Justice pour Frédéric Abass KABOUA et Olivier Amah POKO Selon - TopicsExpress



          

Justice pour Frédéric Abass KABOUA et Olivier Amah POKO Selon l’avocat principal du dossier des incendies des marchés du Togo, défendant la plupart des responsables du Collectif « Sauvons le Togo » (CST), Me Paul Dodji APEVON, le président du Mouvement des Républicains Centristes (MRC), Frédéric Abass KABOUA et celui de l’Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITO), Olivier Amah POKO comparaitront devant la Cour d’appel de Lomé, le lundi 1er juillet prochain. Une comparution qui frise le dilatoire quand on sait que le pouvoir en place, lors des discussions officieuses qui sont menées sous l’égide du Président de la Commission Vérité-Justice-Réconciliation (CVJR), Mgr Nicodème BARRIGAH, aidé dans cette tâche par certains ambassadeurs accrédités au Togo, a promis libéré tous ceux qui ont été arrêtés dans cette puante et odieuse affaire d’incendie prouvant encore à la face du monde sa duplicité et la langue de bois devenu son crédo. Les dossiers de ces deux responsables étant vides, il est important que justice leur soit faite. Surtout au président du MRC, Frédéric Abass KABOUA qui n’était même pas au pays, mais en voyage pour des raisons de santé quand le drame s’est produit mais qui a été condamné honteusement par une alchimie juridique sortie par la justice togolaise inféodée au pouvoir en place. Il urge donc de rappeler que ces deux responsables de l’opposition togolaise sont candidats, inscrits sur la liste des candidats du CST pour les prochaines législatives. Etant donné qu’ils ne sont pas condamnés mais bénéficient de la présomption d’innocence, ils peuvent être éligibles, sauf si le pouvoir décide de les nuire en les maintenant en prison comme cela a été le cas lors de leur arrestation, où la justice a été mise aux ordres et où les juges ont accepté eux aussi de jouer aux complices de l’arbitraire. Pour ne pas se faire trop d’idées sur l’état d’injustice et de la déliquescence de la justice togolaise, il faut juste se référer aux scénarii du doyen des juges d’instruction qui a ordonné les transfèrements de ces responsables dans les prisons de l’intérieur du pays en l’absence de leurs avocats. Cela s’appelle tout simplement acharnement ou règlement de compte. Que la justice togolaise opte pour le droit le 1er juillet prochain pour ne plus laisser le champ libre aux étrangers qui soulignent bien et très bien d’ailleurs ses tares. Au nom du droit, libérez donc Abass KABOUA et Olivier Amah POKO
Posted on: Mon, 24 Jun 2013 17:17:42 +0000

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