa » quand Louis XIV est zappé. C’est le ministre de l’Intérieur et futur président Sarkozy qui, en visite dans une « cité sensible » de Lyon en 2004, déclare que « le fils de Mohamed et Latifa doit être plus aidé que celui de Nicolas et Cécilia » (mais Louis, son fils, est éduqué dans un établissement très sélect des Etats-Unis, évidemment hors de portée du rejeton de Kevin et Vanessa, locataires d’une HLM pourrie). C’est Anne Lauvergeon, alors patronne d’Areva, qui proclame qu’à compétences égales, son groupe prendra « autre chose que le mâle blanc » et c’est Jean-Claude Dassier, directeur de LCI, qui se vante de « choisir le candidat black ou beur », et tant pis pour le fils de prolétaires s’étant saignés aux quatre veines pour lui faire faire des études. Dans la situation mortifère décrite par cette Chronique d’une haine qui n’existe pas, quelle est chez nos prétendues élites la part de l’ethnomasochisme, quelle est la part de la trouille bleue ressentie devant la substitution de population, les nouveaux venus étant autrement redoutables, et bien plus puissamment armés, que les Enragés de Mai 68 ? La conclusion de Gérald Pichon est sans appel : c’est il y a trente ans qu’il aurait fallu pourfendre le racisme anti-blancs. C’est-à-dire à l’époque où Bernard Antony lançait l’AGRIF, Alliance générale contre le racisme antifrançais et pour le respect de l’identité française et chrétienne (2), qui a depuis mené quantité de procès malgré la mauvaise volonté de la justice. Que faisait la LICRA à l’époque ? Elle anathémisait et faisait condamner les « réactionnaires » coupables de ne pas entonner le péan à la fraternité et au grand mélangement universels. Ce lobby antinational se réveille aujourd’hui mais rien ne change. La preuve : toute la nomenklatura s’est mobilisée après le décès, déplorable, de l’étudiant gauchiste Clément Méric, mortellement blessé le 5 juin lors d’une rixe à Paris avec des skinheads. Mais qui sait que, le 1er juin, un autre étudiant, François Noguier, élève ingénieur aux Arts et Métiers, était mort lui aussi dans une altercation, mais cette fois sous les coups d’un voyou maghrébin, entré indûment dans l’école ? Hystérie d’un côté, silence assourdissant de l’autre. Le racisme antifrançais règne en maître. • [email protected] (1) Sale Blanc ! 105 pages, 12 euros. Editions IDées 2013, editions-idees. (2) AGRIF, 70 bd St-Germain, 75005 Paris, ou lagrif.fr. Abonnement annuel à La Griffe, journal de l’association : 25 euros.
Posted on: Thu, 13 Jun 2013 19:57:47 +0000

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